C.132- Vaccin COVID- Plus grand scandale sanitaire de la médecine occidentale. |
Alors que la mortalité par la vaccination COVID dépasse 150.000 décès aux USA, nombre qui pourrait dans le cadre d’un choix libre être accepté en raison du rapport bénéfice /risque, une étude sur l’armée américaine ou plus de 1,2 millions de militaires ont été vaccinés établit de manière effrayante l’importance des effets secondaires . Cette étude devrait conduire à stopper sans tarder la vaccination. On peut toujours attendre la recommandation de l’OMS dont la corruption est largement reconnue, de stopper la vaccination en urgence!
Des données de l’armée américaine remettent en cause le discours sur la sécurité des vaccins
Auteur(s): FranceSoir
https://www.francesoir.fr/politique-monde/des-donnees-de-larmee-americaine-securite-vaccination
Lundi 24 janvier, le sénateur républicain Ron Johnson organisait une nouvelle audience au Sénat intitulée "Covid-19 : Une seconde opinion" (document contenant une version courte de 38 minutes et une version longue de 5 heures). Une audition qui a permis à un groupe de médecins et d'experts médicaux d’offrir un point de vue différent sur la réponse à la pandémie, l'état actuel des connaissances en matière de traitements précoces et hospitaliers, l'efficacité et la sécurité des vaccins. L’occasion de faire un bilan de ce qui a bien ou mal fonctionné, ce qui devrait être fait maintenant et ce qui doit être envisagé à long terme. Plusieurs médecins et scientifiques de très grande renommée dont Peter McCullough, Pierre Kory, Robert Malone, Richard, Urso, Pierre Kory, Ryan Cole ou Theresa Parks y ont contredit le discours officiel en témoignant de très nombreuses anomalies.
Mais le témoignage le plus choquant est venu de l’avocat Thomas Renz, avocat de l'Ohio.
Rappelant les alertes lancées par les docteurs Theresa Long, Samuel Sigoloff et Peter Chambers, trois membres de l’armée américaine qui ont révélé l'importance des effets secondaires après la vaccination, il est venu exposer des données de facturation médicale - passage obligé pour tout diagnostic médical dans l’armée - provenant de la base de données d’épidémiologie médicale de la défense (DMED). Ce système informatique de la Direction de la surveillance de la santé des forces armées (AFHSB) qui permet d’interroger à distance des données médicales anonymes du personnel militaire est un programme de surveillance épidémiologique conçu dans le but de détecter les épidémies, mais également l’ensemble des pathologies afin de s'assurer que les soldats sont opérationnels. Par conséquent, au-delà de la question de santé publique, il s'agit de sécurité nationale.
Voir aussi: Theresa Long, médecin de l’armée américaine, alerte sur la vaccination contre le Covid-19
Que révèle cette base de données ?
Une augmentation très importante des pathologies au cours de l’année 2021
Détaillant toutes les données qu’il prévoit d’utiliser pour l’ouverture d’une commission d’enquête nationale qui devrait se tenir devant un tribunal fédéral, l’avocat Thomas Renz annonce des chiffres très inquiétants pour l’année 2021, en établissant une comparaison avec les chiffres des années précédentes dont il fait une moyenne sur cinq ans, de 2016 à 2020.
Toutes pathologies confondues, le nombre de maladies enregistrées était en moyenne de 2 millions par an, un nombre qui variait peu d’une année à l’autre. L’année 2021 a marqué un tournant puisque ce chiffre est passé à 21,5 millions pour les 11 premiers mois de l’année, ce qui représente une augmentation de 941%, alors que l’année n’était pas encore terminée. Cette explosion des pathologies recensées n’a pas eu lieu en 2020, année du Covid, mais en 2021, année de la vaccination de masse, les membres de l’armée américaine étant vaccinés à hauteur de 96 %. Il est important de comprendre que ces chiffres ne représentent pas le nombre de personnes individuelles diagnostiquées avec diverses affections, mais le nombre total de codes de diagnostic renseignés. Une personne souffrant de maladie auto-immune va consulter plusieurs fois avec de multiples visites en ambulatoire ou hospitalisation, et ainsi accumuler plusieurs données de facturation médicale.
L’incidence des fausses couches dans l’armée a connu une augmentation de 300 % par rapport à la moyenne sur cinq ans. Celle-ci était de 1499 cas par an tandis qu’au cours des 10 premiers mois de l’année 2021, elle était de 4182. Un chiffre qui interroge, au regard des discours relayés par certains membres de la santé publique qui affirment que le Covid expose les femmes à un risque plus élevé de fausses couches.
Outre ces diagnostics, l’avocat est également revenu sur les problèmes neurologiques croissants, indiquant une augmentation de plus de 1048 % des pathologies neurologiques qui affectent les militaires, passant d’une moyenne de 82 000 par an à 863 000.
Par ailleurs, d’autres chiffres non mentionnés au cours de cette audience ont été confiés au sénateur Johnson, chiffres qu'il a indiqués dans sa lettre au Secrétaire de la défense Lloyd J Austin, le 1er février 2022.
Mais l'ensemble des pathologies ont été enregistrées par Thomas Renz dans un document qu'il met à disposition en ligne.
- Une augmentation de 2191% de l’hypertension - Une augmentation de 894% des tumeurs malignes de l’œsophage - Une augmentation du 680% de la sclérose en plaques - Une augmentation de 624% des tumeurs des organes digestifs - Une augmentation de 551% du syndrome de Guillain-Barré - Une augmentation du cancer du sein de 487% - Une augmentation de 487% des tumeurs démyélinisantes - Une augmentation de 474% des tumeurs malignes des glandes endocrines - Une augmentation de 472% de l’infertilité féminine - Une augmentation de 468 % des embolies pulmonaires. - Une augmentation des migraines de 452% - Une augmentation du dysfonctionnement ovarien de 437% - Une augmentation du cancer des testicules de 369 % - Une augmentation de la tachycardie de 302 % - Une augmentation de 269 % des infarctus du myocarde - Une augmentation de 291 % des paralysies de Bell - Une augmentation de 156 % des pathologies congénitale des enfants de militaires
Le cancer longuement évoqué lors de l’audition au Sénat
Regrettant que peu de personnes s’intéressent à l’augmentation de cette pathologie, Thomas Renz remercie Ryan Cole, venu témoigner au cours de cette séance de ce qu’il avait observé en tant qu’anatomo-pathologiste et de ce que certains de ses collègues oncologues et radiologues lui avaient rapporté ; des patients dont les cancers étaient contrôlés connaissent à nouveau une progression rapide tandis que certaines pathologies présentent des formes étranges plus difficilement identifiables.
Étayant les propos du docteur Cole, le sénateur Johnson raconte avoir été joint par des soignants qui ne veulent pas se faire vacciner après avoir observé la reprise rapide de certains cancers en rémission chez leurs patients.
Selon la scientifique Theresa Parks, ce phénomène pourrait s’expliquer par la dérégulation immunitaire que ces injections pourraient provoquer notamment au niveau de la protéine P53, un anti-oncogène qui se lie à l’ADN pour favoriser l’expression de gènes pour réparer les dommages cellulaires. Cette protéine, dont le rôle est d'empêcher les cellules endommagées de se transformer en cellule cancéreuse, pourrait interagir avec la protéine Spike vaccinale, et ne plus de jouer son rôle de catalyseur de tumeur notamment en induisant l'apoptose (suicide des cellules).
Voir aussi : Covid-19 : Spike, ARN et "vaccins"… Et si on lançait les études préalables ?
Si ce phénomène était avéré, cela expliquerait l’augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancers, passant d’une moyenne de 38 700 cas sur les cinq dernières années pour atteindre les 114 645 au cours de 11 premiers mois de l’année 2021.
La bataille des chiffres
Les augmentations du nombre de certaines pathologies avaient été révélées par des lanceurs d’alerte et consignées par l’avocat Thomas Renz. Cependant, depuis la révélation de ces données par Thomas Renz mais également par l’avocate des droits de l’homme Leigh Dundas qui collabore avec lui sur ce dossier, les chiffres ont été changés en fin d’année. Ainsi, les écarts spectaculaires entre les années 2016-2020 et les 10 ou 11 premiers mois de l’année 2021 ont simplement disparu.
Suite à ces changements, ces lanceurs d’alerte, qui avaient pris soin de se filmer en consultant la base de données, en ont informé leurs avocats qui ont présenté les chiffres originaux et les modifications apportées depuis.
Voici quelques exemples :
Immédiatement après la diffusion de ces chiffres,
Jeff Cercone, contributeur à Politifact, a commis un "fact-check" (une vérification des faits) expliquant que les chiffres de 2016 à 2020, massivement sous-évalués en raison d’une défaillance informatique, étaient erronés, donnant à tort l’impression que cela a explosé en 2021.
