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Jun 6
C.125- COVID Révélateur de l'échec de la recherche française

En ma qualité de Directeur de Recherche honoraire et ayant participé pendant 40 ans à diverses commissions d'évaluation au CNRS et à l'INSERM, je tiens à republier la tribune  du Docteur Gérard Maudrux du16 mars 2021 pour Francesoir  et lui apporter mon soutien.

Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber

TRIBUNE - Le vaccin Astra Zeneca bat de l’aile. Est-ce la petite goutte d’eau qui va faire déborder le vase ? C’en est une, il va y en avoir d’autres, dans les semaines et les mois à venir, et encore dans quelques années on découvrira des secrets bien gardés.

On a mis des années pour admettre que le nuage de Tchernobyl ne s’était pas arrêté à la frontière, et que le discours rassurant des autorités de l’époque était mensonger, et de plus dangereux car a empêché de prendre les précautions qu’il fallait.

L’histoire se répète car rien n’a changé dans notre pays. Cette fois, c’est la gestion, et surtout le traitement de l’épidémie de Covid-19 qui va exploser en montrant ses dessous. Christian Perronne écrivait il y a neuf mois « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commis ? ». Oui, et il pourrait en écrire un second car il y en a eu d’autres, notamment la gestion des traitements, de la recherche à la validation.

Le vaccin Astra Zeneca n’est que la partie immergée de l’iceberg des traitements. Vous l’avez lu partout : de plus en plus d’accidents avoués, de plus en plus d’accidents cachés, mais encore hier, nos gouvernants, nos scientifiques, la presse, nous expliquaient qu’il ne fallait pas céder au complotisme. Il a fallu que le reste du monde bouge, car sans eux, nous aurions toujours le même discours, les mêmes mensonges. On tente encore de nous rassurer, l’OMS, l’Europe vont nous rassurer et dire que nous avions raison. Ce discours montre que nos autorités sont incapables de voir ce qui se passe sur le terrain, d’en tirer des conclusions, et d’agir. Ils s’en remettent aux autres pour observer, pour décider. Que va-t-il sortir de ces décisions Européennes ? Un discours rassurant, mais croyez-vous que les pays qui ont décidé d’arrêter, en leur âme et conscience, sans attendre les autres, vont se déjuger ? Face à cette situation, même si on redonne l’autorisation, croyez-vous que les gens vont accepter de l’Astra ?

Le problème Astra révèle nombre de problèmes, et vous verrez que cela va suivre avec les autres traitements qui ont été bloqués systématiquement. Pour l’Ivermectine, vous apprendrez bientôt bien pire. Nous allons apprendre aussi que les antibiotiques, ça marche, et vous saurez un jour pourquoi et qui a bloqué tout cela depuis le début. D’autres masques vont tomber progressivement. La vérité finit toujours par sortir un jour.

Astra, après le Remdesivir, le Bambalaba, le refus de certaines RTU, c’est la faillite de nos autorités sanitaires. Chargées de vérifier, de certifier, elles ont montré qu’elles en étaient incapables. Le Boeing 737 Max est un autre exemple de ces « certifications ». Le dossier, la certification ont été faits par Boeing, les autorités « compétentes » n’ont fait que valider. Il a fallu des morts pour voir comment cela se passait en réalité. Cela se passe exactement de la même manière avec les médicaments. Le labo fait le dossier, ceux qui sont chargés de vérifier ne vérifient pas (d’ailleurs on a vu que maintenant on commandait avant de savoir si cela allait être certifié). Pourquoi les effets secondaires actuels, ne sont pas apparus dans les études ayant servi à la certification ? Tout est là. On n’est même pas sûrs de l’immunité, de sa durée, mais on valide quand même, sans précautions. Et quand il n’y a pas de labo pour monter leur propre dossier de validation, comme pour l’Ivermectine, les autorités ont des problèmes, on dirait qu’elles ne savent pas faire.

Nos autorités, pour traiter le Covid ne font rien, elles s’en remettent à l’industrie pharmaceutique. « Des chercheurs qui cherchent, on ne trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche », disait le Général de Gaulle. 50 ans après, on cherche toujours.

Pour revenir à l’Ivermectine, et à d’autres traitements qui pourraient rendre service, tombés dans le domaine public, avez-vous remarqué d’où viennent les études ? Inde, Bengladesh, Iran, Irak, Colombie, Pérou, république Dominicaine, Argentine, etc. Rien, strictement rien chez nous. On n’a plus de chercheurs ? Regardez pour les vaccins, 200 dans le monde, combien au pays de Pasteur ? Nous sommes tombés très très bas. Non seulement nous sommes très bas, mais nous refusons de voir ce qui se passe dans ces pays qui ne méritent pas notre attention. Ce sont des « petits », nous nous sommes un grand pays, qui a marqué le monde avec sa médecine, nous n’avons de leçons à recevoir de personne.

Pourtant il y a des médecins qui cherchent à traiter, qui demandent à tester ici et là, mais on leur refuse, c’est pour cela que nous ne publions rien. Et quand il y en a un qui passe outre, qui a les moyens de le faire, tout le monde lui tombe dessus et le traite de charlatan. Alors où est-ce que cela s’arrête ? Connaissez-vous l’Inserm ? Le comité REACTing ? C’est là que passent une bonne partie des bonnes volontés qui se font casser.

C’est là qu’est passé un de nos confrères, qui après avoir constaté les bienfaits d’une cure d’Ivermectine en Ehpad (avant la même histoire en Seine et Marne), a voulu reproduire la chose dans d’autres Ehpads pour vérifier, prouver. Il avait les fonds, un groupe prêt à suivre, réponse : non, on ne vérifie pas, on ne cherche pas de traitement. Pire ces gens ne savaient pas ce qui se passait dans les Ehpads, ne voulaient pas le croire, ne connaissaient pas l’Ivermectine, l’Onchocercose. Tout ce qu’ils ont sorti comme excuse, c’est l ‘étude frauduleuse de 1997 (patients badigeonnés avec 2 insecticides mortels en sus de l’Ivermectine). « Vous allez tuer les patients », avec un médicament qu’ils ne savaient pas avoir le meilleur rapport bénéfice/risque au monde. Ils ont refusé de regarder.

Franz-Olivier-Giesbert dans Le Point du 11 mars, racontait que du temps des communistes, il racontait à un cadre du PC avoir vu des prostituées en bas de son hôtel. « C’est impossible, lui a-t-on répondu, il n’y a pas de prostituées en Union Soviétique ». « Si, si, j’ai bien vu, venez vérifier avec moi ». « C’est inutile, le communisme a mis fin à la prostitution ». Pas besoin d’aller voir, c’est comme ça. Eh bien il en est de même avec l’Ivermectine. Allez voir Mme Castigliola de l’Inserm, membre du comité REACTing, que l’on voit partout, qui écrit partout contre l’Ivermectine. Pas la peine de faire des essais pour savoir si cela marche, parce que cela ne marche pas, point. Voilà pourquoi on n’essaie pas de trouver un traitement pour le Covid.

Et ces gens-là, pendant qu’on rame sur le terrain avec les patients, s’auto-congratulent, se distribuent des médailles, comme pour les 7 d’or. Les Grands prix de l’Inserm 2020 ont récompensé ceux qui ont œuvré pour le traitement de l’épidémie du Covid. De Gaulle aurait bien aimé savoir ce qu’ils ont trouvé pour justifier ces prix.

Voici les Lauréats des prix 2020 décernés en décembre :

  • Grand Prix, Dominique Costagliola, qui « a mis son expertise de la recherche anti-VIH au service de la lutte anti-Covid dans le cadre de REACTing ».
  • Prix recherche, Florence Ader, « qui a piloté Discovery » (avec succès, on attend toujours le résultat). « Si à ce jour, les premiers traitements proposés n’ont pas fait preuve d’efficacité, le formidable réseau de recherche clinique créé à cette occasion est opérationnel pour permettre d’essayer de nouveaux traitements candidats contre la covid-19. » (Sic)
  • France Mentré, « responsable méthodologie de Discovery ». Méthode, on l’a vu, efficace.
  • Prix OPECST-INSERM, Yazdan Yazdanpanah. Tête pensant de REACTting avec La Castafiore.
  • Prix innovation, Frédérique Lesaulnier. Déléguée à la protection des données.
  • Hélène Espérou. Chargée des projets de recherches cliniques.
  • Jean Christophe Hébert, montages juridiques des projets de recherche.

Voilà pour la brochette de chercheurs récompensés pour leur « excellence scientifique au service de la lutte contre la pandémie de Covid-19 », n’est pas moi qui le dit, c’est l’Inserm, c’est le titre du communiqué. Moi en matière d’excellence, je n’ai pas vu de traitement sortir, et n’ai vu que des blocages et des échecs. J’ai dû rater quelque chose. Il fut un temps où l’on récompensait la réussite et les résultats, maintenant on récompense ceux qui bloquent, cachent et échouent.

Pourquoi ont-ils échoué ?

Tout comme les soviets niaient les prostituées en refusant de regarder dans la rue, nos « excellents scientifiques » nient l’existence de traitements car ils refusent de regarder. Les pays étrangers refusent Astra après avoir vu ce qui se passait sur le terrain, nous avons continué à le saluer parce que notre « élite » refuse de regarder ce qui se passe sur le terrain. Et si leurs décisions ne sont guidées que par ce qui se passe chez nos voisins, à l’OMS ou à l’Agence Européenne du médicament, à quoi servent toutes nos agences, comités et fonctionnaires ?

Avec un Président qui depuis 2 mois ne peut plus voir ces « conseils scientifiques » (j’en ai deux preuves matérielles), ne supporte plus son ministre de la Santé, a dû prendre la main sur Astra ; avec un Ministère qui asphyxié par le nombre de (hauts) fonctionnaires énarques est obligé d’avoir recours systématiquement à des agences étrangères pour des expertises (on paye des gens pour faire le boulot, et on le fait faire à d’autres, cf les 28 études commandées) ; avec des agences qui ne savent que suivre les avis des agences étrangères et des gros labos ; avec nos nombreuses institutions de chercheurs qui ne cherchent pas et refusent que d’autres cherchent, chez nous, on n’a pas de prostituées (des labos), mais le bordel.

Maintenant, vous me direz que ce n’est pas vrai, il n’y a plus de bordel depuis la loi Marthe Richard du 13 avril 1946, je vous répondrais :

« si, si, regardez par la fenêtre et vous verrez, encore faut-il que vous regardiez. »

 
C.124- CROI 2021 Quelques petites avancées

 Cette conférence sur les rétrovirus et les maladies opportunistes s'est dérouléé de manière virtuelle entre le 10 et 17 Mars 2021. Positifs n'y a pas participé et fournit les informations transmises par aidsmap.com .Parmi les résultats les plus marquants' il faut noter une nouvelle classe d'antiviraux: inhibiteur de la capside du VIH(lénacapavir) qui pourra être utilisé pour des virus multirésistants et  deux tentatives de vaccins anti HIV.  Il faut rappeler qu'il existe déjà un  vaccin Tat Oyi éfficace  de la société Biosantech qui est bloqué  depuis 4 ans après la phase2, en dépit des décisions de justice, par cupidité et malhonnêteté criminelle par  l'experimentateur Erwann Loret. Il est aussi confirmé que l'allègement thérapeutique ( 4jours / 7) et aussi éfficace que le traitement journalier. Il serait enfin temps de le mettre en place systématiquement pour limiter la toxicité des antiviraux et arrêter d'engraisser Bigpharma.

