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Mar 29
C.123-TRAITEMENT MIRACLE CONTRE LA COVID19 RENDANT LA VACCINATION OBSOLETE
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Xavier Bazin de la revue "Santé Corps Esprit " m'a alerté d'un traitement inattendu efficace en prevention et traitement de la COVID  avec des taux de reussite allant jusqu'à 100% dans certains essais. Il est stupéfiant  que nos experts soient à ce point illétrés pour ne pas avoir eu connaissance des trés nombreux travaux publiés. Cela signe une corruption au plus haut niveau pour  nous endetter aux benéfice des fabricants de vaccins et tuer notre économie. En effet ce produit miracle, l'invermectine, utilisé pour le traitement de la gale, coute 8€ la boite, est encore en vente libre et rend le vaccin inutile.

Voici l'article de Xavier Bazin:

 

 

Covid : toutes les preuves scientifiques montrent l’efficacité de l’ivermectine

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La scène s’est passée devant le Sénat américain, le 8 décembre dernier.

Un grand médecin réanimateur, le Dr Pierre Kory, a expliqué avec passion qu’il existe un traitement « miraculeux » contre la Covid-19.

Après avoir donné toutes les preuves scientifiques, il s’est désolé du silence sidérant sur ce médicament efficace.

« Je ne sais pas combien de temps je vais tenir, en sachant qu’il va y avoir des morts inutiles à partir de maintenant, alors qu’il y a une solution immédiatement disponible »[1].

Et en effet, vous allez le voir, la solution dont il parle est ni plus ni moins « miraculeuse ».

Mais avant de vous en parler, il faut rappeler une chose.

Avant même ce médicament, l’épidémie pouvait être contenue avec le protocole dont je vous ai souvent parlé :

  • En prévention, pour tout le monde, chaque jour : 4 000 UI de vitamine D, 300 mg de magnésium, et un complément multivitaminé contenant 500 mg de vitamine C, 500 mg de quercétine, 20 mg de zinc, 50 μg de sélénium et 50 μg de vitamine K2-MK7 ;
  • En traitement, dès les premiers symptômes : les mêmes nutriments qu’en prévention mais avec des dosages plus élevés[2], ainsi que le protocole du Pr Raoult pour les personnes vulnérables (hydroxychloroquine + azithromycine) ;
  • En cas d’hospitalisation: continuer les nutriments et traitements précédents, mais prendre désormais une forme spéciale de vitamine D3 qui agit immédiatement (calcifediol)[3], ainsi que 3 à 10 mg de mélatonine au coucher (anti-inflammatoire potentiellement précieux contre la tempête cytokinique, et qui favorise un sommeil réparateur dans un contexte difficile à l’hôpital) ;
  • En cas de réanimation : en plus des soins habituels, le protocole Marik à base d’un corticoïde (méthylprednisolone) et de perfusions de vitamine B1 et de vitamine C[4].

A la place, voici ce qu’on fait et recommande aujourd’hui encore dans le monde occidental :

  • En prévention : rien ;
  • En traitement précoce : paracétamol en auto-médication ;
  • En traitement hospitalier/réanimation : paracétamol, corticoïdes et oxygénation (et, selon le cas, d’autres médicaments classiques comme des antibiotiques, anticoagulants, etc.).

Et c’est tout simplement criminel.

Avec le « bon » protocole (une sorte de « mix » entre celui de l’IHU de Marseille et celui d’un groupe de médecins américains[5]), il était clair que l’épidémie pouvait globalement être jugulée, avec très peu de morts.

(Sans même parler ici des remèdes prometteurs mais peu testés scientifiquement, comme un spray nasal de propolis, de simples tisanes de thym et de romarin, certaines huiles essentielles (ravintsaracajeputlaurier noble) ou encore des plantes puissantes comme l’Artemisia Annua et la Scutellaire du lac Baïkal.)

Il existe des solutions immédiates et efficaces, et on ne veut pas en parler.

Mais le problème est qu’il était difficile de le prouver définitivement.