S’il est curieux que personne ne se soit rendu compte de ce bug auparavant, il est encore plus surprenant d'observer que ces changements n’ont concerné que les pathologies pour lesquelles le vaccin aurait pu être la cause d’événements indésirables. En effet, des pathologies comme la maladie de Lyme n’ont fait l’objet d’aucun ajustement.
Suite à ces événements, le sénateur Johnson s’est emparé du dossier en écrivant une lettre au secrétaire de la Défense Lloyd Austin, le 24 janvier 2022, suite aux allégations selon lesquelles les données auraient été falsifiées, lui demandant de conserver tous les documents se rapportant aux données enregistrées dans le DMED.
Le 1er février 2022, dans un nouveau courrier, le sénateur du Wisconsin lui demande d’expliquer ces hausses de diagnostics enregistrées et de l’informer des actions du DoD pour enquêter sur la cause profonde de l’augmentation de toutes ces pathologies. Par ailleurs, il lui demande d’expliquer pourquoi et quand ces données ont été changées et d’identifier les personnes qui ont pris l’initiative d’opérer ces modifications.
Si aucune vérité n'a été établie pour le moment, il faudra faire toute la lumière sur le changement soudain de ces données en suivant les interrogations et l'enquête menées par les avocats Thomas Renz et Leigh Dundas et portées par Ron Johnson, afin de savoir s'il y a eu malversations ou pas. Si la falsification des chiffres venait à être avérée, la bataille juridique pour établir la responsabilité vaccinale pourrait prendre des décennies dans un pays qui depuis 1986, a mis en place un système de lois offrant une grande protection aux entreprises pharmaceutiques.
* Un autre effet secondaire, encore peu mentionné est la fibrose pumonaire dont l'évolution peut être fatale
Ref.:
Acute exacerbation of idiopathic pulmonary fibrosis after SARS-CoV-2 vaccination
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C .131- Hommage à Luc Montagnier |
Merci, Professeur Montagnier
Publié le 14/02/2022 à 15:35
Pr Luc Montagnier, Nobel de médecine en 2008. (18 août 1932 - 8 février 2022).
F. Froger / Z9, pour FranceSoir
Auteur(s): Jean-Pierre G., pour FranceSoir
TRIBUNE — À l'âge de 89 ans (18 août 1932 - 8 février 2022), le professeur Luc Montagnier s'est éteint à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine mardi, comme nous l’apprenait FranceSoir, « parti en paix, entouré de ses enfants ». J'ai du chagrin, c'est une lumière qui s'éteint. Et j'ai la rage de penser qu'en France, on a fait des funérailles nationales à un évadé fiscal comme Johnny et qu'on n'a pas un mot pour le grand homme qu'était le Pr Montagnier. J'ai la rage de penser, aussi, à tous les pourris qui ne lui arrivent pas à la cheville et qui osent l'insulter.
L’AFP, le 10/02/2022 à 19:35, s’est autorisée : « Le scientifique Luc Montagnier, prix Nobel pour la découverte dans les années 1980 du virus du sida, est mort à 89 ans, discrédité depuis longtemps par la communauté scientifique après avoir multiplié les affirmations dénuées de fondement, notamment contre les vaccins. Luc Montagnier accuse "le cartel" de l'industrie pharmaceutique de le prendre pour cible, car il est "l'homme qui fait peur". »
L’AFP ajoute, sans mesurer les conséquences actuelles et à venir de cette affirmation, « Le virologue Didier Raoult, lui-même largement discrédité pour ses positions en faveur de traitements médicamenteux inefficaces contre le Covid, a salué sur Twitter "l'originalité" et "l'indépendance" du chercheur. »
Voir aussi : Mort du Pr Montagnier : Didier Raoult rend hommage au chercheur "atypique" sur Sud Radio
Un parcours scientifique hors du commun
Luc Montagnier est entré au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) en 1960. En 1963, à Carshalton près de Londres, dans le laboratoire de F. K. Sanders, il découvre les mécanismes réplicatifs des virus à ARN.
De retour en France, à l'Institut Curie, en collaboration avec Philippe Vigier, il étudie la réplication et la structure de l'ARN du 1er rétrovirus découvert (en 1911), le virus du sarcome de Rous du poulet. Il démontre que ce rétrovirus intègre son patrimoine génétique dans l'ADN des cellules infectées.
En 1972, à l'invitation de Jacques Monod, il crée l'unité d'oncologie virale à l'Institut Pasteur. Ses recherches vont alors porter en partie sur les mécanismes d’actions et la purification de molécules antivirales : les interférons. Il s'intéressera également à ces mystérieux agents transmissibles non conventionnels que l'on nomme aujourd'hui « prions ».
Il est resté à la tête de l’unité d’oncologie virale de l'Institut Pasteur entre 1972 et 2000. En 1975, il est rejoint par Jean-Claude Chermann et Françoise Barré-Sinoussi, spécialisés dans la recherche de transcriptases inverses, enzymes capables de produire une copie d’ADN à partir de l’ARN.
Membre de l'Académie nationale de médecine depuis 1989 et membre de l'Académie des sciences en 1996. Il a aussi été professeur et directeur du Centre de biologie moléculaire et cellulaire au Queens College de l'université de la ville New York jusqu’en 2001… La loi lui interdisait de diriger un laboratoire de recherche, aidé financièrement, en France après 65 ans.
En 2010, Luc Montagnier annonce qu'il fuit le « climat de terreur intellectuelle [...] entourant Jacques Benveniste » en France, pour prendre la direction d'un nouvel institut de recherche à l'université Jiao-tong de Shanghai en Chine.
Luc Montagnier est l’auteur ou le co-auteur de 350 publications scientifiques et de plus de 750 brevets.
Virus du SIDA
Le professeur Luc Montagnier est le co-lauréat du prix Nobel de médecine 2008 avec Françoise Barré-Sinoussi, pour avoir participé à la découverte en janvier 1983 d’un virus appelé alors LAV (virus lympho-adénopathique), puis virus de l’immunodéficience humaine (= VIH), responsable à long terme du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Le système immunitaire du patient n’est alors plus capable de le protéger de nouvelles infections, dites opportunistes.
Jean-Claude Chermann aurait dû lui aussi recevoir le titre… le grand « oublié » alors qu'il a co-signé la découverte du VIH1. Le professeur Montagnier et Mme Barré-Sinoussi, ont regretté de ne pas partager leur prix avec lui alors qu'il était cosignataire de la publication de mai 1983 dans la revue américaine Science. Robert Gallo « redécouvre » le même virus en 1984 et tente de s’en attribuer la paternité.
En 1986, le groupe de Luc Montagnier découvre un second virus associé au SIDA, le VIH2 en Afrique de l'Ouest.
Luc Montagnier a également dirigé le département « SIDA et rétrovirus » de l'Institut Pasteur, à Paris, de 1991 à 1997.
Il était visionnaire à propos du SIDA : « Il n'est pas nécessaire de prendre, d’isoler les malades comme des pestiférés ou comme des lépreux [...] Je suis partisan de considérer les Français comme des citoyens responsables et de les informer... »
Pas de passe sanitaire et ses corollaires à l’époque…
En novembre 2017, lors d'une conférence aux côtés du médecin Henri Joyeux, il critique des effets indésirables de vaccins et s’exprime contre le passage de trois à onze vaccins obligatoires pour les enfants. Leurs arguments, selon certains académiciens « sans aucune base scientifique », vont provoquer la colère… Les enjeux financiers sont énormes... Tout devient bon pour les casser.
Luc Montagnier avait alors avancé un lien entre vaccins et mort subite du nourrisson. L’académicien Marc Gentilini lui reprochera : « Il traite ses membres (de l’académie) de retraités incapables d’avoir des idées neuves. »
Les firmes ne vont pas les rater. Selon Le Figaro, Montagnier signe « son arrêt de mort scientifique, après un lent naufrage ». On n’attaque pas Big Pharma sans conséquence. La presse ne le lâchera plus…
Piste microbienne de l'autisme
Lors d’une conférence devant l'Académie de médecine en mars 2012, il a présenté ses recherches sur "la piste microbienne" de l'autisme, en soutenant que les antibiotiques amélioreraient un grand nombre d'enfants atteints. Des membres présents avaient considéré de tels propos comme déraisonnables (un euphémisme diplomatique).
Selon Luc Montagnier, des facteurs environnementaux (dont les pesticides et les radiations électromagnétiques non ionisantes) et génétiques participeraient à un phénomène de "stress oxydatif" susceptible de provoquer des "modifications neuronales" et un dysfonctionnement immunitaire. Les enfants autistes souffriraient ainsi d’infections chroniques.