 

Dr Beatriz Mothe (en bas à gauche) présente à la CROI 2021.

Un vaccin thérapeutique se montre prometteur pour contrôler le VIH hors traitement

Un vaccin thérapeutique a permis à certaines personnes séropositives d'interrompre leur traitement pendant au moins 22 semaines et de maintenir une charge virale très faible, a déclaré le Dr Beatriz Mothe, de l'Institut de recherche sur le sida IrsiCaixa, à Badalona, en Espagne, lors du Congrès virtuel sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI 2021).

Le vaccin thérapeutique HTI a été conçu grâce aux études sur les «contrôleurs d’élite» (les personnes qui contrôlent le VIH pendant de longues périodes sans avoir besoin de traitement). Ces études ont identifié les réponses immunitaires des cellules TCD4 et TCD8 correspondants aux régions spécifiques du VIH qui sont associées au contrôle viral. Le vaccin est conçu pour stimuler des réponses similaires.

Le Dr. Mothe a présenté les résultats de l'essai d'innocuité de phase I/IIa AELIX-002 du vaccin chez les personnes séropositives. Les participants avaient commencé un traitement antirétroviral moins de six mois après l'acquisition du VIH et présentaient une charge virale indétectable depuis au moins un an et un taux de CD4 supérieur à 400 depuis au moins six mois.

Dans la première phase de l'étude, les 45 participants ont été randomisés pour soit recevoir huit doses de vaccin sur une période de 18 mois, soit des placebos. Certaines doses délivraient l’immunogène des cellules T HIVACAT (HTI) avec un vecteur ADN, un vecteur MVA ou un vecteur à adénovirus modifié de chimpanzé.

Dans la deuxième phase, les participants ont été invités à interrompre leur traitement pendant 24 semaines pour évaluer l'impact de la vaccination sur le contrôle viral et 41 personnes l’ont fait. La charge virale et le nombre de cellules CD4 ont été surveillés toutes les semaines. Si la charge virale dépassait 100 000 copies/ml à un moment donné ou dépassait 10 000 copies/ml pendant plus de 8 semaines, ou si le nombre de cellules CD4 tombait en dessous de 350 cellules deux fois de suite, le traitement était repris immédiatement.

La charge virale a rebondi chez tous les participants, généralement dans les deux ou trois semaines suivant l'arrêt du traitement, mais elle n'a pas atteint les niveaux antérieurs au traitement chez la majorité des participants. Huit participants ont pu arrêter le traitement jusqu'à la 22ème semaine. Cinq personnes vaccinées et une personne qui avait pris un placebo ont maintenu une charge virale inférieure à 2000 copies/ml pendant toute la durée de l'interruption du traitement.

Les implications pour la santé d'un contrôle viral prolongé à un niveau faible mais détectable ne sont pas claires, et l'objectif ultime des études de guérison fonctionnelle est de maintenir le taux de VIH en dessous de la limite de détection sans traitement. Toutefois, les résultats de l'étude ont été salués par le professeur Adeeba Kamarulzaman, président de la Société internationale du sida, comme "la première démonstration que chez les personnes séropositives la stimulation des cellules T spécifiques du VIH peut contribuer aux stratégies de guérison".

Une "guérison fonctionnelle" - la suppression indéfinie du VIH sans traitement antirétroviral - nécessitera probablement une approche combinée, par exemple en associant ce vaccin à d'autres agents. Une étude associant ce régime de vaccination au vésatolimod, l'agoniste TLR-7, est en cours.

 

Dr Ming Lee (à droite) présente à la CROI 2021.

Des conditions de santé sous-jacentes sont à l’origine d’un risque accru d’hospitalisation liée au COVID 19

Des taux d'hospitalisation plus élevés ou de plus mauvais résultats après l’admission pour COVID-19 chez les personnes séropositives s'expliquent en partie par les problèmes de santé sous-jacents, en particulier les maladies cardiaques et rénales, ont révélé deux études du Royaume-Uni et des États-Unis présentées à la CROI 2021.

Les recherches menées au Royaume-Uni ont révélé que le risque plus élevé de COVID-19 chez les personnes séropositives était entièrement attribuable aux problèmes de santé sous-jacents et à une plus grande fragilité physique. En revanche, l'étude américaine a révélé une augmentation faible mais statistiquement significative du risque d'hospitalisation, même après avoir tenu compte de certaines conditions sous-jacentes. Des différences de méthodologie pourraient expliquer ces conclusions divergentes.

L'étude britannique s'est portée sur les personnes séropositives admises avec le COVID-19 dans l'un des six hôpitaux de Londres, Leicester et Manchester et les a comparées avec des personnes séronégatives par hôpital, âge, sexe, date de diagnostic du COVID-19 et indice de privation.

Les personnes séropositives étaient significativement plus susceptibles d'être noires ou d’origines ethniques et avaient un score médian de fragilité clinique plus élevé. Plusieurs comorbidités fortement associées à une moins bonne évolution du COVID-19 étaient significativement plus fréquentes chez les personnes séropositives, notamment les insuffisances rénales terminales, les insuffisances rénales chroniques et les cirrhoses du foie.

Après leur admission à l'hôpital, les personnes séropositives étaient  43 % moins susceptibles de connaitre une amélioration d'au moins deux points sur l'échelle de gravité du COVID, mais elles ne présentaient pas de risques plus élevés de décès dans les 28 jours suivant le diagnostic. Toutefois, dans une analyse multivariée ajustée pour tenir compte des facteurs de confusion, notamment l'indice de masse corporelle, la fragilité clinique, l'origine ethnique, l'hypertension, le diabète et l'insuffisance rénale chronique, le statut sérologique a cessé d'être un facteur de risque d'absence d'amélioration.

L'étude américaine s'est penchée sur les risques de maladie grave du COVID-19 chez les personnes séropositives et les personnes ayant reçu une greffe d'organe solide dans 39 hôpitaux des États-Unis.

Le taux d'hospitalisation était plus élevé chez les personnes séropositives (48,5 %), les personnes greffées (63,8 %) et les greffés séropositifs (70,3 %) par rapport aux personnes séronégatives (30,6 %).

En présentant les résultats, le Dr Jing Sun de l'Université Johns Hopkins de Baltimore a déclaré que, malgré la réduction de l'effet VIH sur le risque d'hospitalisation une fois l'analyse ajustée pour tenir compte de la présence de comorbidités, ils ont tout de même constaté que les personnes séropositives aux États-Unis couraient un risque accru de COVID-19 grave.

 

 

Jeff Berko (à droite) présente à la CROI 2021.

La dépression et l’anxiété peuvent s’améliorer grâce à des cours audio de mindfulness

Les cours audio de pleine conscience (aussi appelé mindfulness) en ligne peuvent améliorer considérablement la dépression, l'anxiété et la solitude chez les personnes âgées séropositives, selon une étude randomisée présentée à la CROI 2021. C'est peut-être la première fois que cet effet est démontré par la recherche.

La pratique de la mindfulness implique des méthodes de respiration, d’imagerie guidée et d'autres pratiques visant à détendre le corps et l'esprit et à réduire le stress.

Les chercheurs ont travaillé à partir d’une étude de cohorte observationnelle existante de personnes séropositives aux États-Unis âgées de plus de 50 ans. Dans cette cohorte, 21 % ont déclaré souffrir de dépression, 21 % d'anxiété et 51 % de solitude.

L'essai contrôlé randomisé a été mené entre mai et août 2020, pendant l'épidémie de COVID-19. L’étude a comparé les cours audio de mindfulness en ligne à l’absence d’intervention. Les personnes du groupe d'intervention ont eu 25 jours pour écouter 14 leçons de mindfulness.

Les taux de dépression se sont améliorés de 2,6 points dans le groupe d'intervention, par rapport à celui de non-intervention, et les taux d'anxiété ont diminué de 1,5 point. Les résultats relatifs à la solitude étaient mitigés. Concernant la solitude au cours des deux semaines précédentes, aucun changement notable n'a été observé entre les deux groupes d'étude. Cependant, le signalement de la solitude dans les journaux de bord tenus au quotidien a notablement diminué.

 

 

Professeur Sorana Segal-Maurer (à droite) présente à la CROI 2021.

Un inhibiteur de la capside du VIH offre une nouvelle option aux personnes atteintes d'un VIH très pharmacorésistant

Selon une étude présentée à la CROI 2021, le lénacapavir, un inhibiteur expérimental de la capside du VIH, a entraîné une réduction rapide de la charge virale chez des personnes très habituées aux traitements et présentant un virus multirésistant.

Le professeur Sorana Segal-Maurer de l’hôpital presbytérien de New York Queens a présenté les résultats de l'essai CAPELLA de phase II / III, qui a recruté 72 personnes dont le VIH était résistant à au moins deux médicaments appartenant à trois des quatre principales classes d'antirétroviraux.

Les 36 premiers participants ont été répartis au hasard pour ajouter à leur traitement défaillant soit du lénacapavir oral, soit un placebo, et ce pendant 14 jours. Ensuite, tous se sont vus proposer un traitement ouvert au lénacapavir, administré par injection sous-cutanée tous les six mois, ainsi qu'un traitement de fond optimisé, sélectionné à la suite d'un test de résistance. 36 autres personnes dans une cohorte non randomisée ont reçu du lénacapavir et un traitement de fond optimisé dès le départ.

À la fin de la période initiale de 14 jours, 88 % des participants du groupe lénacapavir ont enregistré une baisse d'au moins 0,5 log10 de la charge virale, contre seulement 17 % des participants du groupe placebo. À la fin février, 26 participants avaient reçu une injection et avaient été suivis pendant 26 semaines, et 19 d'entre eux (73 %) avaient atteint la suppression virale (moins de 50 copies/ml).

Sur la base de ces résultats, les chercheurs ont conclu que le lénacapavir pourrait devenir un agent important pour les personnes ayant reçu un traitement lourd et présentant un VIH multirésistant.  Le lénacapavir a également le potentiel d'être un élément des traitements antirétroviraux à action prolongée pris tous les six mois ou d'être utilisé seul en PrEP à action prolongée.

 

 

Le Professeur Raphael Landovitz présente à la CROI 2021.

La PrEP injectable peut rendre les infections difficiles à détecter

L'étude HPTN 083 sur la PrEP a comparé l'efficacité d'une injection bimensuelle de cabotégravir à celle de pilules de fumarate de ténofovir disoproxil et d'emtricitabine (TDF/FTC) prises tous les jours par voie orale et a publié ses principaux résultats en 2020. Une nouvelle analyse des résultats, présentée à la CROI 2021, a confirmé qu'il y avait 68 % moins d’infections au VIH chez les personnes ayant reçu les injections par rapport aux pilules.

L'étude a examiné en détail les 12 infections par le VIH chez les personnes ayant reçu des injections de cabotégravir. La majorité des infections par le VIH peuvent être expliquées comme étant des infections survenues juste avant le début de la PrEP, des infections survenues juste après le début de la PrEP lorsque le taux de médicament était faible, ou des infections survenues après l'arrêt de la PrEP.

Cependant, certains des cas de référence n'ont pas été identifiés avant plusieurs semaines ou mois. Cela suggère que le cabotégravir injecté pourrait retarder la détection du VIH. En effet, les tests d’anticorps ont indiqué des résultats négatifs, mais les tests rétrospectifs d’échantillons sanguins ont identifié que l'infection s'était produite plus tôt. Une approche future possible consisterait à faire des tests de charge virale réguliers ainsi que des tests d'anticorps pour dépister les infections au VIH.