Certes, il y a des dizaines d’études scientifiques, en particulier sur le protocole Raoult et la vitamine D, qui montrent clairement que le bénéfice-risque de ces traitements est ultra-favorable.

Mais des gens de mauvaise foi pouvaient toujours pinailler sur telle ou telle étude, et continuer d’exiger d’attendre le Dieu Vaccin comme unique solution à la crise.

Or ce n’est plus le cas.

Car il y a désormais un médicament, l’ivermectine, qui a fait la preuve de son efficacité, au-delà de tout doute scientifique, même pour des gens de mauvaise foi !

Si vous ajoutez ce médicament au protocole décrit ci-dessus, vous n’avez plus d’épidémie, du jour au lendemain.

Car ce médicament fonctionne :

  • En prévention : il fonctionne mieux que le meilleur des vaccins ;
  • En traitement précoce : il a un effet anti-viral démontré ;
  • En traitement hospitalier : il a même un effet anti-inflammatoire !

Je sais que cela peut paraître incroyable.

Mais toutes les preuves sont là.

La belle histoire d’une maison de retraite en France

Avant d’entrer dans le détail des études, je dois vous raconter l’histoire de cette maison de retraite de Seine-et-Marne qui a miraculeusement échappé aux dégâts de la Covid-19.

L’histoire a été publiée dans une revue scientifique, donc elle n’a rien d’un conte de fées[6].

Elle commence mal, avec une personne de l’Ehpad hospitalisée pour cause de « gale ». Trois autres résidents ont aussi été contaminés par cette maladie rare.

Immédiatement, le protocole classique est appliqué : tous les résidents et personnels soignants reçoivent de l’ivermectine, indiquée pour prévenir et guérir la gale.

Mais on était aussi en pleine épidémie de Covid-19, et 7 résidents sur 69 ont été testés positifs au coronavirus.

Et pourtant, malgré un âge moyen de 90 ans parmi les cas positifs, aucun résident n’est mort de la Covid-19, et un seul a dû être traité avec de l’oxygène. C’est assez spectaculaire, 0 mort, quand on sait que la mortalité était de 5 % dans les Ehpad d’à côté !

Voilà un signal très positif pour l’ivermectine, en prévention et en traitement !

Et c’est confirmé par les études.

Hyper-efficace en prévention : aucun cas positif chez les soignants argentins !

En prévention, l’ivermectine marche au moins aussi bien que le meilleur des vaccins.

La plus grosse étude de prévention est venue d’Argentine, avec des résultats spectaculaires[7].

Là-bas, 1200 personnels soignants ont été séparés en deux groupes :

  • Un groupe de 800 personnes a reçu 12 milligrammes d’ivermectine, une fois par semaine pendant plusieurs mois (+ un spray nasal) ;
  • Un groupe de 400 personnes n’a rien reçu.

Eh bien de façon tout à fait extraordinaire, AUCUN soignant qui a reçu l’ivermectine n’a été testé positif à la Covid-19, contre 236 soignants dans l’autre groupe !!

Cela fait un taux de succès de 100 %, avec 0 personne contaminée d’un côté, contre 58 % des personnes contaminées de l’autre !

En Égypte, les résultats ont été un peu moins spectaculaires, mais extrêmement positifs.

Là-aussi, les personnels soignants ont été séparés en deux groupes[8] :

  • 100 soignants ont reçu une dose élevée d’ivermectine aux 1er et 7ème jour ;
  • 100 soignants n’ont rien reçu.

Résultat : il y a eu 5 fois moins de contaminations dans le groupe qui a bénéficié de l’ivermectine (2 soignants seulement contre 10).

Une autre étude randomisée, toujours en Égypte[9], a montré une diminution de près de 90 % du nombre d’infections chez les membres de la famille d’un patient de la Covid-19, lorsqu’ils ont reçu de l’ivermectine plutôt que rien du tout.

En Inde, une étude rétrospective a observé une réduction de 75 % du nombre de personnes contaminées par la Covid-19, grâce à l’ivermectine[10].

Au total, des chercheurs ont observé que les pays qui utilisent l’ivermectine pour prévenir les parasites ont beaucoup moins de cas positifs à la Covid-19 que les autres[11].