Un peu d’histoire…
Les hurlements furent quasi unanimes quand des chercheurs ont prétendu que les ulcères de l’estomac étaient dus à une bactérie colonisant la muqueuse gastrique… « Les nombreuses publications faisant état de la présence de bactéries spiralées dans l’estomac resteront ignorées pendant près d’un siècle », alors que dès 1906, Krienitz rapportait la présence de tels organismes dans l'estomac de patients souffrant de cancer gastrique… Ceci jusqu’à ce que Robin Warren et Barry Marshall fassent leur entrée, en 1984. « La communauté médicale mit du temps avant de reconnaître le rôle de cette bactérie dans les ulcères gastriques, pensant qu'aucune bactérie ne pouvait survivre bien longtemps dans l'environnement acide de l'estomac ». « Au début des années 1990, les professionnels, tant gastro-entérologues que fondamentalistes, se répartissaient dans deux camps : les "croyants" au rôle de H. pylori et les "non-croyants". Dans le premier groupe, on trouvait très peu de seniors bien installés dans la carrière, connus et reconnus. Un "leader d’opinion" qui afficherait un soutien trop appuyé à une hypothèse iconoclaste pouvait être taxé de crédulité voire de ridicule ; il s’exposait aussi à la vindicte des laboratoires qui risquaient de le priver de leur soutien. »
Robin Warren et Barry Marshall, recevront le prix Nobel de Médecine/Physiologie en 2005, 21 ans plus tard… Pas un scientifique qui ne connaisse cette histoire… Aujourd’hui, on estime qu’hélicobacter pilori entraîne un ulcère chez 6 à 10 % des malades infectés, et qu'1 % d'entre eux développeront un adénocarcinome gastrique après plusieurs décennies. Le dogme "pas d’acide, pas d’ulcère" a disparu au profit de "pas d’hélicobacter, pas d’ulcère, pas de cancer". Demain, étant donné sa fréquence, la bactérie sera considérée comme pouvant, dans certains cas, présenter un avantage à préciser.
Mémoire de l'eau
Reprise de la thèse de Claudine Luu (4 janvier 1974 à l'Université Montpellier 1), la théorie de la « mémoire de l'eau » (nom qui fut donné en 1988) de Jacques Benveniste, chercheur et médecin immunologiste, tente de comprendre les mécanismes de l’homéopathie (dilutions très importantes des principes actifs).
Luc Montagnier laissait une large liberté aux chercheurs, toujours à l’écoute… L’idée de Jacques Benveniste était que « l’eau qui a été en contact avec certaines substances conserverait une empreinte de certaines propriétés de celles-ci alors même qu'elles ne s’y trouvent statistiquement plus ». Le Monde en fera sa Une le 30 juin 1988. Des résultats d’autres laboratoires sont venus contredire ceux de Benveniste. Peut-être un artefact expérimental que certains ont présenté comme une fraude scientifique afin d’atteindre Montagnier, qui avait laissé se poursuivre cette recherche.
Le 27 octobre 2007, à la conférence de Lugano "Nano-elements from pathogenic microorganisms", Luc Montagnier émet l’hypothèse de l’existence dans l’eau de nano-structures relativement stables, capables de mémoriser au moins partiellement une information génétique. La présentation est accompagnée d’un soutien clair aux travaux de Jacques Benveniste.
Au sein des chercheurs aux dents longues, la guerre faisait rage… et des journalistes n’ont pas su se tenir.
Claudine et Vinh Luu ont publié, en 1979, Connaissance de l'eau, réédité et enrichi en 2011.
Maladie de la vache folle
La maladie de la vache folle, ou encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), sous sa forme classique, est liée à l'ingestion par les bovins de farines animales contaminées qui étaient utilisées dans leur alimentation. Chez l'homme, la variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob est causée par l'agent de l'ESB transmis par la consommation de tissus, en particulier nerveux, mais aussi de viande, d’animaux atteints.
Voir aussi : Pr Luc Montagnier : des cas de Creutzfeldt-Jakob liés au vaccin contre le Covid ?
L’origine iatrogène est, elle, en particulier due à des injections d’hormone de croissance préparée à partir de tissus humains contaminés par une protéine prion anormale (PrPSc).
L’hormone de croissance naturelle (= somatotropine = growth hormone = GH) est un polypeptide de 191 aminoacides sécrété par les cellules somatotropes de l'hypophyse antérieure selon un régime pulsatile, sous le contrôle de l’hypothalamus. On sait qu’un manque de GH pendant l'enfance provoque un nanisme harmonieux. Le traitement comprend une hormonothérapie de substitution. Initialement, elle faisait appel à une hormone de croissance humaine dite « extractive » à partir d'hypophyses prélevées sur des cadavres.
En France, le prélèvement post-mortem s’effectuait par le nez, sans ouvrir la boite crânienne. L’affaire se déroule entre 1982 et 1985… Des lots, non traités à l'urée, contenant tous de la poudre d'hormone de croissance, ont été distribués après le 15 mai 1985 à 800 enfants. Ces lots ont été causes d’une maladie à prion (maladie de Creutzfeldt-Jakob = MCJ).
Dès 1979-1980, alors que les prions n'avaient pas encore été découverts, le professeur Montagnier demandait qu’« une attention particulière soit portée au danger de transmission de la MCJ » et préconisait, faute de certitudes, « d'écarter au moins certains donneurs d'hypophyse "à risque" » à savoir l’élimination, parmi les donneurs d’hypophyse, « de tous les sujets morts d’une affection virale aiguë, d’une encéphalopathie d’origine virale ou non virale, ou ayant présenté des troubles neuropsychiatriques graves dans les deux années précédant leur décès ».
À l’époque, le co-découvreur du virus du SIDA avait selon le Monde « du flair ». En 1979, son collègue de l'Institut Pasteur, le Pr Dray, lui demande une note sur la sécurité sanitaire dans son laboratoire, où il extrait l'hormone des hypophyses prélevées sur des cadavres. Malgré ses alertes de notre prix Nobel, l’avertissement n’a pas été écouté. Oui, quand notre prix Nobel alerte, il n’est pas entendu, encore moins écouté… Cela nous renvoie à une situation actuelle.
Lire aussi : « Que sont les prions ? Partie I : les maladies à prions, découverte et explications » « Que sont les prions ? Partie II : coronavirus, ARN messager et prions »
Sang contaminé
Du sang contaminé, scandale sanitaire, politique et financier… C’est en 1991 qu’éclate en France le scandale du sang contaminé : plusieurs centaines de malades ont été contaminés par le SIDA et l'hépatite C, en recevant des dérivés sanguins et des transfusions de sang.
En février 1999, trois anciens responsables politiques sont jugés pour des crimes ou délits commis dans l'exercice de leurs fonctions : l'ancien Premier ministre Laurent Fabius (1984-86) et deux ex-membres de son gouvernement, Georgina Dufoix (Affaires sociales) et Edmond Hervé (Santé). Ils comparaissent devant la Cour de Justice de la République (CJR) pour homicides et blessures involontaires. Seul Edmond Hervé fut condamné, mais dispensé de peine.
Là encore, dans l’affaire du sang contaminé, Luc Montagnier, visionnaire, avait questionné puis alerté. Il s’interroge dans Le Nouvel Observateur, le 8 septembre 1985 : « Quelle est la signification exacte de cette "positivité" ? Le virus est-il encore présent malgré les anticorps ? À quoi servent ces prétendus anticorps — destinés en principe à protéger — si la maladie n’apparaît justement que quand ils sont là ? Le sujet positif est-il contagieux, transmetteur du virus ? »
Et au procès : « Il y a eu faute de la société, faute de l’État à leur égard (les hémophiles), par la sous-estimation du risque qu’on leur a fait encourir. C’est là qu’il y a scandale. »
Les variants du virus de la Covid-19
Quand un article de l’AFP débute ainsi : « Adulé par les anti-vaccins, mais discrédité par la communauté scientifique » on comprend la hargne des journalistes.
Le professeur accuse les vaccins anti-Covid-19 d'être à la fois responsables de l'apparition de variants, mais aussi d'avoir provoqué un rebond de la mortalité. « C'est très simple, les variants viennent des vaccinations ». « Les nouveaux variants sont la résultante des vaccinations, et vous voyez toujours dans les pays (même pour l’Inde c’est pareil), que la courbe des vaccinations et la courbe des morts se suivent ». Il n'est pas seul à soutenir cette thèse.
Voir aussi : Christian Vélot : "la vaccination généralisée est contre-productive"
Monsieur Jean-François Delfraissy lui-même, président du Conseil Scientifique, envisage que la vaccination puisse être source de variants dans le journal "The Lancet", tout en soutenant la vaccination de nos petits en France… C'est à pleurer.