En outre, quatre personnes ont été testées positives au VIH alors qu'elles recevaient des injections de cabotégravir et présentaient une concentration de médicament qui auraient dû les protéger.

Le professeur Raphael Landovitz a déclaré que la survenue d'une infection malgré des concentrations de cabotégravir conformes était préoccupante et que des recherches supplémentaires étaient en cours, par exemple sur les variations dans la concentration du cabotégravir d'un organisme à l'autre.

En revanche, aucune résistance n'est apparue chez les personnes ayant reçu un taux faible de cabotégravir dans la phase de post-injection, pas même dans le cas d'un participant qui avait développé une charge virale très élevée.

 

 

 

 

 

 

 

L’approche de l'ARN messager (ARNm) déjà utilisée pour les vaccins très efficaces Pfizer-BioNTech et Moderna COVID-19 s’est également montrée prometteuse pour la protection contre le VIH, selon une présentation du Congrès virtuel sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI 2021).

Le Dr Peng Zhang, de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), et ses collègues, en collaboration avec Moderna, utilisent des nanoparticules lipidiques, ou petites particules de graisse, pour délivrer des petits brins d’acide nucléique qui communiquent les instructions pour la fabrication de protéines. L’ARNm est présent dans toutes les cellules et joue un rôle de messager, d'où son nom.

Dans cette étude, sept singes macaques ont reçu l'un des deux régimes de vaccination, tandis que sept autres ont reçu des injections de placebo.

Tout d’abord, trois injections d'un vaccin contenant de l'ARNm pour le VIH de sous-type B, le type prédominant en Europe et en Amérique du Nord, ont été administrés à tous les singes sur 20 semaines. Ensuite quatre injections d'un deuxième vaccin mélangeant l'ARNm des sous-types A et C du VIH, prédominants en Afrique orientale et australe, ont été administrés sur 20 semaines. Trois singes ont également reçu des boosters de protéines.

Les singes ont ensuite été exposés par voie rectale à un virus hybride VIH / SIV chaque semaine pendant 13 semaines.

Les sept animaux du groupe placebo ont été infectés en un mois et demi environ, à partir de la deuxième exposition. Tous les singes vaccinés sont restés indemnes de VIH simien pendant environ le premier mois, mais ont ensuite commencé à être infectés; cependant, quelques-uns n’étaient toujours pas infectés à deux mois, après toutes les expositions.

Il y a eu une réduction de 85% du risque d'infection global: une réduction de 76% pour les singes qui avaient reçu les vaccins ARNm seuls, et une réduction de 88% pour ceux qui avaient reçu les vaccins ARNm plus les rappels.

Le dolutégravir est supérieur au traitement de norme chez les enfants et les adolescents

 

 

Dr Anna Turkova (à gauche) présente à la CROI 2021.

Une grande étude internationale présentée à la CROI 2021 a conclu que le traitement à base de dolutégravir était supérieur au traitement à base d'efavirenz ou d'inhibiteur de protéase potentialisé chez les enfants et les adolescents, que ce soit en traitement de première ou de deuxième intention.

Le dolutégravir, un inhibiteur de l'intégrase du VIH, est recommandé comme élément central du traitement antirétroviral pour tous les adultes dans les pays à ressources limitées. La simplification du traitement pour les enfants et les adolescents s'est avérée plus difficile puisqu’il faut doser les médicaments pour les enfants en fonction de leur poids.  La pharmacorésistance chez les enfants en échec de traitement de première intention rend également les choses plus difficiles.

En 2019, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a recommandé le dolutégravir pour les enfants, mais la recommandation était qualifiée de "conditionnelle", ce qui signifie que des données supplémentaires sont nécessaires.

L'étude ODYSSEY a comparé le traitement à base de dolutégravir à la norme de soins pour le traitement de première et de deuxième intention chez les enfants et les adolescents pesant 14 kg et plus. Elle a recruté 311 participants dans le groupe de première intention et 396 dans le groupe de deuxième intention.

Les participants ont été recrutés en Afrique du Sud (20%), en Thaïlande (9%), en Ouganda (47%) et au Zimbabwe (21%), le reste a été recruté en Allemagne, au Portugal, en Espagne et au Royaume-Uni.

Le traitement, parmi les participants randomisés pour recevoir le traitement de norme, était en général à base d'efavirenz pour le traitement de première intention et à base d'inhibiteur de protéase pour le traitement de deuxième intention.

Après 96 semaines de suivi, 14% des participants du groupe dolutégravir et 22% du groupe de soins de norme ont connu un échec clinique ou virologique, une différence statistiquement significative de -8%. Cet effet a été observé pour le traitement de première et celui de deuxième intention.

Il n'y a pas eu de différence dans le nombre de décès ou d'événements cliniques graves entre les deux groupes d'étude, ni dans le nombre d'effets secondaires graves, mais les enfants du groupe de soins de norme étaient plus susceptibles de devoir modifier leur traitement en raison d'un effet secondaire.

«Ces résultats appuient les lignes directrices de l'OMS et la transition vers des traitements à base de dolutégravir pour les enfants sous traitement antirétroviral de première ou de deuxième intention, permettant ainsi une harmonisation avec les programmes de traitement pour adultes», ont conclu les chercheurs de l'étude.

Les personnes atteintes du VIH et de l'hépatite B devraient faire l'objet d'une surveillance continue pour le cancer du foie

 

 

Dr H Nina Kim (au centre à droite) présente à la CROI 2021.

Les personnes séropositives coinfectées d’une hépatite B restent à risque de carcinome hépatocellulaire (CHC) malgré le traitement antiviral et devraient faire l'objet d'un suivi régulier pour le cancer du foie, selon une recherche présentée à la CROI 2021.

Les chercheurs ont examiné les données de 8354 personnes coinfectées au VIH et à l‘hépatite B, couvrant la période de 1995 à 2016. 115 cas de CHC ont été recensés dans ce groupe pendant cette période. Un âge avancé, une forte consommation d'alcool et une hépatite C chronique faisaient partie des facteurs indépendants de risque de cancer du foie. Cependant, il n'y avait pas d'association notable avec la charge virale du VIH ou le pourcentage de CD4.

Les données relatives à la charge virale de l'hépatite B étaient disponibles pour environ deux tiers des participants à l'étude. Dans ce sous-groupe, le fait d'avoir un ADN de l'hépatite B supérieur à 200 UI/ml a presque triplé les risques de CHC, et le risque était plus de quatre fois plus grand pour ceux dont le taux dépassait 20 000 UI/ml.

Si l'on examine l'effet du traitement de l'hépatite B, la suppression soutenue du virus de l'hépatite B pendant un an ou plus a été associée à une réduction de 58 % du risque de CHC, tandis que la suppression pendant quatre ans ou plus a réduit le risque de 66 %.

Présentant les résultats, le Dr H Nina Kim de l'Université de Washington à Seattle a déclaré: "Nos résultats soulignent que le traitement antiviral réduit mais n'élimine pas le risque de CHC."

Le dépistage ciblé améliore le diagnostic de la tuberculose chez les personnes séropositives en Afrique du Sud

 

 

Dr Limakatso Lebina (en bas) présente à la CROI 2021.

Dépister toutes les personnes séropositives et autres personnes à haut risque pour la tuberculose active a augmenté les taux de diagnostic de 17 % par rapport au dépistage des personnes présentant des symptômes potentiels de tuberculose tels que la toux et la fièvre, a indiqué le Dr Limakatso Lebina de l'Université de Witwatersrand lors du congrès de la CROI 2021.

Environ 150 000 cas de tuberculose passent inaperçus chaque année en Afrique du Sud et des individus meurent ou transmettent la tuberculose à d'autres avant que leur maladie ne soit détectée.

Dans la plupart des pays à ressources limitées, le dépistage de la tuberculose consiste à poser des questions aux individus sur leurs symptômes, ce qui ne permet pas d'identifier les cas de tuberculose chez les personnes sous traitement antirétroviral et très peu chez les femmes enceintes séropositives, où 70 % des cas de tuberculose ne sont pas détectés.

Au cours des 15 dernières années, les bailleurs de fonds internationaux et les gouvernements d'Afrique australe ont investi dans la plateforme de diagnostic GeneXpert. L'utilisation en priorité de cette plateforme pour le dépistage de la tuberculose et le dépistage de toutes les personnes présentant un risque élevé de tuberculose a le potentiel d’améliorer les taux de diagnostic.

L'étude TUTT (Targeted Universal Testing for TB) a été conçue pour déterminer si le dépistage de toutes les personnes séropositives, de toutes les personnes ayant des antécédents de tuberculose au cours des deux années précédentes et de toutes les personnes ayant déclaré avoir été en contact étroit avec une personne tuberculeuse au cours de l'année écoulée permettrait d'augmenter les diagnostics de tuberculose de 25 %.

L'étude a été menée dans des cliniques de soins de santé primaires des provinces de KwaZulu-Natal, Western Cape et Gauteng. Soixante cliniques ont été randomisées pour effectuer un dépistage ciblé ou pour faire le dépistage uniquement auprès des personnes présentant des symptômes. L'étude a permis de recruter 32 000 patients dans les cliniques d'intervention, dont 71 % séropositifs.

Les chercheurs ont calculé que les diagnostics de tuberculose ont augmenté de 17 % dans les cliniques d'intervention par rapport aux cliniques de soins de norme au cours de la période de suivi.

Les réseaux sociaux sont essentiels à l'adoption de la PrEP dans les zones rurales du Kenya et de l'Ouganda

 

 

Dr Catherine Koss (en bas à gauche) présente à la CROI 2021.

Les hommes et les femmes très exposés au VIH étaient 57% plus susceptibles de commencer la PrEP (traitement régulier pour prévenir l'infection par le VIH) s'ils avaient un contact dans leur réseau social qui l’avait déjà pris, a déclaré le Dr Catherine Koss de l'Université de Californie, San Francisco, lors de la CROI 2021.

Le projet SEARCH (Sustainable East Africa Research in Community Health) offre des soins de santé intensifiés, un dépistage universel du VIH, un plus grand accès à la PrEP et un traitement antirétroviral aux communautés rurales du Kenya et de l'Ouganda.

Si on pense que le soutien des pairs peut être un facteur crucial dans l'adoption de la PrEP, on sait peu de choses sur l'influence des réseaux sociaux sur l'adoption de la PrEP en Afrique subsaharienne, a déclaré le Dr. Koss

Dans le cadre des activités de dépistage du VIH au niveau de la population, les membres de la communauté ont été invités à nommer des contacts sociaux dans l'un de ces cinq domaines: santé, argent, soutien émotionnel, nourriture ou temps libre. Si les chercheurs ont enregistré les réseaux sociaux de 220 332 personnes, leur analyse s'est concentrée sur 8898 personnes évaluées comme présentant des risques élevés de VIH et ayant au moins un contact dans le réseau. Ce groupe avait une moyenne de 2,15 connexions par personne

Parmi cet échantillon, 14% avaient un contact dans leur réseau qui avait commencé la PrEP l'année précédente et 18% étaient en contact avec une personne séropositive. Au total, 29% des 8898 participants ont commencé la PrEP eux-mêmes.

Les chercheurs ont cherché à savoir si le fait d'avoir un contact sous PrEP dans leur réseau permettait de prédire l'adoption de la PrEP chez un individu. Après avoir pris en compte les facteurs tels que l'âge, le sexe, le fait d'avoir un partenaire séropositif, la polygamie et la mobilité (facteurs prédictifs connus de l'adoption de la PrEP), la réponse a été positive - ils étaient 57 % plus susceptibles de commencer à prendre la PrEP eux-mêmes.