L’effet est encore plus net quand on regarde, au sein d’un même pays, les régions autonomes qui ont distribué de l’ivermectine par rapport aux autres.

Ainsi, au Brésil, les villes de Itajai, Macapa et Natal ont massivement distribué de l’ivermectine, avec des résultats bien meilleurs que dans les villes environnantes[12] !

En traitement : des baisses de 40 à 90 % de la mortalité !

L’efficacité spectaculaire observée en prévention se confirme aussi en traitement précoce.

La plus grande étude randomisée a été réalisée au Bangladesh (oui, les pays pauvres font des études utiles pendant que les pays riches ont testé le remdésivir inefficace à 2 000 euros).

Dans cette étude, tous les patients ont reçu un antibiotique (azithromycine ou doxycycline), mais ceux qui ont reçu en plus l’ivermectine ont été beaucoup plus nombreux à guérir rapidement[13].

Dans une autre étude réalisée en Irak, tous les patients ont été traités avec les éléments du protocole efficace décrit plus haut, notamment vitamine C, vitamine D, zinc et azithromycine – ce qui est une preuve supplémentaire qu’on est souvent mieux soigné dans les pays les plus pauvres qu’en Occident.

Sans surprise, avec ce protocole efficace, tous les patients s’en sont sortis sans problème.

Mais ceux qui ont reçu de l’ivermectine ont guéri au 6ème jour, contre le 12ème jour pour les autres ![14]

De fait, quand les médecins utilisent l’ivermectine, les résultats sautent aux yeux.

Le Chiapas, une petite région du Mexique, a décidé de soigner la population avec de l’ivermectine, contre les recommandations officielles.

Résultat : cette région a connu une chute du nombre de cas et de morts liés à la Covid, pendant que le reste du Mexique était toujours en butte aux dégâts de l’épidémie[15] !

Et les bienfaits de l’ivermectine sont confirmés chez les patients hospitalisés.

Au total, on dispose de 4 études randomisées sur les patients hospitalisés, avec d’excellents résultats à chaque fois.

La plus récente nous vient d’Iran, qui a observé 3 % de mortalité avec l’ivermectine, contre 19 % de mortalité sans ivermectine, soit 6 fois moins de morts grâce à ce médicament[16] !

Et pour compléter, il y a au moins un hôpital qui a sauvé l’honneur de l’Occident en s’intéressant à l’ivermectine. En Floride, aux Etats-Unis, des médecins ont comparé après coup les patients traités par ivermectine et les autres, et ont trouvé une nette diminution de la mortalité[17].

L’exemple incroyable du Paraguay pour conclure

Et si vous aviez encore un doute, voyez plutôt ce qui s’est passé au Paraguay.

Une petite région autonome, Alto Parana, a décidé en septembre dernier de distribuer massivement de l’ivermectine.

Pour éviter d’être réprimandée par les autorités étatiques, cette région a prétexté vouloir lancer une grande lutte contre les parasites (voyez jusqu’où vont la censure et l’absurdité !).

Au total, 30 000 boîtes d’ivermectine ont été distribuées en quelques semaines, et au 15 octobre, l’épidémie avait globalement disparu !

Voyez plutôt les résultats de cette région (en bleu) comparés aux résultats des autres régions du Paraguay[18] :

 

Bref, l’ivermectine marche, au-delà de toute espérance.

Et maintenant, observez bien ce que vont faire l’OMS et les autorités occidentales.

Ma prédiction : RIEN DU TOUT, malgré l’accumulation de preuves scientifiques.

Comme ils n’ont rien fait pour promouvoir la très efficace vitamine D. Comme ils ont tout fait pour diaboliser le protocole du Pr Raoult.

Tout récemment, une association courageuse a saisi le Tribunal Administratif de Paris pour obliger Olivier Véran à demander une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) pour l’ivermectine contre la Covid-19[19]. En vain.

Je crains qu’on ne puisse rien attendre de nos autorités, corrompues intellectuellement ou financièrement.

Mais VOUS pouvez agir.