Quand l’AFP cite Vincent Maréchal en écrivant « il faut voir ça comme une course dans laquelle des mutations ont été choisies au hasard, partent sur la ligne de départ et vont rencontrer toute une série d’obstacles. Vous voyez alors qui parvient à l'arrivée en parvenant à se faufiler entre les mailles de la barrière immunitaire créée par des anticorps naturels ou vaccinaux… », elle ne fait que confirmer, sans le savoir peut-être, ce que dit Luc Montagnier.
Peu après, l'agence de presse écrit que « Les chiffres officiels montrent par ailleurs que la vaccination anti-Covid a en réalité fait reculer le nombre de morts, contrairement à ce qu'affirme le Pr Montagnier. » Mais c'est faux. Chaque vaccination est suivie d’un pic de décès… La vaccination n’empêche ni la contamination, ni la transmission. C'est tout juste si elle protège contre les formes graves, seul argument qui restait aux firmes. Tout cela est de plus en plus remis en cause à l’étranger.
Scientifique et visionnaire jusqu'à son dernier souffle
Son dernier message à propos de la Covid, qu'il a livré dans le cadre des manifestations contre le passe sanitaire en Italie, mi-janvier 2022, accueilli comme un héros à Milan :
« Ce n’est pas seulement le vaccin qui va la guérir, mais c’est la combinaison de traitements qui va éliminer cette maladie. Il y a eu une énorme erreur stratégique, quelque chose a été synthétisé et isolé. Contrairement à ce qui a été dit au début, ces vaccins ne protègent pas absolument, et cela vient lentement. C’est scientifiquement reconnu par tous aujourd’hui.
Je demande à tous mes collègues d’arrêter absolument de vacciner avec ce type de vaccin. Les médecins, aujourd’hui, sont parfaitement informés de ce que je dis, et donc ils doivent intervenir immédiatement, parce que l’avenir de l’humanité est en jeu. Beaucoup de pays ont abandonné les traitements, mais il n’y a pas que le vaccin, il y a des médicaments qui n’ont pas été utilisés et qui fonctionnent très bien, comme les antibiotiques.
Il dépend de vous, non-vaccinés, que demain vous sauviez l’humanité. Seuls les non-vaccinés pourront sauver les vaccinés. Des vaccinés qui, de toute façon, contacteront les centres médicaux pour être sauvés.
Il faut éviter d’écouter et d’accorder la parole à ceux qui n’ont pas le droit de le faire et laisser parler la science. Je le répète : ce sont les non-vaccinés qui pourront sauver l’humanité. Chaque citoyen est libre et doit aussi suivre les idées politiques, profitez des prochaines élections pour exprimer votre opinion.
Que dirais-je à un jeune d’aujourd’hui ? Vous devez absolument agir, chacun d’entre vous, et trouver la vérité cachée derrière les mensonges. Vive la liberté ! »
Il aura dénoncé tant de scandales scientifiques et médicaux. Il a été odieusement attaqué quand il a envisagé que ce virus pourrait être de construction humaine et que la vaccination risquait d’engendrer des cas de neurodégénérescences. Pourtant, jusqu'au bout, il semble avoir raison.
Ce qui n’empêche pas William Audureau, spécialiste des jeux vidéo au Monde, de continuer à discréditer le prix Nobel dans ses écrits, remettant systématiquement en cause ses thèses.
En France, la presse aux ordres tente de faire taire les chercheurs qui contredisent la parole des firmes, et ce sont toujours les mêmes signatures qui reviennent. Que ces journaleux ne tentent pas de tuer à nouveau notre décédé… La presse ne s'en relèverait pas… Quant à ce gouvernement… Finalement, n’est-ce pas le meilleur honneur que de ne pas en recevoir un véritable hommage ?
Le nombre impressionnant de prix et de distinctions de Luc Montagnier:
Auteur(s): Jean-Pierre G., pour FranceSoir
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C.130-Adjuvants du vaccin COVID- DANGER |
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Écrit par Michel Dogma |
Dimanche, 24 Octobre 2021 17:01 |
Après deux ans de négation de l’existence de nanoparticules magnétiques dans le vaccin COVID et le dénigrement systématique des personnes signalant que des objets métalliques ferreux pouvaient se fixer au voisinage du point d’injection du vaccin, la présence d’une substance magnétique (oxyde de graphène) utilisée sans aucune raison scientifique comme adjuvant est enfin reconnue et admise. La présence de cet adjuvant et surtout sa finalité reste à découvrir. En effet, la présence de nanoparticules magnétiques, surtout au niveau du cerveau va interférer avec les ondes électromagnétiques présentes dans l’environnement (5G notamment) dont on commence à découvrir les dangers pour la santé.
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...pour déresponsabiliser les collabos
Dans la démarche sans conteste honnête, humaniste et courageuse de nos ténors de la virologie et de la génétique, face aux risques qu’ils encourent en tant que leaders de la contestation intelligente, il y a néanmoins deux choses qui m’étonnent profondément et me déçoivent dans leurs discours sur l’affaire covid :
1 – Ils parlent tous de pseudo-vaccins expérimentaux ARNm
Je ne suis pas d’accord avec cette disculpante interprétation, car il faut ne jamais perdre de vue que Big pharma avec ses pions gouvernementaux et les médias aux ordres nous ont toujours menti et nous mentent plus que jamais. On nous fait croire que devant l’urgence d’une soudaine pandémie, il était normal et louable de griller les étapes réglementaires d’obtention d’AMM en nous faisant admettre un peu de casse pour le bien de tous – alors que c’est cela même qui a été reprochée au Pr Raoult avec l’hydroxychloroquine, ayant pourtant fait ses preuves depuis plus de 70 ans. De fait, nous avons pu apprendre par le Pr Fourtillan, preuves en main, que divers brevets sur le Cov19 avaient été déposés depuis bien longtemps par l’Institut Pasteur – ce qui a valu au Professeur 3 mois d’emprisonnement à la santé pour le faire taire. Il suffit de regarder les statistiques (non truquées…) pour comprendre que les vaxxs ARNm ne protègent pas mais tuent !
2 - Ils n’évoquent jamais les 3 produits-clés mortifères intégrés dans les vaxxs ARNm qui sont LA PROTEINE SPIKE, L’OXYDE DE GRAPHENE, L’HYDROGEL DARPA
Ne sont-ils donc pas au courant ? Ou se plient–ils à une dangereuse omerta ? Ou ont–ils tellement la tête dans le guidon avec la virologie qu’ils ont des œillères ? Seule en France la très sympathique et prestigieuse Dr Astrid Stukelberger parle précisément de ces poisons dans les pseudos vaccins. Ecoutez bien ce qu’elle dit, et partagez-le au maximum :
https://www.brighteon.com/034c4c46-aee1-4260-8d4b-4a3c4552e0b7
(17 min)
Le Professeur Péronne, lui, se limite à parler de "substances toxiques" sans les nommer. Pourtant la Quinta Columna n’a pas hésité à publier les analyses concordantes de plusieurs laboratoires espagnols des vaxxs Pfizer & Co. Comme suit :
- Oxyde de graphène (poison dangereux)
- Protéine Spike + Hydrogel Darpa (poisons dangereux)
- Aucune souche contre le corona Cov !!! ENORME !
Il faut aller aux Etats Unis pour qu’apparaissent des noms de sommités médicales telles les Drs Tenpenny, Mikovits, Ryan Cole, Hoffe… etc. qui osent braver l’omerta sur ce qu’on peut appeler un gigantesque complot.
Dans ma news "le grand secret de Pfizer & Co", la très compétente enquêteuse américaine Karen Kingston dont j’ai édité le remarquable travail nous apprend que l’Oxyde de graphène n’a pas été mentionné dans le brevet américain, soi-disant par droit de réserve commerciale (!!!). Est-ce pour cela que nos chers ténors de référence n’auraient pas pris au sérieux les infos sur le graphème, la protéine spike et l’hydrogel ? Par ailleurs, si nous revenons sur janvier et mars 2020 - début de l’aventure Corona Cov - la même Karen Kingston nous dévoile qu’une très grosse commande de graphène a été faite chez le fabricant chinois SINOPEG. Coïncidence ?
Je rappelle que dès mars 2020, j’avais déjà déclaré que le corona cov était un simple leurre pandémique pour détourner l’attention d’un piège mortel expérimental 5G composé d’une hyperfréquence particulière (60giga Hertz) appliquée sur la population de Wuhan après qu’elle ait préalablement reçu un vaccin antigrippal (probablement truqué avec de l’oxyde de graphène et de la protéine spike). A l’époque je ne connaissais pas l’existence de ces produits mais je n’avais jamais vu une grippe entrainer les foudroiements subits qui ont été filmés par les caméras de surveillance dans la rue (même des oiseaux tombaient morts du ciel). Or, c’est ce même phénomène que l’on constate encore régulièrement chez des vaxxés.