"Les interventions qui s'appuient sur les réseaux sociaux existants et renforcent les liens sociaux avec d'autres utilisateurs de PrEP sont des approches prometteuses pour favoriser l'adoption de la PrEP", a conclu Dr. Koss.

 

L’approche de l'ARN messager (ARNm) déjà utilisée pour les vaccins très efficaces Pfizer-BioNTech et Moderna COVID-19 s’est également montrée prometteuse pour la protection contre le VIH, selon une présentation du Congrès virtuel sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI 2021).

Le Dr Peng Zhang, de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), et ses collègues, en collaboration avec Moderna, utilisent des nanoparticules lipidiques, ou petites particules de graisse, pour délivrer des petits brins d’acide nucléique qui communiquent les instructions pour la fabrication de protéines. L’ARNm est présent dans toutes les cellules et joue un rôle de messager, d'où son nom.

Dans cette étude, sept singes macaques ont reçu l'un des deux régimes de vaccination, tandis que sept autres ont reçu des injections de placebo.

Tout d’abord, trois injections d'un vaccin contenant de l'ARNm pour le VIH de sous-type B, le type prédominant en Europe et en Amérique du Nord, ont été administrés à tous les singes sur 20 semaines. Ensuite quatre injections d'un deuxième vaccin mélangeant l'ARNm des sous-types A et C du VIH, prédominants en Afrique orientale et australe, ont été administrés sur 20 semaines. Trois singes ont également reçu des boosters de protéines.

Les singes ont ensuite été exposés par voie rectale à un virus hybride VIH / SIV chaque semaine pendant 13 semaines.

Les sept animaux du groupe placebo ont été infectés en un mois et demi environ, à partir de la deuxième exposition. Tous les singes vaccinés sont restés indemnes de VIH simien pendant environ le premier mois, mais ont ensuite commencé à être infectés; cependant, quelques-uns n’étaient toujours pas infectés à deux mois, après toutes les expositions.

Il y a eu une réduction de 85% du risque d'infection global: une réduction de 76% pour les singes qui avaient reçu les vaccins ARNm seuls, et une réduction de 88% pour ceux qui avaient reçu les vaccins ARNm plus les rappels.

 

Carlos del Rio, Diane Havlir, Charles Flexner, Francois Venter, Hyman Scott, Nittaya Phanuphak (de haut en bas, de gauche à droite) la CROI 2021.

Une table ronde organisée lors du Congrès virtuel sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI 2021) a souligné l’importance d’avoir des médicaments injectables contre le VIH qui soient pratiques et abordables. La discussion a porté notamment sur les difficultés d'ordre opérationnel, en particulier dans les pays à ressources limitées.

Le professeur Diane Havlir a déclaré que, si les progrès réalisés dans le traitement du VIH au cours de la dernière décennie avaient été dominées par les inhibiteurs d'intégrase et les schéma posologique à dose unique, la prochaine décennie promet d'être l’ère des médicaments à libération prolongée.

Le professeur François Venter a observé qu'en Afrique du Sud, les patients étaient très enthousiastes à l'égard des molécules à libération prolongée. En contrepartie, les prestataires des soins de santé se préoccupaient davantage des difficultés d'ordre opérationnel. Le programme de traitement antirétroviral couronné de succès de l'Afrique du Sud est le plus important au monde et pour s’adapter au traitement injectable, les flux de travail dans les cliniques surchargées devront être repensés. M. Venter s'est montré plus ouvert aux avantages potentiels de la prophylaxie pré-exposition (PrEP) injectable, étant donné le nombre limité de personnes qui ont eu accès à la PrEP par voie orale jusqu'à présent.

La première formulation à libération prolongée de la PrEP, le cabotégravir injectable, pourrait être commercialisée à la fin de l’année ou au début de l'année prochaine. On ne connait pas encore son coût.

Une analyse présentée à la CROI 2021, par le Dr Anne Neilan de l’Hôpital général du Massachusetts a montré que pour être rentable aux États-Unis, le médicament devrait coûter au maximum moins de la moitié du tarif en vigueur pour l’association injectable cabotégravir/rilpivirine (Cabenuva), qui est autorisée pour le traitement du VIH.

Pour être plus rentable que le générique fumarate de ténofovir disoproxil/emtricitabine (TDF/FTC) (qui coûte 8 300 dollars par an aux États-Unis), le cabotégravir injectable (CAB-LA) ne devrait pas coûter plus de 11 600 dollars. À ce prix, il coûterait un peu moins de 100 000 dollars par année de vie supplémentaire ajustée à la qualité, ce qui correspond au seuil maximal de ce qui est généralement considéré comme rentable aux États-Unis.

En Europe et ailleurs, le TDF/FTC générique peut être acheté pour environ 300 à 900 dollars par an. Bien qu'il n'ait pas été analysé par l'équipe de Neilan, le modèle implique qu'en raison de l'efficacité supérieure du cabotégravir à libération prolongée pour la prévention du VIH, il pourrait continuer à être rentable, ou économique à long terme, en Europe, mais seulement à un prix d'environ 2000 à 3000 dollars par an.

Une autre étude présentée à la CROI a révélé que les injections de cabotégravir (Vocabria) et de rilpivirine (Rekambys), administrées toutes les quatre ou huit semaines en traitement du VIH, ont permis de maintenir la suppression virale tout au long des deux ans de suivi de l'étude.

L'Agence européenne des médicaments a approuvé l'association injectable en décembre 2020, à la fois en traitement mensuel et en traitement bimensuel. Cependant, les régulateurs aux États-Unis et au Canada (où les injections sont commercialisées ensemble sous le nom de Cabenuva) n'ont approuvé que le traitement mensuel.

L'étude ATLAS-2M a porté sur 1 045 participants à qui on a administré au hasard soit des injections de 400 mg de cabotégravir et 600 mg de rilpivirine toutes les quatre semaines, soit 600 mg de cabotégravir et 900 mg de rilpivirine toutes les huit semaines. Après deux ans, 90,2 % des participants du groupe recevant une injection mensuelle et 91,0 % de ceux recevant une injection tous les deux mois ont maintenu une suppression virale.

Liens associés

Les programmes africains de lutte contre le VIH se montrent résilients pendant la pandémie de COVID-19

Dr Tiffany Harris présente à la CROI 2021.
Dr Tiffany Harris présente à la CROI 2021.

Des données provenant de plus de 1000 établissements de santé dans onze pays d'Afrique subsaharienne ont observé un effet transitoire de la pandémie de COVID-19 sur les services de lutte contre le VIH, suivi d'une reprise rapide, a-t-on appris la semaine dernière lors de la CROI 2021.

Les données ont été recueillies entre octobre 2019 et septembre 2020 auprès des établissements de santé auxquels ICAP, de l'Université de Columbia, apporte un soutien technique, grâce à un financement du PEPFAR. Les mesures de contrôle du COVID-19 ont été introduites dans la plupart des pays en mars 2020, à la fin du deuxième trimestre analysé.

Si on compare la période janvier-mars à avril-juin, on constate une baisse de 3,3 % du nombre de personnes dépistées pour le VIH, une baisse de 9,5 % du nombre de personnes ayant reçu un diagnostic positif et une baisse correspondante de 9,8 % du nombre de personnes commençant un traitement contre le VIH.

On a vu un rebond rapide le trimestre suivant (juillet-septembre), avec une augmentation de 10,6 % du nombre de tests de dépistage, de 9,0 % du nombre de diagnostics positifs et de 9,8 % du nombre de personnes commençant un traitement.

Le nombre total de personnes sous traitement antirétroviral n'a pas diminué au cours de l'année et a même augmenté régulièrement, passant de 419 028 à 476 010 personnes. Dans l'ensemble, plus de 60 % d'entre elles ont bénéficié d’une analyse de la charge virale et la suppression virale a augmenté, passant de 87,5 % à 90,1 %.

Un patient de São Paulo a de nouveau une charge virale détectable

Dr Ricardo Diaz présente à la CROI 2021.
Dr Ricardo Diaz présente à la CROI 2021.

Un Brésilien qui, l'été dernier, ne présentait aucun signe de VIH résiduel après avoir arrêté son traitement antirétroviral pendant plus de 15 mois, a de nouveau une charge virale détectable quelques mois plus tard, a-t-on appris lors de la conférence.

Afin de réduire la taille du réservoir de VIH, l'homme avait reçu une multithérapie intensifiée (cinq antirétroviraux et de la nicotinamide) suivi d'une interruption de traitement étroitement surveillée. Lors de la conférence AIDS 2020, on avait signalé qu'il présentait un ARN du VIH indétectable, un ADN du VIH indétectable et un faible taux d'anticorps anti-VIH.

Cependant, quelques mois plus tard, les réponses immunitaires à médiation cellulaire ont progressivement disparu. Il a également développé plusieurs symptômes et présentait à nouveau un ARN détectable.

La souche émergente du VIH présente des différences génétiques par rapport à la souche initiale, et la raison de ce phénomène n'est pas encore claire. Il pourrait s’agir d’une évolution virale dans l'organisme du patient, d’une réinfection par une nouvelle souche ou de la réémergence d'une souche différente provenant d'une double infection antérieure.

La chirurgie d’affirmation de genre est associée à une suppression virale soutenue

Dr Cristina Rodriguez-Hart (à droite) présente à la CROI 2021.
Dr Cristina Rodriguez-Hart (à droite) présente à la CROI 2021.

La suppression virale chez les personnes transgenres inscrites à Medicaid et résidant à New York a augmenté après une chirurgie d'affirmation du genre, selon une recherche présentée à la CROI 2021. La chirurgie d'affirmation du genre a été associée à une meilleure suppression virale parmi les groupes qui ont tendance à avoir de faibles taux de suppression virale - les personnes noires, les jeunes et les transgenres des quartiers très pauvres.

Les chercheurs ont comparé les résultats de la suppression virale entre les personnes transgenres ayant accès à Medicaid et ayant eu une forme quelconque de chirurgie d'affirmation du genre, celles n'ayant pas accès à Medicaid et les hommes et femmes cisgenres.

Sur les 1 730 personnes transgenres séropositives inscrites à Medicaid, un peu moins de  11 % avaient eu recours à la chirurgie d'affirmation du genre pendant la période d'étude.

Pour les personnes transgenres inscrites à Medicaid, on a constaté une augmentation de 13% de la suppression virale entre 2013 et 2017, 75% d'entre elles ayant atteint la suppression virale en 2017. Cependant, la suppression virale pour ce groupe dans son ensemble est restée inférieure à celle des personnes transgenres non inscrites à Medicaid (83 %), des femmes cisgenres (82 %) et des hommes cisgenres (86 %).

Les personnes transgenres qui avaient eu recours à une chirurgie d'affirmation du genre étaient l'exception : en 2017, 85 % d’entre elles avaient atteint la suppression virale. Dans ce groupe, 57 % étaient noires, 22 % étaient âgées de 20 à 29 ans et 44 % vivaient dans des quartiers très pauvres.

La suppression virale est passée de 66 % deux ans avant la chirurgie à 77 % un an avant. Elle est passée à 86 % un an après l'opération et est restée élevée à 88 % deux ans après l'opération.