Alors transmettez ce message autour de vous.

Et si vous avez un proche vulnérable, malade de la Covid-19, dites-lui de demander de l’ivermectine à son médecin, en plus des autres nutriments naturels indispensables.

Cela pourrait lui sauver la vie.

Bonne santé,

Xavier Bazin

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Sources

[1] https://www.hsgac.senate.gov/imo/media/doc/Testimony-Kory-2020-12-08.pdf

[2] 50 000 UI de vitamine D en une prise, 1 à 2 grammes par jour de vitamine C répartis tout au long de la journée, 50 mg de zinc par jour pendant 10 jours, 1 gramme de quercétine (les autres doses ne changent pas).

Puis 0,25 mg aux 3ème et 7ème jour d’hospitalisation, c’est le dosage utilisé dans l’étude espagnole randomisée qui a obtenu des résultats extraordinaires : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960076020302764?via%3Dihub

[4] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/07/FLCCC_Alliance-MATHplus_Protocol_v5-2020-07-14-FRANCAIS.pdf

[5] https://covid19criticalcare.com/

[6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S015196382030627X?via%3Dihub

[7] http://pharmabaires.com/1739-resultados-positivos-del-protocolo-iver-car-en-la-profilaxis-de-los-agentes-de-salud.html

[8] https://www.researchsquare.com/article/rs-100956/v2

[9] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04422561

[10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.29.20222661v1.full

[11] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0924857920304684?via%3Dihub

[12] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/11/FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf

[13] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04523831

[14] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.26.20219345v1

[15] https://c19study.com/chamie.html

[16] https://www.researchsquare.com/article/rs-109670/v1

[17] https://journal.chestnet.org/article/S0012-3692(20)34898-4/fulltext

[18] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/11/FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf

[19] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2020/12/R%C3%A9sultat-r%C3%A9f%C3%A9r%C3%A9.pdf

 

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Xavier Bazin de la revue "Santé Corps Esprit " m'a alerté d'un traitement inattendu efficace en prevention et traitement de la COVID  avec des taux de reussite allant jusqu'à 100% dans certains essais. Il est stupéfiant  que nos experts soient à ce point illétrés pour ne pas avoir eu connaissance des trés nombreux travaux publiés. Cela signe une corruption au plus haut niveau pour  nous endetter aux benéfice des fabricants de vaccins et tuer notre économie. En effet ce produit miracle, l'invermectine, utilisé pour le traitement de la gale, coute 8€ la boite, est encore en vente libre et rend le vaccin inutile.

Voici l'article de Xavier Bazin:

 

 

Covid : toutes les preuves scientifiques montrent l’efficacité de l’ivermectine

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La scène s’est passée devant le Sénat américain, le 8 décembre dernier.

Un grand médecin réanimateur, le Dr Pierre Kory, a expliqué avec passion qu’il existe un traitement « miraculeux » contre la Covid-19.

Après avoir donné toutes les preuves scientifiques, il s’est désolé du silence sidérant sur ce médicament efficace.

« Je ne sais pas combien de temps je vais tenir, en sachant qu’il va y avoir des morts inutiles à partir de maintenant, alors qu’il y a une solution immédiatement disponible »[1].

Et en effet, vous allez le voir, la solution dont il parle est ni plus ni moins « miraculeuse ».

Mais avant de vous en parler, il faut rappeler une chose.

Avant même ce médicament, l’épidémie pouvait être contenue avec le protocole dont je vous ai souvent parlé :

  • En prévention, pour tout le monde, chaque jour : 4 000 UI de vitamine D, 300 mg de magnésium, et un complément multivitaminé contenant 500 mg de vitamine C, 500 mg de quercétine, 20 mg de zinc, 50 μg de sélénium et 50 μg de vitamine K2-MK7 ;
  • En traitement, dès les premiers symptômes : les mêmes nutriments qu’en prévention mais avec des dosages plus élevés[2], ainsi que le protocole du Pr Raoult pour les personnes vulnérables (hydroxychloroquine + azithromycine) ;
  • En cas d’hospitalisation: continuer les nutriments et traitements précédents, mais prendre désormais une forme spéciale de vitamine D3 qui agit immédiatement (calcifediol)[3], ainsi que 3 à 10 mg de mélatonine au coucher (anti-inflammatoire potentiellement précieux contre la tempête cytokinique, et qui favorise un sommeil réparateur dans un contexte difficile à l’hôpital) ;
  • En cas de réanimation : en plus des soins habituels, le protocole Marik à base d’un corticoïde (méthylprednisolone) et de perfusions de vitamine B1 et de vitamine C[4].