- Pour les détails documentés de mon narratif, je rappelle que toutes mes news sont consultables en page d’accueil sur mon site www.micheldogna.fr dans "archives publications" mois par mois. En particulier :
- « Le covid est un leurre »
- « Le grand secret de Pfizer &Co »
- « Graphène et 5G tout s’explique »
- etc
En attendant, voici plus de 18 mois que tout le monde palabre sans fin sur des enquêtes aussi compliquées que stériles autour des origines fumeuses du virus scélérat, ceci détournant l’attention des vrais problèmes… à résoudre !
CE QUE DEVIENT VOTRE SANG APRES AVOIR ETE VAXXE par Frédéric Chaumont sur Agora TV.
Il est clair que si vous échappez aux 3 morts subites possibles par embolie, vous n’échapperez pas au terrible coup d’accélérateur de votre vieillissement dû au colmatage progressif de tout votre réseau capillaire sanguin.
https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/Vaccine-Toi-Et-Tue-Toi---Votre-Sang-Après-Inoculation-Des-Produits-Expérimentaux-!-1:6
(12min 12)
CONFERENCE REMARQUABLE DU DOCTEUR RYAN COLE Vaccins ARNm, autopsies et protéine Spike (Enfin un qui parle de la protéine Spike !)
Le Dr. Ryan Cole, pathologiste, expose les images des tissus humains lésés par la protéine Spike suite aux injections. Cœur, poumons, reins, ovaires, testicules, foie...
https://infovf.com/video/covid-vaccins-autopsies-ryan-cole--10220.html
(17 min)
La comédie des variants
Oui, les variants se succèdent à cause des vaxxs et vont continuer à le faire au rythme des saisons comme toutes les grippes ! Et contrairement à ce que l’on essaie de nous faire croire (une fois de plus) ils dégénèrent avec le temps. J’ai déjà expliqué qu’inversement à la protéine Spike qui se fait faire des milliards de copiés collés par ses hôtes cellulaires, le graphène, lui, est progressivement neutralisé et éliminé par le glutathion, donc mollissant dans son action destructive et sa fonction de balise réceptrice de la 5G. Le prétexte de la nécessité de "vaxxs" anti variants sert à tout simplement effectuer des recharges en oxyde de graphème.
Par ailleurs je rappelle que notre cerveau qui est un ordinateur biologique, contient de la magnétite. Or, il faut s’attendre à ce que l’oxyde de graphène recevant des programmes par les ondes porteuses 5G soit en mesure de mettre la pagaille dans les neurones en dénaturant notre fonctionnement cognitif et même psychique, c’est d’ailleurs déjà le cas pour un certain nombre de vaxxés.
Pourquoi vaXXer les enfants ?
Encore une contradiction de principe flagrante, alors que les enfants sont réputés être très peu sensibles au cov qui est en fait une grippe, on veut les vaxxer sans explication ou en tant que porteurs sains contaminants. Après s’être attaqué aux vieux comme une faveur de priorité en raison de leur soi-disant fragilité, alors que vraisemblablement on les a massacrés (pour débarrasser le plancher des inutiles pesant sur les caisses de retraite), pourquoi s’attaque-t-on aux enfants ?
Il ne faut jamais perdre de vue que le programme central (« la solution finale ») est la dépopulation de 90% de la planète. Dans cette logique, l’urgence est de stériliser les jeunes et de les affaiblir pour en faire des esclaves dociles. Si vous ne voulez pas admettre tout cela, c’est votre droit, et continuez à croire à la magie de Noël de la télé... Je n’ai même pas évoqué l’épidémie explosive post vaxx d’endocardites et péricardites irréversibles d’une partie de ces jeunes sacrifiés qui seront handicapés à vie…
Message aux parents pour la rentrée scolaire
https://tvs24.ru/pub/watch/4520/important-une-arme-juridique-pour-les-parents/ (15 min)
Cloisonner les acteurs du crime pour qu'ils ne se rendent pas compte de leur implication
Au Luxembourg, le médecin généraliste Benoît Ochs risque un an de suspension de son activité parce qu'il a soigné les malades du Covid-19 et qu'il n'est pas favorable au dogme vaccinal. À la sortie de son audience, les journalistes lui ont tendu leurs micros. Écoutez attentivement ce que ce médecin dit au micro de RTL.
https://www.facebook.com/veriteettoncoeur/videos/548653652986408/ (2 min15)
Oui nous sommes dans une dictature où la plupart obéissent et pensent que le gouvernement a raison alors qu’il vous envoie à l’abattoir. A Nuremberg, les tyrans ont tous dit : "J’ai obéi aux ordres". Aux ordres ? En cascade d’un psychopathe criminel ? Trop facile ! Et leur zèle fut à la mesure de leur plaisir sadique.
Je vous conseille de revoir le film des années 60 "I comme Icare" avec Yves Montant, qui montre comment 85 à 90% des gentilles personnes qui vous entourent peuvent sous une autorité officielle devenir des tortionnaires obéissants et irresponsables…
Les principaux acteurs désignés actuels : les médecins (pas tous) et les enseignants (pas tous) qui comme les journaleux esclaves veulent avant tout sécuriser leur situation privilégiée.
- Nota : certains médecins piquent des ARNm à longueur de journée pour 100€ de l’heure, arrivant à se faire ainsi des mois jusqu’à 15 000€ - no comment !
Rappels en bref
ANTIDOTES PREVENTIFS pour proximité de vaxxés
ANTIDOTES CURATIFS pour vaxxés autoritairement
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C.129- Ont-ils AGGRAVÉ la pandémie?-Requisitoire contre la politique sanitaire du gouvernement |
Pas de théorie du complot, juste les FAITS – accrochez vos ceintures
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Bonne nouvelle pour les pays nordiques !
La Suède, la Norvège et le Danemark ont annoncé qu’ils levaient toutes les restrictions liées à la Covid.
Pour eux, l’épidémie est terminée, et il est grand temps revenir à la vie normale, la vraie.
Pas de « pass sanitaire », là-bas, et encore moins d’obligation vaccinale pour qui que ce soit.
Et non, leur population n’est pas plus vaccinée que celle de la France.
Ces pays ont simplement fait un choix fondamental : la liberté contre la surveillance techno-totalitaire (QR code), l’égalité entre les citoyens contre la discrimination envers les non-vaccinés, la fraternité nationale contre la division entre « bons » et « mauvais » citoyens.
Bref, ils ont choisi de vivre, ils ont choisi la vie plutôt que la psychose perpétuelle face aux virus.
Pour l’Occident, à présent, c’est l’heure du bilan.
Les décisions prises en France et ailleurs ont-elles limité la gravité de la pandémie…
…ou au contraire, amplifié le nombre de cas, de morts et de dégâts ?
C’est ce que nous allons voir aujourd’hui.
Je ne sais pas s’il s’agit d’incompétence, de corruption ou encore d’autre chose – ce n’est pas le sujet de cette lettre.
Mais comme vous allez le voir, presque TOUTES les mesures prises ont aggravé la situation.
Je sais que ça paraît difficile à croire.
Mais si l’on met les faits, bout à bout, c’est difficile de le nier :
Avant même l’explosion de l’épidémie, des décisions étranges
Encore une fois, je ne dis pas ici qu’il y a eu volonté de nuire.
Mais le résultat est là…à commencer par cette fameuse image :
1) Une semaine avant le confinement généralisé, M. et Mme Macron invitent les Français à se rassembler dans des espaces intérieurs, comme les théâtres :
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Laissez-moi vous expliquer le gros problème de cette « incitation » présidentielle, une semaine avant le confinement généralisé.
Sur le moment, je le reconnais bien volontiers, cet appel ne m’a pas choqué, car j’ai toujours pensé qu’il ne fallait pas s’arrêter de vivre à cause de ce virus.
Mais il y a un juste milieu : il est possible de vivre à peu près normalement, sans confinement, comme l’a fait la Suède, et prendre tout de même quelques précautions pour éviter la saturation des hôpitaux !
Ces précautions auraient dû être prises dès le mois de janvier, par nos gouvernants, pour une raison simple :
Ils savaient des choses sur ce virus que personne d’autre ne pouvait savoir à l’époque.
En effet, le mari de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, Yves Levy, avait inauguré en grande pompe le laboratoire P4 de recherche virologique de Wuhan, en 2017.
Il savait donc parfaitement qu’on y faisait des manipulations risquées sur les coronavirus de chauve-souris.
Il y a quelques jours, des investigateurs ont retrouvé – et rendu public – le « programme de recherche » de l’Institut de virologie de Wuhan, datant de 2018.
Dans ce document, on apprend que le laboratoire de Wuhan avait prévu d’introduire artificiellement, dans un coronavirus de chauve-souris, un nouveau « site de clivage de la furine » permettant de mieux infecter les êtres humains[1].
C’est le pistolet fumant qui clôt définitivement le débat sur l’origine du coronavirus.