Des données anecdotiques suggèrent que les chirurgiens exigent souvent que les personnes soient sous suppression virale avant l'intervention. Les données suggèrent que la suppression virale ainsi obtenue se maintient dans le temps.

Deux études présentées à la CROI 2021 ont examiné l'interaction entre l'hormonothérapie d'affirmation du genre et la prophylaxie de pré-exposition au VIH (PrEP). Dans les deux études, de jeunes hommes et femmes transgenres âgés de 16 à 24 ans qui prenaient déjà une hormonothérapie - la moitié d'entre eux étant des femmes prenant des œstrogènes et l'autre moitié des hommes prenant de la testostérone - ont ensuite commencé à prendre sous observation directe une PrEP quotidienne par voie orale à base de ténofovir/emtricitabine.

La première étude s'est portée sur le taux d’hormones et a permis de rassurer que le taux n’était pas significativement plus bas, que ce soit chez les hommes ou les femmes.

La deuxième étude s'est intéressée à l'effet de l’hormonothérapie sur les taux de PrEP. Bien que le taux intracellulaire des médicaments de PrEP, le fumarate de ténofovir disoproxil et l'emtricitabine, ait été plus faible chez les femmes trans que chez les hommes trans, il se situait toujours dans la fourchette des taux observés dans des études similaires de PrEP directement observée auprès des personnes cisgenres.

Quels sont les rôles du TAF et des inhibiteurs d'intégrase dans le gain de poids ?

Flotsam/Shutterstock.com.
Flotsam/Shutterstock.com.

Le ténofovir alafénamide (TAF) a été associé à une prise de poids dans trois grandes études, présentées à la CROI 2021, portant sur des personnes qui avaient changé de traitement contre le VIH. Chaque étude a identifié le TAF comme contribuant au gain de poids mais les résultats sur le rôle des inhibiteurs d'intégrase sont contradictoires.

Le TAF, en association avec l'emtricitabine, fait partie de plusieurs associations antirétrovirales couramment prescrites et a émergé dans plusieurs études comme un facteur de risque indépendant de gain de poids.

Les trois études présentées lors de la CROI 2021 ont porté sur des personnes qui ont changé de traitement, et non sur des personnes venant de commencer un traitement, ce qui permet d'exclure tout effet de "retour à la santé" associé à l’initiation du traitement.

Une analyse de l'étude de cohorte RESPOND a porté sur 14 703 personnes en Europe et en Australie.

Les participants ont été suivis pendant une durée médiane de 2,6 ans et un peu plus de la moitié d'entre eux (54 %) ont pris du poids, équivalent à au moins 7 % de leur indice de masse corporelle (IMC). Quatre médicaments antirétroviraux ont été associés à un risque accru de gain de poids dans l'analyse multivariée : les inhibiteurs d'intégrase dolutégravir et raltégravir, l'étravirine, un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse, et le TAF, un inhibiteur nucléotidique de la transcriptase inverse.

Les probabilités de gain de poids associées au dolutégravir et au TAF étaient plus élevées lorsque les deux médicaments étaient utilisés ensemble, mais le dolutégravir et le TAF étaient tous deux indépendamment associés à des risques plus élevés de gain de poids,  équivalent à au moins 30 % de l'IMC.

Pour examiner comment l'utilisation antérieure du ténofovir, ou le passage du TDF au TAF, affectait le gain de poids chez les personnes prenant un inhibiteur d'intégrase, le professeur Grace McComsey et ses collègues ont étudié 2 272 personnes, prises en charge dans de grandes cliniques des États-Unis et de Londres.

Tous les participants avaient une charge virale contrôlée et sont passés à un nouveau traitement d'inhibiteur d'intégrase, y compris 64 % d'entre eux qui avaient été précédemment sous un inhibiteur d'intégrase différent. 47% sont passés du TDF au TAF en même temps. Les participants ont pris en moyenne 1,3 kg dans l'année qui a suivi le changement, sans qu'il y ait de différence dans la prise de poids moyenne entre les inhibiteurs d'intégrase.

Un gain de poids d'au moins 10 % était plus probable chez les femmes, les personnes dont le poids était insuffisant ou normal au départ, celles passant d'un traitement antérieur sans intégrase et celles passant du TDF au TAF.

Une analyse de l'étude américaine HIV Outpatients (Patients ambulatoires) a montré que le changement vers un inhibiteur d'intégrase était indépendamment associé à un gain de poids et que le gain de poids le plus important se produisait dans les huit premiers mois suivant ce changement. Par la suite, la prise de poids supplémentaire était largement attribuable à l'utilisation du TAF.

Le schéma thérapeutique de quatre jours de traitement et trois jours sans semble toujours efficace après deux ans.

Dr Roland Landman présente à la CROI 2021.
Dr Roland Landman présente à la CROI 2021.

La prise d’antirétroviraux quatre jours consécutifs par semaine, suivie d'une pause de trois jours, a permis de maintenir la suppression virale aussi bien qu'un traitement quotidien, selon les résultats du suivi de 96 semaines présentés à la CROI 2021.

À l'ère du traitement antirétroviral efficace, des efforts sont en cours pour permettre aux personnes séropositives de prendre des médicaments moins souvent. L'étude QUATOR a cherché à savoir si les personnes ayant une charge virale indétectable pouvaient maintenir la suppression virale en prenant des médicaments seulement quatre jours par semaine. En cas de succès, cette approche permettrait non seulement de faire une pause dans le traitement, mais aussi de réduire le coût du traitement d'environ 40 %.

Les participants à l'étude prenaient une variété de traitements antirétroviraux. Un peu moins de la moitié (48 %) prenaient un inhibiteur d'intégrase, le plus souvent l'elvitégravir ou le dolutégravir ; 46 % utilisaient un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse (INNTI), le plus souvent la rilpivirine ; et 6 % un inhibiteur de protéase, le plus souvent le darunavir.

Pendant les 48 premières semaines, 636 participants ont été répartis de manière aléatoire pour soit continuer le même traitement quotidien, soit prendre leurs médicaments actuels pendant quatre jours consécutifs (du lundi au jeudi) suivis de trois jours de repos. À partir de la semaine 48, les deux groupes ont suivi le traitement de quatre jours consécutif suivi de trois jours de repos, pendant 48 semaines supplémentaires.

Après 96 semaines, 92,7% des personnes initialement randomisées dans le groupe des quatre jours et 96,1% de celles qui sont passées d'un traitement quotidien à un traitement intermittent avaient toujours une charge virale indétectable. Le taux d'échec virologique est passé à 4,2% et 2,0%, respectivement. Cependant, dans le groupe de quatre jours, ce taux dépendait des médicaments utilisés : 5,3 % pour ceux qui prenaient des INNTI et 2,4 % pour ceux qui prenaient des inhibiteurs d'intégrase.

De nouvelles mutations de pharmacorésistance ont été détectées chez 7 des 19 personnes chez qui le traitement de quatre jours a entrainé un échec virologique.

Les chercheurs ont conclu que l'efficacité du traitement de quatre jours suivi de trois jours de repos s'est maintenue pendant 96 semaines avec un faible taux d'échec virologique, en particulier chez les personnes utilisant des inhibiteurs d'intégrase.

 

 

 

 
C.123 bis- IVERMECTINE: MIRACLE TREATMENT AGAINST COVID19 MAKING VACCINATION OBSOLETE
 Written by Xvier Bazin Tuesday, December 22 2020 17:06
Xavier Bazin from the journal "Santé Corps Esprit" alerted me to an unexpected treatment effective in the prevention and treatment of COVID with success rates of up to 100% in some trials. It is amazing that our experts are so illiterate not to have heard of the very many published works. It signals corruption at the highest level to indebt us to the benefit of vaccine manufacturers and kill our economy. Indeed this miracle product, ivermectin( trade mark Stromectol), used for the treatment of scabies, costs € 8 a box, is still available over the counter and makes the vaccine useless. Here is the article by Xavier Bazin:
                   Covid: all scientific evidence shows the effectiveness of ivermectin
December 16, 2020 59
Comments
Dear friend of Health, The scene took place in front of the United States Senate on December 8. A great resuscitator, Dr Pierre Kory, has passionately explained that there is a "miraculous" treatment for Covid-19. After giving all the scientific evidence, he apologized for the astonishing silence on this effective drug. "I don't know how long I'm going to last, knowing that there will be unnecessary deaths from now on, when there is a solution immediately available" [1]. And indeed, as you will see, the solution of which he speaks is neither more nor less "miraculous". But before we talk to you about it, we must remember one thing. Even before this drug, the epidemic could be contained with the protocol I have often told you about: For prevention, for everyone, every day: 4,000 IU of vitamin D, 300 mg of magnesium, and a multivitamin supplement containing 500 mg of vitamin C, 500 mg of quercetin, 20 mg of zinc, 50 μg of selenium and 50 μg of vitamin K2-MK7; For treatment, from the first symptoms: the same nutrients as for prevention but with higher dosages [2], as well as Professor Raoult's protocol for vulnerable people (hydroxychloroquine + azithromycin); In the event of hospitalization: continue with previous nutrients and treatments, but now take a special form of vitamin D3 which works immediately (calcifediol) [3], as well as 3 to 10 mg of melatonin at bedtime (a potentially valuable anti-inflammatory against cytokine storm, and which promotes restful sleep in a difficult context in the hospital); In case of intensive care: in addition to usual care, the Marik protocol based on a corticosteroid (methylprednisolone) and infusions of vitamin B1 and vitamin C [4]. Instead, here's what we still do and recommend in the Western world today: In prevention: nothing; In early treatment: paracetamol in self-medication; In hospital treatment / intensive care: paracetamol, corticosteroids and oxygenation (and, as the case may be, other conventional drugs such as antibiotics, anticoagulants, etc.). And it is quite simply criminal. With the "right" protocol (a sort of "mix" between that of the IHU in Marseille and that of a group of American doctors [5]), it was clear that the epidemic could be brought under control overall, with very little dead. (Without even speaking here of promising but little scientifically tested remedies, such as a nasal spray of propolis, simple herbal teas of thyme and rosemary, certain essential oils (ravintsara, cajeput, noble laurel) or even powerful plants such as Artemisia Annua and Lake Baikal Skullcap.) There are immediate and effective solutions, and we don't want to talk about them. But the problem was, it was difficult to prove it definitively. Certainly, there are dozens of scientific studies, in particular on the Raoult protocol and vitamin D, which clearly show that the risk-benefit of these treatments is extremely favorable. But people of bad faith could still quibble over such and such a study, and continue to demand the God Vaccine as the only solution to the crisis. This is no longer the case. Because there is now a drug, ivermectin, which has been shown to be effective beyond any scientific doubt, even for people of bad faith! If you add this medicine to the protocol described above, you have no more epidemics overnight. Because this drug works: In prevention: it works better than the best vaccines; In early treatment: it has a demonstrated anti-viral effect; In hospital treatment: it even has an anti-inflammatory effect! I know this may sound unbelievable. But all the evidence is there. The beautiful story of a retirement home in France Before going into the details of the studies, I must tell you the story of this retirement home