A la place, voici ce qu’on fait et recommande aujourd’hui encore dans le monde occidental :

  • En prévention : rien ;
  • En traitement précoce : paracétamol en auto-médication ;
  • En traitement hospitalier/réanimation : paracétamol, corticoïdes et oxygénation (et, selon le cas, d’autres médicaments classiques comme des antibiotiques, anticoagulants, etc.).

Et c’est tout simplement criminel.

Avec le « bon » protocole (une sorte de « mix » entre celui de l’IHU de Marseille et celui d’un groupe de médecins américains[5]), il était clair que l’épidémie pouvait globalement être jugulée, avec très peu de morts.

(Sans même parler ici des remèdes prometteurs mais peu testés scientifiquement, comme un spray nasal de propolis, de simples tisanes de thym et de romarin, certaines huiles essentielles (ravintsaracajeputlaurier noble) ou encore des plantes puissantes comme l’Artemisia Annua et la Scutellaire du lac Baïkal.)

Il existe des solutions immédiates et efficaces, et on ne veut pas en parler.

Mais le problème est qu’il était difficile de le prouver définitivement.

Certes, il y a des dizaines d’études scientifiques, en particulier sur le protocole Raoult et la vitamine D, qui montrent clairement que le bénéfice-risque de ces traitements est ultra-favorable.

Mais des gens de mauvaise foi pouvaient toujours pinailler sur telle ou telle étude, et continuer d’exiger d’attendre le Dieu Vaccin comme unique solution à la crise.

Or ce n’est plus le cas.

Car il y a désormais un médicament, l’ivermectine, qui a fait la preuve de son efficacité, au-delà de tout doute scientifique, même pour des gens de mauvaise foi !

Si vous ajoutez ce médicament au protocole décrit ci-dessus, vous n’avez plus d’épidémie, du jour au lendemain.

Car ce médicament fonctionne :

  • En prévention : il fonctionne mieux que le meilleur des vaccins ;
  • En traitement précoce : il a un effet anti-viral démontré ;
  • En traitement hospitalier : il a même un effet anti-inflammatoire !

Je sais que cela peut paraître incroyable.

Mais toutes les preuves sont là.

La belle histoire d’une maison de retraite en France

Avant d’entrer dans le détail des études, je dois vous raconter l’histoire de cette maison de retraite de Seine-et-Marne qui a miraculeusement échappé aux dégâts de la Covid-19.

L’histoire a été publiée dans une revue scientifique, donc elle n’a rien d’un conte de fées[6].

Elle commence mal, avec une personne de l’Ehpad hospitalisée pour cause de « gale ». Trois autres résidents ont aussi été contaminés par cette maladie rare.

Immédiatement, le protocole classique est appliqué : tous les résidents et personnels soignants reçoivent de l’ivermectine, indiquée pour prévenir et guérir la gale.

Mais on était aussi en pleine épidémie de Covid-19, et 7 résidents sur 69 ont été testés positifs au coronavirus.

Et pourtant, malgré un âge moyen de 90 ans parmi les cas positifs, aucun résident n’est mort de la Covid-19, et un seul a dû être traité avec de l’oxygène. C’est assez spectaculaire, 0 mort, quand on sait que la mortalité était de 5 % dans les Ehpad d’à côté !

Voilà un signal très positif pour l’ivermectine, en prévention et en traitement !

Et c’est confirmé par les études.

Hyper-efficace en prévention : aucun cas positif chez les soignants argentins !

En prévention, l’ivermectine marche au moins aussi bien que le meilleur des vaccins.