Car depuis le début, les microbiologistes s’étonnent que le nouveau coronavirus possède ce fameux « site de clivage de la furine », parfaitement adapté pour infecter les êtres humains… alors qu’on n’avait jamais trouvé un site de cette nature dans les autres coronavirus de chauve-souris.
Et on apprend maintenant que les laboratoires de recherche de Wuhan avaient prévu de créer précisément ce genre de virus chimérique, avec site de clivage adapté à l’homme !
Voilà pourquoi le coronavirus s’est répandu comme une traînée de poudre dans le monde entier : c’est parce qu’il a été créé pour cela !
Mais c’était à peine imaginable, au départ - et c'est pour cela que le Pr Raoult, comme moi, n'étions pas inquiet du coronavirus chinois en janvier 2020. Parce que les maladies infectieuses sont des maladies « d’écosystème » qui franchissent très rarement les continents. Problème : c’était vrai pour les virus « naturels »... mais faux pour les virus bricolés en laboratoire pour être le plus infectieux possible ! Agnès Buzyn, elle, savait certainement que ce virus était artificiel.
Dès le 30 janvier 2020, elle avait averti le Premier Ministre que « les élections ne pourraient sans doute pas se tenir ».
Elle a aussi déclaré ceci au journal Le Monde : « Quand j’ai quitté le ministère (NDLR : le 16 février), je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. »
Bizarrement, malgré ces alarmes répétées, Emmanuel Macron invite les Français à sortir au théâtre au début du mois de mars, au moment même où l’épidémie ravage le nord de l’Italie.
Pire : il refuse obstinément de fermer les frontières, notamment avec l’Italie !
2) Aucune fermeture des frontières – pourtant le principal moyen d’éviter une contagion massive
C’est étonnant, car la fermeture des frontières est une des seules mesures efficaces contre la Covid.
On l’a vu avec les exemples de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande – même si leur stratégie zéro covid est totalement folle, le fait est que la fermeture quasi-totale des frontières leur a permis de contenir l’épidémie pendant plus d’un an.
Bien sûr, la France n’est pas une île, et il était impossible de fermer totalement le pays.
Mais si l’objectif le plus raisonnable était, non pas d’éviter le virus, mais de lisser les contagions dans le temps, pour éviter une surcharge brutale et catastrophique des hôpitaux, alors fermer les frontières était la meilleure option !
Et pourtant, cela a été refusé par Emmanuel Macron, avec cet argument invraisemblable : « le virus n’a pas de passeport », a-t-il dit aux Français dans son allocution du 12 mars 2020 ![2]
Argument d’autant plus ridicule que, 5 jours plus tard, le même Emmanuel Macron annonce le confinement généralisé et… interdit les déplacements entre régions ou départements (avec le fameux rayon de 100 kilomètres) !
A la décharge d’Emmanuel Macron l’argument absurde du « virus qui n’a pas de passeport » était défendu à l’époque par les experts de l’OMS[3] (ce qui ne fait qu’accroître ma suspicion sur toute cette affaire).
Le président américain de l’époque avait même été vertement critiqué dans le monde entier pour avoir fermé la frontière des États-Unis avec la Chine dès le 30 janvier – ce qui était pourtant parfaitement pertinent !
3) Pire que de ne pas fermer les frontières ? Rapatrier les Français de Wuhan sans précaution
Ce qui s’est passé avec les arrivants en France depuis la région de Wuhan est peut-être encore plus stupéfiant.
Vous souvenez-vous d’un des premiers patients Covid, un touriste chinois de 80 ans originaire de Hubei, la région qui englobe la ville de Wuhan ?
Il est arrivé en France le 23 janvier… est allé aux Urgences le 25 janvier parce qu’il était malade… et a été renvoyé chez lui !
Puis, à nouveau hospitalisé à l’hôpital Bichat, il a finalement été diagnostiqué Covid, a reçu du remdésivir… puis est décédé, devenant le 3ème mort du Covid recensé officiellement hors de Chine ![4]
Et que dire d’un des premiers clusters, en France, qui a eu lieu dans l’Oise ?
Il s’est produit à côté de la base militaire de Creil, qui abritait l’équipage et les militaires qui ont ramené par avion les Français de Wuhan, le 31 janvier.
Et comme par hasard, l'un des infectés de ce cluster était un logisticien venant de cette base militaire (qui n’était pas allé à Wuhan[5]).
Les militaires revenus de Wuhan ont-ils été testés contre le coronavirus ?
Eh bien non !
C’est pourtant ce que la Ministre des Armées avait déclaré, le 4 mars… mais elle a dû avouer devant une commission parlementaire, sous serment, qu’elle avait menti[6] !
Ces militaires ont bien subi une quarantaine de 14 jours mais ils n’ont pas été testés systématiquement.
Cette absence de test, étrange, n’est d’ailleurs pas isolée.
Voici ce qui s’est passé, avec les Français rapatriés de Wuhan qui ont été placés à l’isolement, près de Marseille – ce récit a été publié dans le journal Le Monde[7] :
[Le 31 janvier 2020, les Français rapatriés de Wuhan, épicentre chinois de l’épidémie de Covid-19, sont installés à Carry-le-Rouet, dans les Bouches-du-Rhône, à quelques kilomètres de l’IHU de Marseille.]
À peine informé, le Pr Didier Raoult met sur pied un plan d’attaque. D’abord envoyer ses « troupes » sur le tarmac, à l’aéroport d’Istres. Ne pas laisser descendre les rapatriés de l’avion avant de leur avoir mis un écouvillon dans la narine. (…)
« Dépister, tracer, isoler », c’est depuis toujours son mantra. Avant même que l’Airbus militaire n’atterrisse, il explique donc aux autorités sanitaires : (…) « Vous nous laissez monter dans la carlingue. On prélève. On a le résultat en deux heures. Et on peut dire : vous, les infectés, venez chez nous, à l’IHU. Les autres, vous partez à Carry-le-Rouet, on vous fout la paix. » Aussitôt dit, quatre membres de l’institut foncent à l’aéroport d’Istres avec leur matériel.
Sur le tarmac, ils tombent nez à nez avec Agnès Buzyn. La ministre de la Santé est venue de Paris souhaiter la bienvenue aux « expat ». Mais la seule présence des « Raoult Boys » semble lui gâcher sa journée. (…) Des tests dans l’avion, au débotté ? Pas question. »
Pour se justifier, Agnès Buzyn évoque des formulaires à remplir, des protocoles à respecter…
Mais cela n’explique pas tout.
Car non seulement le gouvernement n’a pas voulu tester les rapatriés de Wuhan…
…mais pendant des semaines, les autorités ont refusé de faire ce que le Pr Raoult faisait massivement, à l’IHU Marseille !
4) Refuser de tester massivement, dès les premiers symptômes, comme l’a fait le Pr Raoult à Marseille
Pourtant, tester, dépister, c’est le BA-BA, en maladie infectieuse.
Lors de son entretien avec le Président Macron, le 9 avril, le Pr Raoult ne s’est pas privé de lui signaler :
Pr Raoult : « Vous êtes fous de ne pas avoir fait faire de tests. On vous a raconté que la PCR, c’était vachement compliqué (…). En vérité, n’importe qui est capable d’en fabriquer.
– Je sais, répond le président de la République. Vous avez été le premier à me l’avoir expliqué. Personne ne l’avait fait, et vous aviez raison.
– Nous n’avions pas de tests début mars…, rappelle [Jean-François] Delfraissy [le président du conseil scientifique].
– Écoute Jean-François, les vétérinaires étaient prêts à vous en donner des milliers, coupe Raoult. »
De fait, les vétérinaires avaient des stocks énormes des fameux « réactifs »[8] qui auraient pu permettre de tester beaucoup plus largement la population.
Ce blocage bureaucratique rappelle d’ailleurs un autre scandale, rapidement oublié :
Au printemps 2020, de nombreuses cliniques privées auraient pu accueillir des patients Covid, notamment en réanimation…
…mais plutôt que de faire appel à elles, notamment dans l’Est submergé, on a préféré médiatiser des transferts de patients dans d’autres régions… dans des hôpitaux publics[9] !
Selon le sénateur Alain Fouché : « Dans le Grand Est, plusieurs patients atteints du Covid-19 ont été évacués vers Marseille et Bordeaux, puis vers l'Allemagne et vers la Suisse à la fin du mois de mars, alors que 70 places de réanimation libérées dans des cliniques n'étaient pas utilisées. »[10]
Simple incompétence bureaucratique ?
Probablement, mais cela a permis d’enfoncer les Français dans la peur, avec des évacuations par hélicoptère très médiatisées.
Je vois que j’ai déjà été long, et je n’ai fait qu’aborder les toutes premières décisions prises !