The beautiful story of a retirement home in France
Before going into the details of the studies, I must tell you the story of this retirement home in Seine-et-Marne which miraculously escaped the damage of Covid-19. The story was published in a scientific journal, so it is not a fairy tale [6]. It started off badly, with a person from the nursing home hospitalized with "scabies". Three other residents were also infected with this rare disease. Immediately, the classic protocol is applied: all residents and caregivers receive ivermectin, indicated to prevent and cure scabies. But we were also in the midst of the Covid-19 epidemic, and 7 out of 69 residents tested positive for the coronavirus. And yet, despite an average age of 90 among the positive cases, no resident has died from Covid-19, and only one has had to be treated with oxygen. It's quite spectacular, 0 deaths, when we know that the mortality was 5% in nursing homes next door! This is a very positive signal for ivermectin, in prevention and in treatment! And this is confirmed by studies.
Hyper-effective in prevention: no positive case among Argentinian caregivers! In prevention, ivermectin works at least as well as the best vaccines. The biggest prevention study came from Argentina, with spectacular results [7]. There, 1,200 nursing staff were separated into two groups: A group of 800 people received 12 milligrams of ivermectin, once a week for several months (+ a nasal spray); A group of 400 people received nothing. Well, quite amazingly, NO caregivers who received ivermectin tested positive for Covid-19, compared to 236 caregivers in the other group !! That's a 100% success rate, with 0 people infected on one side, versus 58% of people infected on the other!
In Egypt, the results were a little less spectacular, but extremely positive. Here too, the nursing staff were separated into two groups [8]: 100 caregivers received a high dose of ivermectin on days 1 and 7; 100 caregivers received nothing. The result: there were 5 times less contamination in the group that received ivermectin (only 2 caregivers compared to 10). Another randomized study, also in Egypt [9], showed an almost 90% decrease in the number of infections in family members of a Covid-19 patient, when they received ivermectin rather than nothing at all. In India, a retrospective study observed a 75% reduction in the number of people infected with Covid-19, thanks to ivermectin [10]. In total, researchers have observed that countries that use ivermectin to prevent parasites have significantly fewer positive cases for Covid-19 than others [11]. The effect is even clearer when we look at the autonomous regions within the same country which distributed ivermectin compared to the others.
Thus, in Brazil, the cities of Itajai, Macapa and Natal have massively distributed ivermectin, with much better results than in the surrounding cities [12]! In treatment: 40 to 90% reductions in mortality! The spectacular effectiveness observed in prevention is also confirmed in early treatment.
The largest randomized study was done in Bangladesh (yes, poor countries are doing useful studies while rich countries have tested ineffective remdesivir at 2,000 euros). In this study, all the patients received an antibiotic (azithromycin or doxycycline), but those who received ivermectin in addition were much more likely to recover quickly [13].
In another study from Iraq, all patients were treated with the elements of the effective protocol described above, including vitamin C, vitamin D, zinc, and azithromycin - further evidence that one is often better treated in patients. poorer countries than in the West. Unsurprisingly, with this effective protocol, all patients came out without a hitch. But those who received ivermectin recovered on the 6th day, compared to the 12th day for others! [14] In fact, when doctors use ivermectin, the results are obvious.
Chiapas, a small region of Mexico, has decided to treat the population with ivermectin, against official recommendations. The result: this region has seen a drop in the number of cases and deaths linked to Covid, while the rest of Mexico was still suffering from the damage of the epidemic [15]! And the benefits of ivermectin have been confirmed in hospital patients. In total, there are 4 randomized inpatient studies, with excellent results each time.
The most recent comes from Iran, which observed 3% mortality with ivermectin, compared to 19
And to complete, there is at least one hospital that saved the West's honor by taking an interest in ivermectin. Doctors in Florida, USA, afterwards compared patients treated with ivermectin and others, and found a marked decrease in mortality [17].
The incredible example of Paraguay to conclude And if you were still in doubt, take a look at what happened in Paraguay instead. A small autonomous region, Alto Parana, decided last September to massively distribute ivermectin. To avoid being reprimanded by state authorities, this region has pretended to want to launch a major fight against parasites (see how far censorship and absurdity go!). A total of 30,000 boxes of ivermectin had been distributed within a few weeks, and by October 15, the epidemic had largely disappeared! Instead, see the results for this region (in blue) compared to the results for other regions of Paraguay [18]: In short, ivermectin works, beyond all hope.
And now watch what the WHO and the Western authorities are going to do. My prediction: NOTHING AT ALL, despite the accumulation of scientific evidence. As they did nothing to promote the very effective vitamin D. As they did everything to demonize Professor Raoult's protocol. Very recently, a courageous association appealed to the Administrative Court of Paris to force Olivier Véran to request a temporary recommendation for use (RTU) for ivermectin against Covid-19 [19]. In vain. I am afraid that nothing can be expected of our authorities, who are intellectually or financially corrupt. But YOU can act. So take this message around. And if you have a vulnerable loved one sick with Covid-19, tell them to ask their doctor for ivermectin, in addition to other essential natural nutrients. It could save his life. Healthy, Xavier Bazin AddThis Sharing Buttons Share to Facebook Share to TwitterShare to EmailShare to PrintShare to More options ...
Sources
[2] 50,000 IU of vitamin D at one time, 1 to 2 grams per day of vitamin C distributed throughout the day, 50 mg of zinc per day for 10 days, 1 gram of quercetin (other doses do not change not). Then 0.25 mg on the 3rd and 7th day of hospitalization, this is the dosage used in the Spanish randomized study which obtained extraordinary results: https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960076020302764 ? via% 3Dihub
By carrying out an exhaustive study of scientific publications, our association observes that 4 therapeutic approaches to COVID are validated :
Vitamin D: 43 studies, 76% efficacy (p = 0.00049)
Zinc: in combination with HCQ + Azithromycin Hydroxychloroquine (HCQ) + Azithromycin: 208 studies, early stage efficacy 65% (p = 0.0005)
Ivermectin: 41 studies, 87% efficacy (p = 0.00052) Ivermectin has been seen in an impressive number (41) of studies! It acts on the spike of the envelope. THIS IS A DRUG CHEMICAL VACCINE. And ivermectin comes in a sustained-release form, which means you don't have to take it every day Undisputed reference of 2020 Ivermectin Docks to the SARS-CoV-2 SpikeReceptor-binding Domain Attached to ACE2 by STEVEN LEHRER, and PETER H. RHEINSTEIN, in vivo34: 3023-3026,2020

 
C.123-IVERMECTINE TRAITEMENT MIRACLE CONTRE LA COVID19 RENDANT LA VACCINATION OBSOLETE

Xavier Bazin de la revue "Santé Corps Esprit " m'a alerté d'un traitement inattendu efficace en prevention et traitement de la COVID  avec des taux de reussite allant jusqu'à 100% dans certains essais. Il est stupéfiant  que nos experts soient à ce point illétrés pour ne pas avoir eu connaissance des trés nombreux travaux publiés. Cela signe une corruption au plus haut niveau pour  nous endetter aux benéfice des fabricants de vaccins et tuer notre économie. En effet ce produit miracle, l'ivermectine(nom commercial Stromectol), utilisé pour le traitement de la gale, coute 8€ la boite, est encore en vente libre et rend le vaccin inutile.

Voici l'article de Xavier Bazin:

 

 

Covid : toutes les preuves scientifiques montrent l’efficacité de l’ivermectine

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La scène s’est passée devant le Sénat américain, le 8 décembre dernier.

Un grand médecin réanimateur, le Dr Pierre Kory, a expliqué avec passion qu’il existe un traitement « miraculeux » contre la Covid-19.

Après avoir donné toutes les preuves scientifiques, il s’est désolé du silence sidérant sur ce médicament efficace.

« Je ne sais pas combien de temps je vais tenir, en sachant qu’il va y avoir des morts inutiles à partir de maintenant, alors qu’il y a une solution immédiatement disponible »[1].

Et en effet, vous allez le voir, la solution dont il parle est ni plus ni moins « miraculeuse ».

Mais avant de vous en parler, il faut rappeler une chose.

Avant même ce médicament, l’épidémie pouvait être contenue avec le protocole dont je vous ai souvent parlé :

  • En prévention, pour tout le monde, chaque jour : 4 000 UI de vitamine D, 300 mg de magnésium, et un complément multivitaminé contenant 500 mg de vitamine C, 500 mg de quercétine, 20 mg de zinc, 50 μg de sélénium et 50 μg de vitamine K2-MK7 ;
  • En traitement, dès les premiers symptômes : les mêmes nutriments qu’en prévention mais avec des dosages plus élevés[2], ainsi que le protocole du Pr Raoult pour les personnes vulnérables (hydroxychloroquine + azithromycine) ;
  • En cas d’hospitalisation: continuer les nutriments et traitements précédents, mais prendre désormais une forme spéciale de vitamine D3 qui agit immédiatement (calcifediol)[3], ainsi que 3 à 10 mg de mélatonine au coucher (anti-inflammatoire potentiellement précieux contre la tempête cytokinique, et qui favorise un sommeil réparateur dans un contexte difficile à l’hôpital) ;
  • En cas de réanimation : en plus des soins habituels, le protocole Marik à base d’un corticoïde (méthylprednisolone) et de perfusions de vitamine B1 et de vitamine C[4].

A la place, voici ce qu’on fait et recommande aujourd’hui encore dans le monde occidental :

  • En prévention : rien ;
  • En traitement précoce : paracétamol en auto-médication ;
  • En traitement hospitalier/réanimation : paracétamol, corticoïdes et oxygénation (et, selon le cas, d’autres médicaments classiques comme des antibiotiques, anticoagulants, etc.).

Et c’est tout simplement criminel.

Avec le « bon » protocole (une sorte de « mix » entre celui de l’IHU de Marseille et celui d’un groupe de médecins américains[5]), il était clair que l’épidémie pouvait globalement être jugulée, avec très peu de morts.

(Sans même parler ici des remèdes prometteurs mais peu testés scientifiquement, comme un spray nasal de propolis, de simples tisanes de thym et de romarin, certaines huiles essentielles (ravintsaracajeputlaurier noble) ou encore des plantes puissantes comme l’Artemisia Annua et la Scutellaire du lac Baïkal.)

Il existe des solutions immédiates et efficaces, et on ne veut pas en parler.

Mais le problème est qu’il était difficile de le prouver définitivement.

Certes, il y a des dizaines d’études scientifiques, en particulier sur le protocole Raoult et la vitamine D, qui montrent clairement que le bénéfice-risque de ces traitements est ultra-favorable.

Mais des gens de mauvaise foi pouvaient toujours pinailler sur telle ou telle étude, et continuer d’exiger d’attendre le Dieu Vaccin comme unique solution à la crise.

Or ce n’est plus le cas.

Car il y a désormais un médicament, l’ivermectine, qui a fait la preuve de son efficacité, au-delà de tout doute scientifique, même pour des gens de mauvaise foi !

Si vous ajoutez ce médicament au protocole décrit ci-dessus, vous n’avez plus d’épidémie, du jour au lendemain.

Car ce médicament fonctionne :

  • En prévention : il fonctionne mieux que le meilleur des vaccins ;
  • En traitement précoce : il a un effet anti-viral démontré ;
  • En traitement hospitalier : il a même un effet anti-inflammatoire !

Je sais que cela peut paraître incroyable.

Mais toutes les preuves sont là.

La belle histoire d’une maison de retraite en France

Avant d’entrer dans le détail des études, je dois vous raconter l’histoire de cette maison de retraite de Seine-et-Marne qui a miraculeusement échappé aux dégâts de la Covid-19.

L’histoire a été publiée dans une revue scientifique, donc elle n’a rien d’un conte de fées[6].

Elle commence mal, avec une personne de l’Ehpad hospitalisée pour cause de « gale ». Trois autres résidents ont aussi été contaminés par cette maladie rare.

Immédiatement, le protocole classique est appliqué : tous les résidents et personnels soignants reçoivent de l’ivermectine, indiquée pour prévenir et guérir la gale.

Mais on était aussi en pleine épidémie de Covid-19, et 7 résidents sur 69 ont été testés positifs au coronavirus.

Et pourtant, malgré un âge moyen de 90 ans parmi les cas positifs, aucun résident n’est mort de la Covid-19, et un seul a dû être traité avec de l’oxygène. C’est assez spectaculaire, 0 mort, quand on sait que la mortalité était de 5 % dans les Ehpad d’à côté !

Voilà un signal très positif pour l’ivermectine, en prévention et en traitement !

Et c’est confirmé par les études.

Hyper-efficace en prévention : aucun cas positif chez les soignants argentins !

En prévention, l’ivermectine marche au moins aussi bien que le meilleur des vaccins.

La plus grosse étude de prévention est venue d’Argentine, avec des résultats spectaculaires[7].

Là-bas, 1200 personnels soignants ont été séparés en deux groupes :

  • Un groupe de 800 personnes a reçu 12 milligrammes d’ivermectine, une fois par semaine pendant plusieurs mois (+ un spray nasal) ;
  • Un groupe de 400 personnes n’a rien reçu.

Eh bien de façon tout à fait extraordinaire, AUCUN soignant qui a reçu l’ivermectine n’a été testé positif à la Covid-19, contre 236 soignants dans l’autre groupe !!

Cela fait un taux de succès de 100 %, avec 0 personne contaminée d’un côté, contre 58 % des personnes contaminées de l’autre !

En Égypte, les résultats ont été un peu moins spectaculaires, mais extrêmement positifs.

Là-aussi, les personnels soignants ont été séparés en deux groupes[8] :

  • 100 soignants ont reçu une dose élevée d’ivermectine aux 1er et 7ème jour ;
  • 100 soignants n’ont rien reçu.

Résultat : il y a eu 5 fois moins de contaminations dans le groupe qui a bénéficié de l’ivermectine (2 soignants seulement contre 10).

Une autre étude randomisée, toujours en Égypte[9], a montré une diminution de près de 90 % du nombre d’infections chez les membres de la famille d’un patient de la Covid-19, lorsqu’ils ont reçu de l’ivermectine plutôt que rien du tout.

En Inde, une étude rétrospective a observé une réduction de 75 % du nombre de personnes contaminées par la Covid-19, grâce à l’ivermectine[10].

Au total, des chercheurs ont observé que les pays qui utilisent l’ivermectine pour prévenir les parasites ont beaucoup moins de cas positifs à la Covid-19 que les autres[11].

L’effet est encore plus net quand on regarde, au sein d’un même pays, les régions autonomes qui ont distribué de l’ivermectine par rapport aux autres.

Ainsi, au Brésil, les villes de Itajai, Macapa et Natal ont massivement distribué de l’ivermectine, avec des résultats bien meilleurs que dans les villes environnantes[12] !

En traitement : des baisses de 40 à 90 % de la mortalité !

L’efficacité spectaculaire observée en prévention se confirme aussi en traitement précoce.

La plus grande étude randomisée a été réalisée au Bangladesh (oui, les pays pauvres font des études utiles pendant que les pays riches ont testé le remdésivir inefficace à 2 000 euros).

Dans cette étude, tous les patients ont reçu un antibiotique (azithromycine ou doxycycline), mais ceux qui ont reçu en plus l’ivermectine ont été beaucoup plus nombreux à guérir rapidement[13].

Dans une autre étude réalisée en Irak, tous les patients ont été traités avec les éléments du protocole efficace décrit plus haut, notamment vitamine C, vitamine D, zinc et azithromycine – ce qui est une preuve supplémentaire qu’on est souvent mieux soigné dans les pays les plus pauvres qu’en Occident.

Sans surprise, avec ce protocole efficace, tous les patients s’en sont sortis sans problème.

Mais ceux qui ont reçu de l’ivermectine ont guéri au 6ème jour, contre le 12ème jour pour les autres ![14]

De fait, quand les médecins utilisent l’ivermectine, les résultats sautent aux yeux.

Le Chiapas, une petite région du Mexique, a décidé de soigner la population avec de l’ivermectine, contre les recommandations officielles.

Résultat : cette région a connu une chute du nombre de cas et de morts liés à la Covid, pendant que le reste du Mexique était toujours en butte aux dégâts de l’épidémie[15] !

Et les bienfaits de l’ivermectine sont confirmés chez les patients hospitalisés.

Au total, on dispose de 4 études randomisées sur les patients hospitalisés, avec d’excellents résultats à chaque fois.

La plus récente nous vient d’Iran, qui a observé 3 % de mortalité avec l’ivermectine, contre 19 % de mortalité sans ivermectine, soit 6 fois moins de morts grâce à ce médicament[16] !

Et pour compléter, il y a au moins un hôpital qui a sauvé l’honneur de l’Occident en s’intéressant à l’ivermectine. En Floride, aux Etats-Unis, des médecins ont comparé après coup les patients traités par ivermectine et les autres, et ont trouvé une nette diminution de la mortalité[17].

L’exemple incroyable du Paraguay pour conclure

Et si vous aviez encore un doute, voyez plutôt ce qui s’est passé au Paraguay.

Une petite région autonome, Alto Parana, a décidé en septembre dernier de distribuer massivement de l’ivermectine.

Pour éviter d’être réprimandée par les autorités étatiques, cette région a prétexté vouloir lancer une grande lutte contre les parasites (voyez jusqu’où vont la censure et l’absurdité !).

Au total, 30 000 boîtes d’ivermectine ont été distribuées en quelques semaines, et au 15 octobre, l’épidémie avait globalement disparu !

Voyez plutôt les résultats de cette région (en bleu) comparés aux résultats des autres régions du Paraguay[18] :

 

Bref, l’ivermectine marche, au-delà de toute espérance.

Et maintenant, observez bien ce que vont faire l’OMS et les autorités occidentales.

Ma prédiction : RIEN DU TOUT, malgré l’accumulation de preuves scientifiques.

Comme ils n’ont rien fait pour promouvoir la très efficace vitamine D. Comme ils ont tout fait pour diaboliser le protocole du Pr Raoult.

Tout récemment, une association courageuse a saisi le Tribunal Administratif de Paris pour obliger Olivier Véran à demander une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) pour l’ivermectine contre la Covid-19[19]. En vain.

Je crains qu’on ne puisse rien attendre de nos autorités, corrompues intellectuellement ou financièrement.

Mais VOUS pouvez agir.

Alors transmettez ce message autour de vous.

Et si vous avez un proche vulnérable, malade de la Covid-19, dites-lui de demander de l’ivermectine à son médecin, en plus des autres nutriments naturels indispensables.

Cela pourrait lui sauver la vie.

Bonne santé,

Xavier Bazin

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Sources

[1] https://www.hsgac.senate.gov/imo/media/doc/Testimony-Kory-2020-12-08.pdf

[2] 50 000 UI de vitamine D en une prise, 1 à 2 grammes par jour de vitamine C répartis tout au long de la journée, 50 mg de zinc par jour pendant 10 jours, 1 gramme de quercétine (les autres doses ne changent pas).

Puis 0,25 mg aux 3ème et 7ème jour d’hospitalisation, c’est le dosage utilisé dans l’étude espagnole randomisée qui a obtenu des résultats extraordinaires : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960076020302764?via%3Dihub

[4] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/07/FLCCC_Alliance-MATHplus_Protocol_v5-2020-07-14-FRANCAIS.pdf

[5] https://covid19criticalcare.com/

[6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S015196382030627X?via%3Dihub

[7] http://pharmabaires.com/1739-resultados-positivos-del-protocolo-iver-car-en-la-profilaxis-de-los-agentes-de-salud.html

[8] https://www.researchsquare.com/article/rs-100956/v2

[9] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04422561

[10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.29.20222661v1.full

[11] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0924857920304684?via%3Dihub

[12] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/11/FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf

[13] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04523831

[14] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.26.20219345v1

[15] https://c19study.com/chamie.html

[16] https://www.researchsquare.com/article/rs-109670/v1

[17] https://journal.chestnet.org/article/S0012-3692(20)34898-4/fulltext

[18] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/11/FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf

[19] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2020/12/R%C3%A9sultat-r%C3%A9f%C3%A9r%C3%A9.pdf


Denière confirmation de l'efficacité de l'ivermectne

Dr Cadegiani: l'ivermectine présente une performance exceptionnelle (94,6% de réduction de la mortalité Covid)

Auteur(s)
FranceSoir
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/dr-cadegiani-l-ivermectine-presente-une-performance-exceptionnelle-946-de
 

*


 



En faisant une étude exhaustive des publications scientifiques notre association observe que 4 approches thérapeutiques de la COVIDsont validées

Vitamine D: 43 études, efficacité de 76% (p=0.00049)
Zinc: en association avec HCQ+ Azithromycine
Hydroxychloroquine (HCQ)+ Azithromycine : 208 études, efficacité au stade de début de 65% (p=0.0005)
Ivermectine: 41 études, efficacité de 87% (p=0.00052)
L’ivermectine on le voit a un nombre impressionnant (41) d’études!
Elle agit sur le spike de l’enveloppe. C’EST UN VACCIN CHIMIQUE MEDICAMENTEUX.
Et l’ivermectine existe sous forme à libération prolongée, c’est-à-dire qu’il n’est pas nécessaire de la prendre tous les jours



Réference incontestale de2020

Ivermectin Docks to the SARS-CoV-2 SpikeReceptor-binding Domain Attached to ACE2 par STEVEN LEHRER,
and PETER H. RHEINSTEIN,in vivo34:3023-3026,2020

Information transmise à :

Pr Didier Raoult, Pr Christian Peronne, DrPhilippe Parola,Dr Guido Kroemer

Le canard enchaîné,  La Provence

Boris Jonhson, Matteo Salvini

Olivier Faure, Adrien Quatennens, Xavier Bertrand, Laurent Wauquiez,  Christian Estrosi, Renaud Muselier,David Rachline, Marine Lepen,Jean-Marie Leguen, Joachim Son-Forget,Michèle Ruberola, Florian Philippot ,Jean-Marie Poisson,Michèle Rivasi

Complement sur l'efficacité: https://www.francesoir.fr/societe-sante/livermectine-fonctionne-y-compris-pour-le-covid-long-dit-un-medecinchercheur-renomme

* Une requête au Conseil d'état du 25 Janvier dernier a obligé l'ANSM de s'auto-saisir d'une demande de RTU pour l'ivermectine. L'ANSM s'est engagée à apporter une réponse dans "les plus brefs délais". Si celle-ci qui a déjà apporté un avis défavorable récidivait , elle signerait sa corruption et pourrait être poursuivie judicierement pour crime .
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/livermectine-et-lansm 
Infos pratiques: l'ivermectine est disponible sur ordonnance pour la prevention et le traitement dans toutes les pharmacies. Il peut être prescrit par les medecins libres dont la liste se trouve dans https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/

Corruption généralisée et desinformation par les assassins qui nous gouvernent del'OMS aux Etats occidentaux
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ivermectine-de-lindifference-scandaleuse-au-mensonge-criminel
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ivermectine-le-complotisme-de-lema-par-le-dr-maudrux
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-tendances-eco-france/ivermectine-nouveau-mediator
Un tournant va peutêtre intervenir avec l'assignation de l'OMS au plan judiciaire  par une importante association indienne : https://www.francesoir.fr/societe-sante/ivermectine-bras-de-fer-entre-lindia-bar-association-et-loms.
Si cette action arrive à son terme elle constituera un scandale sanitaire mondial et permettra de faire condamner tous les escocs qui dirigent L'OMS et rebâtir de fond en comble cette organisation mafieuse.