Restez connecté, dans ma prochaine lettre, j’aborderai les décisions « étranges » du mois de mars 2020 :
- Privilégier le paracétamol contre l’ibuprofène et les corticostéroïdes ;
- Placer un maximum de patients sous ventilateur (plutôt que donner de l’oxygène à haut débit) ;
- Ne pas recommander la vitamine D et autres compléments alimentaires dans les maisons de retraite ;
- Plutôt que d’essayer de soigner, encourager en Ehpad l’utilisation du rivotril, un médicament qui abrège les souffrances
- Etc.
Vous verrez : quand j’aurai fini la liste, vous comprendrez que l’épidémie n’aurait jamais dû être plus problématique qu’une saison de « mauvaise grippe ».
Bonne santé,
Xavier Bazin
Pire que l’interdiction de la chloroquine ? Passage en revue des décisions catastrophiques sur le traitement du Covid
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Ça y est, le Pr Raoult saute dans l’arène à pieds joints !
Il vient de publier un nouveau livre choc : Au-delà de l'affaire de la chloroquine : comment l'industrie pharmaceutique pervertit nos systèmes de santé et met la nôtre en péril.
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Il y dénonce le plus grand scandale de cette crise du Covid : le refus de soigner les malades avec des molécules efficaces comme l’hydroxychloroquine.
De fait, avec plus de 200 études scientifiques publiées, il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que l’hydroxychloroquine réduit un peu le risque de contamination (en prévention), et réduit nettement le risque d’hospitalisation et de mort (en traitement précoce)[1].
C’était ce qu’avait prévu le Pr Raoult, dès le 27 février 2020, lorsqu’il avait annoncé au monde entier l’efficacité probable de la chloroquine, sur la base des essais chinois.
Et pourtant… vous connaissez la suite :
- Non seulement l’hydroxychloroquine ne sera pas retenue, le 11 mars 2020, par nos « scientifiques officiels » chargés de tester des remèdes anti-Covid (ils ont privilégié des médicaments moins prometteurs et beaucoup plus chers)…
- Mais l’hydroxychloroquine sera interdite aux médecins généralistes le 27 mars 2020, en pleine épidémie, et réservée aux cas critiques à l’hôpital.
J’ai déjà raconté cette affaire abracadabrante dans mes lettres, et en détail dans mon livre Big Pharma démasqué – donc je n’y reviens pas ici.
Gardez simplement en tête ceci : sans cette « erreur » dramatique, la pandémie aurait été ressentie comme un épisode de « mauvaise grippe », un peu comme la grippe de Hong-Kong en 1968.
Car en généralisant l’hydroxychloroquine dès le mois de mars 2020, comme le proposait le Pr Raoult, on aurait probablement pu :
- diviser par deux le nombre de morts Covid ;
- réduire de moitié au moins le nombre d’hospitalisations et réanimations ;
- et donc éviter les confinements ravageurs, sans le moindre risque d’engorgement des hôpitaux.
C’est donc une erreur criminelle, mais ce n’est pas la seule, loin de là.
D’autres erreurs majeures dans le choix des traitements ont aggravé l’épidémie.
Elles sont moins connues, mais vous allez voir, elles sont extrêmement choquantes également :
1) L’usage massif du rivotril pour abréger les souffrances en Ehpad plutôt que d’essayer de soigner les malades
L’affaire du médicament injectable « rivotril » en Ehpad est assez inouïe.
Fin mars 2020, un décret autorise l’utilisation exceptionnelle du rivotril dans les Ehpad.
L’objectif est de plonger en « sédation profonde » les patients gravement malades du Covid, pour les soulager au moment où leurs poumons sont défaillants, en détresse respiratoire.
En soi, l’utilisation de « soins palliatifs » n’est pas choquante si l’objectif est d’atténuer les souffrances de malades en état critique, trop âgés pour être acceptés en réanimation.
Mais ce qui est plus que troublant, c’est que le rivotril ne se contente pas de « soulager » : il conduit aussi à abréger la vie des malades en accélérant le décès !
Ce n’est pas de la « théorie du complot ».
La notice d’utilisation du médicament le précise en toutes lettres[2] :
« N’utilisez jamais Rivotril 1 mg/1 ml, solution à diluer en ampoules si vous avez une insuffisance respiratoire grave (maladie grave des poumons). »
N’y avait-il aucun autre médicament disponible pour améliorer le confort des patients Covid gravement malades ?
Et plutôt que faire des injections mortelles, pourquoi ne pas essayer de soigner et guérir ?
Il faut savoir que le « décret rivotril » est paru fin mars, deux jours après le décret interdisant aux médecins de prescrire de l’hydroxychloroquine, y compris en Ehpad !
Cette affaire est tellement choquante que même France Info a diffusé des témoignages accablants de médecins, comme celui-ci :
« En fait, c'étaient des injonctions paradoxales. J’ai pas le droit de prescrire quelque chose qui pourrait soigner les personnes si elles étaient atteintes (NDRL : l’hydroxychloroquine).
Par contre, je suis autorisée à les faire partir, en douceur comme ils disent.
Je suis encore choquée. Qu'on ait osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite, c'est insupportable. C’est un sentiment d’horreur. »[3]
Oui, c’est « l’horreur » : on a préféré « achever » des patients plutôt que d’essayer un médicament qui avait une chance de les soigner !
Et comme si cela ne suffisait pas, on n’a pas non plus essayé de donner aux patients en Ehpad un remède préventif aussi simple et efficace que… la vitamine D !
2) Criminel : refuser de recommander la vitamine D aux personnes âgées
Ce qui s’est passé sur la vitamine D est au moins aussi grave.
Dès le 3 mars 2020, j’ai invité tous mes lecteurs à faire le plein de vitamine D.
J’avais placé ce conseil en numéro 1 de mon protocole naturel anti-covid :
- Parce que de nombreuses études ont montré que la vitamine D réduit le risque d’être infecté par des virus respiratoires ;
- Et parce que la vitamine D est indispensable au bon fonctionnement du système immunitaire, ce qui est précieux pour éviter les formes graves et les fameuses tempêtes immunitaires (ce que l’Académie de Médecine confirmera deux mois plus tard).
L’énorme avantage de la vitamine D, c’est que l’on peut en prendre de fortes doses sans le moindre danger à court terme. Il n’y a donc « rien à perdre ».
Chez les personnes âgées, on a même « tout à gagner », car la plupart sont carencées, particulièrement dans les Ehpad… et particulièrement en mars, à la sortie de longs mois d’hiver sans soleil.
Bref, face à l’épidémie qui arrivait, il était évident qu’il fallait recommander cette vitamine à tout le monde… et tout particulièrement en maison de retraite où elle aurait pu être distribuée massivement, à moindres frais.
Sans surprise, son efficacité contre la Covid a par la suite été confirmée par des dizaines d’études scientifiques[4].
Je ne citerai que deux études : l’une, française, qui a montré que les résidents de maison de retraite qui avaient eu la chance de recevoir une grosse dose de vitamine D (80 000 UI) dans le mois précédent leur infection ont été deux fois moins nombreux à mourir du Covid[5].
Et une étude espagnole qui a montré une diminution drastique du risque de passage en réanimation quand les patients avaient reçu de la vitamine D dès leur entrée à l’hôpital[6].
Au total et comme on pouvait s’y attendre, on aurait pu réduire les dégâts du Covid de façon considérable rien qu’en donnant de la vitamine D en prévention et dès les premiers symptômes.
Et pourtant :
…non seulement nos hôpitaux n’ont jamais donné de vitamine D à leurs patients Covid…
…non seulement nos autorités n’ont jamais prononcé le mot de « vitamine D » pour encourager les Français à renforcer leur système immunitaire, en prévention…
…mais nos autorités ont même activement découragé les gens à se supplémenter !
La preuve avec ce qui s’est passé en janvier 2021.
À ce moment-là, les preuves scientifiques sont tellement flagrantes que 6 sociétés savantes et 73 médecins hospitaliers font un appel solennel dans la presse française en faveur de la vitamine D[7].
Eh bien croyez-le ou non, plutôt que de suivre cette recommandation , c’est le moment choisi par l’Agence du Médicament pour alerter de quelques cas de surdosages (sans gravité) chez les nourrissons…
….ce qui a été relayé par les médias pour dissuader les Français de prendre cette vitamine :
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Ce phénomène aberrant n’est pas franco-français.
Au Canada, un rapport officiel d’avril 2020 demandait aux médecins en Ehpad de « Minimiser le nombre de prescriptions », notamment celles de « Vitamine D » sous prétexte de limiter les contacts avec les patients.
Donc, au moment où les personnes âgées avaient le plus besoin de vitamine D – ainsi d’ailleurs que de zinc, sélénium, magnésium, vitamines B, C et E (etc…) – la plupart des autorités sanitaires occidentales ont refusé de lever le petit doigt pour les supplémenter massivement !