**De nouveaux éléments viennent d'être mis à jour pour établir la corruption de l'OMS et du gouvernement français pour interdire l'ivermectine:
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/refus-d-autoriser-livermectine-trafic-dinfluence-etouffe-par-etat-francais

 
C.121-Coronavirus : une honte médicale

En riposte aux informations  officielles  sur les préventions et  traitements des infections au coronavirus, occultées ou discréditées nous avons décidé de mettre en ligne l'article de Xavier Bazin de la revue "Santé Corps Esprit "

 


Coronavirus : une honte médicale


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Il y a une chose que je n’avais pas vu venir, avec ce coronavirus.

C’est qu’il risque de mettre nos hôpitaux en déroute.

La raison est simple : beaucoup de malades ont besoin d’assistance respiratoire.

Oui : jusqu’à 10 % des malades de ce virus ont besoin d’un masque à oxygène.

Je rappelle que le coronavirus vous donne une infection respiratoire.

Et quand vous respirez mal, votre cœur souffre, car il n’est plus assez alimenté en oxygène.

C’est pourquoi ce coronavirus se montre réellement dangereux dans deux cas :

  • Si vous avez des problèmes respiratoires, car le virus peut les aggraver brutalement ;

 

  • Si vous avez des problèmes cardiaques, car votre cœur résistera moins à un manque d’oxygène.

Logiquement, les moins de 20 ans ne meurent pas du coronavirus : ils ont des poumons et un cœur en excellente santé.

Et bien sûr, les jeunes ont un excellent système immunitaire, qui leur permet d’éviter que l’infection ne fasse de réels dégâts.

Au contraire, ceux qui meurent du coronavirus sont presque toujours :

  • Des personnes de plus de 70-80 ans, dont le système immunitaire est affaibli ;

 

  • Et des personnes qui ont en plus des problèmes respiratoires et/ou cardiaques – avec une double peine pour les fumeurs, car la cigarette est aussi nocive pour le cœur ET les poumons.

La bonne nouvelle est que l’assistance respiratoire et les soins intensifs sauvent des vies.

Mais le problème est que cela demande un grand nombre de lits d’hôpitaux disponibles !

Or la plupart des hôpitaux sont souvent remplis à pleine capacité, en temps normal.

Si des milliers de personnes de plus doivent soudainement se rendre à l’hôpital, le système risque d’être débordé[1]… surtout si les personnels soignants attrapent le virus et sont contraints de rester chez eux.

C’est ce qui s’est passé à Wuhan, en Chine, malgré la construction d’un hôpital en quelques jours.

C’est ce qui est en train de se passer dans le Nord de l’Italie.

« En 42 ans de métier, il ne m'est jamais arrivé de devoir affronter quelque chose qui nous a contraints à occuper un nombre extrêmement élevé de lits en soins intensifs », a déclaré le professeur Massimo Galli, de l'hôpital Sacco à Milan[2].

Et c’est ce qui risque d’arriver en France, très rapidement.

Voilà pourquoi le coronavirus ne peut pas être traité comme une simple « grippe » :

  • Pas tellement parce qu’il serait beaucoup plus dangereux (son taux de mortalité reste faible) ;

 

  • Mais surtout parce qu’il cause de nombreuses pneumonies, qui peuvent submerger les capacités de nos hôpitaux.

Voilà pourquoi les autorités ont raison de prendre des mesures fortes, comme la fermeture d’écoles ou la mise en quarantaine obligatoire.

L’objectif n’est pas de supprimer l’épidémie, mais plutôt de l’étaler dans le temps, pour que les hôpitaux ne soient pas surchargés.

C’est ce que montre l’image ci-dessous :

  • L’idée est d’éviter le scénario « rouge » : un pic brutal d’infections, qui dépasse la capacité des hôpitaux (en pointillés) ;

 

  • et d’obtenir un scénario « bleu » : une épidémie étalée dans le temps, pour permettre aux hôpitaux de faire face :

 


 


Donc, de ce point de vue, ce que font les autorités est compréhensible.

Mais il y a quand même DEUX ÉNORMES PROBLÈMES avec la façon dont on combat ce virus en ce moment, en Occident.

Pour moi, l’épidémie du coronavirus est le révélateur de la face sombre de notre système médical.

Voici pourquoi :

Pour éviter les infections hivernales, ils ont TOUT misé sur le vaccin

Le premier « péché capital » de notre système de santé, c’est qu’il mise absolument tout sur les vaccins, face aux virus de l’hiver.

A chaque début de l’automne, on vous dit qu’il faut vous faire vacciner contre la grippe.

C’est le seul et unique message que les autorités vous communiquent.

Et c’est tout simplement irresponsable.

Pas seulement parce que ce vaccin est très peu efficace contre la grippe[3].

Mais surtout parce que, dans le meilleur des cas, le vaccin ne vous protège QUE de la grippe…

…et pas du tout des autres infections hivernales, qui peuvent être tout aussi dangereuses pour les personnes fragiles !

Résultat : nos autorités sont en panique face à n’importe quel nouveau virus !

Nous n’en serions pas là si nos autorités communiquaient depuis des années sur les gestes efficaces pour prévenir les infections, comme :

  • Une bonne alimentation (le sucre et les excès de table plombent vos défenses immunitaires) ;

 

  • La prise d’un multivitamines, pour ne pas manquer de zinc et des vitamines C, D et E : c’est capital pour renforcer vos défenses immunitaires ;

 

  • Des tisanes régulières de thym ou romarin, ainsi qu’une cure éventuelle de propolis, un anti-viral remarquable ;

 

  • Sans oublier les huiles essentielles, et d’autres méthode naturelles efficaces de prévention des infections virales.

Si la majorité des Français connaissaient ces simples gestes, nous aurions beaucoup moins d’infections hivernales…. et aussi beaucoup moins de victimes du coronavirus !

Il n’y aurait pas de panique, car chacun aurait en tête la formule de Béchamp : « le virus n’est rien, le terrain est tout »…

… et chacun prendrait soin de ses défenses immunitaires, de façon autonome et responsable.

Mais dans notre système de santé où on ne vous parle que de « vaccin »… eh bien c’est la panique généralisée dès qu’un nouveau virus apparaît.

Comme les autorités n’ont jamais parlé de prévention, les Français s’affolent et se croient désarmés (à tort !) face au coronavirus.

Et ce n’est pas tout :

On refuse des thérapies PROMETTEUSES pour des raisons de gros sous !!!

Face au coronavirus, le premier réflexe des autorités de santé est de tester des médicaments anti-viraux récents, hors de prix, et risqués.

De façon choquante, nos autorités refusent d’essayer des substances plus prometteuses…

…comme la chloroquine.

Je vous en ai parlé dans ma dernière lettre sur le « protocole naturel anti-coronavirus » : parmi les médicaments existants, la chloroquine est clairement la molécule chimique la plus intéressante contre le coronavirus.

Certes, comme tous les médicaments, elle a des effets indésirables, mais ce n’est généralement pas ce qui arrête nos autorités.

Non, la vraie raison du « dédain » des grands professeurs de médecine vis-à-vis de la chloroquine, c’est que c’est un vieux médicament, qui ne coûte rien…

…et ne rapporte rien aux grands labos pharmaceutiques.

Ce mépris du corps médical est encore plus grave s’agissant des remèdes naturels.

Au moment où je vous écris, plusieurs traitements naturels sont objectivement les plus prometteurs pour soigner les personnes gravement atteintes du coronavirus.

C’est le cas, en particulier, des injections de vitamine C à haute dose.

Les Chinois les utilisent contre le coronavirus, en ce moment même[4].

Et ils ont d’excellentes raisons pour le faire :

  • Les injections de vitamine C sont sans le moindre danger ;

 

  • De grands médecins les ont utilisées avec succès contre des infections virales comme des pneumonies[5] ;

 

  • D’après les études scientifiques, elles sont efficaces contre les infections respiratoires[6] et pourraient même sauver la vie de patients victimes de septicémie[7] [8].

Donc, dans un système médical normal, tous les patients admis en soins intensifs pour le coronavirus devraient recevoir immédiatement des injections de vitamine C.

Cela pourrait sauver des vies, accélérer les guérisons et libérer des lits… à peu de frais et sans le moindre risque pour les patients !

Et pourtant, nos autorités ne le font pas, parce qu’elles sont remplies de préjugés vis à vis des solutions naturelles.

Les Chinois, eux, sont plus ouverts d’esprit et moins inféodés à Big Pharma… alors ils testent, eux, les injections de vitamine C contre le coronavirus.

Et c’est la même chose pour un autre traitement naturel efficace et sans danger : la quercétine.

Ce micro-nutriment a montré son efficacité contre les virus Ebola et Zika… et contre des maladies des poumons[9].

Un des plus grands virologues de la planète, le Dr Michel Chrétien, croit en son efficacité probable contre le coronavirus[10].

Là encore, ce remède précieux devrait être donné, sans se poser de question, à tous les patients atteints de coronavirus.

Mais ce n’est pas le cas.

Seuls les Chinois ont lancé une vaste étude clinique pour confirmer son efficacité contre le coronavirus.

Chez nous… rien… et c’est une honte.

Et que dire des huiles essentielles ?

En prévention, c’est une des substances les plus intéressantes pour limiter la diffusion du virus dans les hôpitaux et auprès des personnels de santé.

Et pourtant : avez-vous déjà vu un médecin se mettre de l’huile essentiel de ravintsara sur les poignets, pour réduire son risque d’être infecté ?

Avez-vous déjà vu des diffuseurs d’huiles essentielles dans les hôpitaux, pour assainir l’air ?

Non, c’est rarissime.

Encore plus choquant : on n’essaie même pas les huiles essentielles pour traiter les malades du coronavirus !

Je vous rappelle ce qu’a déclaré Pierre Franchomme, un des plus grands spécialistes au monde des huiles essentielles :

« Les propriétés anti-virales de l’huile essentielle de laurier noble ont fait l’objet de recherches bien documentées.

C’est le cas d’une étude dirigée par Monica R. Loizzo, de la faculté de Pharmacie de Calabre. Elle a montré l’activité in vitro de l’huile essentielle de laurier noble sur le virus SARS-CoV responsable de l’épidémie de SRAS de 200[11] »

Si l’huile essentielle de Laurier Noble est efficace contre le SRAS, il y a de bonne chance qu’elle puisse l’être contre le coronavirus chinois !

Alors pourquoi ce traitement simple et sans danger n’est-il pas testé dans nos hôpitaux ?

Pourquoi ne vous en parle-t-on jamais dans les médias ?

Réponse : parce qu’il y a quelque chose de « pourri » dans notre système médical et médiatique.

Je suis désolé, c’est un mot fort, mais je n’en vois pas d’autre.

Je suis révolté de voir qu’on refuse, en ce moment même, de recourir à des solutions qui pourraient sauver des vies.

Et je ne vois pas d’autre explication possible que la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur notre système de santé.

Bonne santé,

 

*Information capitale sur l'efficacité de l'hydrochloroquine, dicréditée et combattue par les pouvoirs publics avant sa confirmation par le Prof Raoult du CHU de Marseille:

https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/coronavirus-le-traitement-a-la-chloroquine-a-marseille-serait-efficace-1584392554

 


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