Et ce n’est pas tout.
Non seulement on a refusé de soigner et de prévenir avec des traitements qui marchent…
…mais les « traitements » utilisés massivement en mars 2020 ont causé plus de dégâts que de bienfaits :
3) Doliprane plutôt que l’ibuprofène, aspirine et cortisone : une recommandation catastrophique
Le 14 mars 2020, Olivier Véran fait cette déclaration assez inouïe :
« La prise d'anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone, ...) pourrait être un facteur d'aggravation de l’infection.
En cas de fièvre, prenez du paracétamol »[9]
Cette recommandation a probablement causé à elle seule des milliers de morts en France.
D’abord parce que le paracétamol a aggravé la maladie Covid… mais aussi parce que les anti-inflammatoires classiques auraient peut-être pu sauver des vies !
Voyons ceci, en détail.
D’abord, rappelons que ni le paracétamol ni les médicaments anti-inflammatoires ne sont à recommander face à une infection virale, dans les premiers jours.
Car l’inflammation et la fièvre sont des réponses naturelles qui permettent de freiner la multiplication et la dissémination du virus dans notre corps.
Mais attention : dans la deuxième phase de la maladie Covid, certains anti-inflammatoires peuvent être salvateurs, car le danger ne vient plus tellement du virus que du risque de dérèglement inflammatoire !
Et cela, on commençait déjà à le savoir au moment où Olivier Véran a demandé d’éviter soigneusement les anti-inflammatoires.
Dès le début de l’année 2020, des spécialistes avaient pointé les dégâts du Covid liés à une inflammation incontrôlée – ce qui justifiait d’envisager des « anti-inflammatoires » :
- Dès le mois de février, un article publié dans le National Geographic observait que, dans la Covid-19, on observait également que « la réponse immunitaire (processus inflammatoire) cause plus de dégâts qu'elle n'en corrige »[10] ;
- Le 16 mars, une lettre d’experts publiée dans The Lancet décrit les ravages causés par la tempête inflammatoire et demande des traitements adaptés[11].
Or quel était, à l’époque, le remède le plus connu et le plus puissant contre les tempêtes inflammatoires pouvant causer une défaillance généralisée des organes ?
Les corticostéroïdes, comme la cortisone déconseillée par Olivier Véran[12] !
De fait, c’est bien un médicament de cette famille-là, la dexaméthasone, qui sera quelques mois plus tard le premier traitement « validé scientifiquement » pour les patients gravement atteints de Covid[13].
Bref, lutter contre la tempête inflammatoire était une piste majeure, dès le début.
Dès le 26 mars, des chercheurs canadiens ont lancé une étude pour « tester les effets d’un anti-inflammatoire, la colchicine », contre la fameuse tempête inflammatoire – et les résultats confirmeront plus tard son efficacité[14].
Et ce n’est pas un hasard si de nombreuses molécules ayant des effets sur l’inflammation ont montré une efficacité contre la Covid, comme l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou encore la curcumine.
Au total, recommander au mois de mars 2020, comme l’a fait O. Véran, le paracétamol plutôt que l’ibuprofène ou la cortisone était le pire choix possible contre le coronavirus.
D’abord parce que le paracétamol n’a pas les effets potentiellement bénéfiques des anti-inflammatoires classiques dans la phase la plus critique de la maladie.
Mais aussi parce que le paracétamol a un inconvénient majeur : il vide nos réserves en glutathion, une substance indispensable pour assurer l’efficacité de la réponse immunitaire et faire face aux risques de tempête cytokinique[15] !
S’il fallait absolument donner un médicament de « confort » contre des maux de tête et douleurs, il fallait plutôt recommander des petites doses d’aspirine, qui ont le grand mérite de fluidifier le sang, ce qui peut éviter les caillots et thromboses mortelles parfois causées par la Covid-19 !
Mais non. Olivier Véran n’est d’ailleurs jamais revenu sur sa recommandation, même après coup.
C’est ainsi que le seul médicament qui a été autorisé, recommandé officiellement et donné massivement aux patients, à domicile comme à l’hôpital, à savoir le paracétamol :
- N’avait aucune chance de les guérir – il était donné uniquement par confort ;
- Avait le grand tort de casser la fièvre en début de maladie, qui est pourtant le premier rempart face aux infections virales ;
- Ne possédait pas les effets bénéfiques des alternatives médicamenteuses (en phase critique, effet anti-inflammatoire de l’ibuprofène et de la cortisone / effet anti-thrombotique de l’aspirine) ;
- Avait l’effet dramatique de vider les réserves de glutathion, substance essentielle pour lutter efficacement contre les « tempêtes inflammatoires » ;
- Et, ne l’oublions pas, a des effets toxiques pour le foie à haute dose, ce qui était imprudent quand on sait que le virus de la Covid s’attaque aussi à cet organe.
Bref, on ne pouvait pas faire pire…
…sauf en réanimation, où l’on a fait un choix thérapeutique désastreux, au début de l’épidémie :
4) L’intubation trop systématique a causé des morts et amplifié la panique
Sur ce point précis, je ne jette pas la pierre aux médecins ni aux autorités, car c’était une nouvelle maladie, et l’erreur est humaine.
Mais il faut revenir sur cette affaire d’intubation, car elle a largement contribué à alimenter la psychose irrationnelle autour de l’épidémie.
En mars 2020, les personnels des hôpitaux étaient terrifiés à l’idée d’attraper eux-mêmes le virus – pour leur propre santé, mais aussi pour éviter de contaminer leurs autres patients.
Et ils ont cru que l’intubation massive des patients était la meilleure protection pour eux-mêmes, pour éviter l’aérosolisation du virus[16].
Mais au bout de quelques semaines, on a réalisé que l’intubation quasiment systématique avait causé au contraire trois problèmes majeurs :
- Loin d’aider les patients, elle a au contraire augmenté le nombre de morts, car on s’est rendu compte que l’intubation causait la mort de nombreux patients qui auraient survécu avec de l’oxygène à haut débit ;
- Elle a de surcroît conduit à une suroccupation des lits de réanimation, car un patient intubé y reste plusieurs semaines avant de s’en sortir ou de mourir ;
- Et elle a créé une angoisse sur le nombre de « respirateurs » disponibles, avec la crainte qu’on n’en ait pas pour tout le monde !
Je vous rappelle les grands titres de la presse à la fin du mois de mars :
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Dans la tête de tout le monde, l’intubation était salvatrice, et des malades risquaient de ne pas pouvoir en bénéficier, faute de place en réanimation ou de respirateurs en nombre suffisant !
En réalité, c’était l’inverse : intuber trop systématiquement causait des morts et une surcharge artificielle des places en réanimation !
Cette terrible affaire a été parfaitement résumée par Marc Garnier, anesthésiste-réanimateur à l’hôpital Saint-Antoine (Paris), interrogé dans la Revue du Praticien :
« Au tout début de l’épidémie, il était recommandé – notamment pour protéger le personnel – d’intuber le patient dès qu’il avait une forme grave et des besoins très importants d’oxygène.
Toutefois, l’intubation (et le coma artificiel induit) sont associés à une augmentation de la durée de séjour, des risques de complication et de la mortalité, quelle qu’en soit la cause.
Avec l’expérience de la première vague de Covid, aujourd’hui, on propose systématiquement des techniques non invasives en première intention (…) Le bénéfice est aussi collectif, car cela permet de garantir plus de places en réanimation. »[17]
De fait, les chiffres de survie en réanimation se sont nettement améliorés lorsqu’on a abandonné l’intubation systématique[18] et qu’on a fini par donner des corticoïdes salvateurs.
Donc, la surmortalité énorme du mois de mars en Italie du Nord, dans le grand Est, en Ile-de-France et à New York, était une anomalie, largement liée à des choix médicaux contre-productifs.
Encore une fois, je ne jette pas la pierre au système médical sur ce point.
Mais une chose est sûre : cela a installé durablement la psychose.
Après l’épisode dramatique des mois de mars et avril 2020, la population entière a été convaincue que la Covid-19 était une sorte de peste noire, justifiant les restrictions les plus drastiques.
…alors que, bien gérée, elle aurait pu être un épisode de « mauvaise grippe », sans panique ni mesures liberticides.
D’ailleurs, même avec toutes ces erreurs désastreuses (sur l’hydroxychloroquine, la vitamine D, le rivotril, le paracétamol et les intubations)…
…était-il vraiment nécessaire de confiner, en mars 2020 ?
Sans même parler de ses ravages collatéraux, est-ce que le confinement a été utile sur le coup pour éviter l’explosion des hôpitaux… ou bien au contraire est-ce que cette mesure aussi a été contre-productive ?
Je vous réponds dans une prochaine lettre - préparez-vous à être surpris !
Bonne santé,
Xavier Bazin
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