La plus grosse étude de prévention est venue d’Argentine, avec des résultats spectaculaires[7].

Là-bas, 1200 personnels soignants ont été séparés en deux groupes :

  • Un groupe de 800 personnes a reçu 12 milligrammes d’ivermectine, une fois par semaine pendant plusieurs mois (+ un spray nasal) ;
  • Un groupe de 400 personnes n’a rien reçu.

Eh bien de façon tout à fait extraordinaire, AUCUN soignant qui a reçu l’ivermectine n’a été testé positif à la Covid-19, contre 236 soignants dans l’autre groupe !!

Cela fait un taux de succès de 100 %, avec 0 personne contaminée d’un côté, contre 58 % des personnes contaminées de l’autre !

En Égypte, les résultats ont été un peu moins spectaculaires, mais extrêmement positifs.

Là-aussi, les personnels soignants ont été séparés en deux groupes[8] :

  • 100 soignants ont reçu une dose élevée d’ivermectine aux 1er et 7ème jour ;
  • 100 soignants n’ont rien reçu.

Résultat : il y a eu 5 fois moins de contaminations dans le groupe qui a bénéficié de l’ivermectine (2 soignants seulement contre 10).

Une autre étude randomisée, toujours en Égypte[9], a montré une diminution de près de 90 % du nombre d’infections chez les membres de la famille d’un patient de la Covid-19, lorsqu’ils ont reçu de l’ivermectine plutôt que rien du tout.

En Inde, une étude rétrospective a observé une réduction de 75 % du nombre de personnes contaminées par la Covid-19, grâce à l’ivermectine[10].

Au total, des chercheurs ont observé que les pays qui utilisent l’ivermectine pour prévenir les parasites ont beaucoup moins de cas positifs à la Covid-19 que les autres[11].

L’effet est encore plus net quand on regarde, au sein d’un même pays, les régions autonomes qui ont distribué de l’ivermectine par rapport aux autres.

Ainsi, au Brésil, les villes de Itajai, Macapa et Natal ont massivement distribué de l’ivermectine, avec des résultats bien meilleurs que dans les villes environnantes[12] !

En traitement : des baisses de 40 à 90 % de la mortalité !

L’efficacité spectaculaire observée en prévention se confirme aussi en traitement précoce.

La plus grande étude randomisée a été réalisée au Bangladesh (oui, les pays pauvres font des études utiles pendant que les pays riches ont testé le remdésivir inefficace à 2 000 euros).

Dans cette étude, tous les patients ont reçu un antibiotique (azithromycine ou doxycycline), mais ceux qui ont reçu en plus l’ivermectine ont été beaucoup plus nombreux à guérir rapidement[13].

Dans une autre étude réalisée en Irak, tous les patients ont été traités avec les éléments du protocole efficace décrit plus haut, notamment vitamine C, vitamine D, zinc et azithromycine – ce qui est une preuve supplémentaire qu’on est souvent mieux soigné dans les pays les plus pauvres qu’en Occident.

Sans surprise, avec ce protocole efficace, tous les patients s’en sont sortis sans problème.

Mais ceux qui ont reçu de l’ivermectine ont guéri au 6ème jour, contre le 12ème jour pour les autres ![14]

De fait, quand les médecins utilisent l’ivermectine, les résultats sautent aux yeux.

Le Chiapas, une petite région du Mexique, a décidé de soigner la population avec de l’ivermectine, contre les recommandations officielles.

Résultat : cette région a connu une chute du nombre de cas et de morts liés à la Covid, pendant que le reste du Mexique était toujours en butte aux dégâts de l’épidémie[15] !

Et les bienfaits de l’ivermectine sont confirmés chez les patients hospitalisés.

Au total, on dispose de 4 études randomisées sur les patients hospitalisés, avec d’excellents résultats à chaque fois.

La plus récente nous vient d’Iran, qui a observé 3 % de mortalité avec l’ivermectine, contre 19 % de mortalité sans ivermectine, soit 6 fois moins de morts grâce à ce médicament[16] !

Et pour compléter, il y a au moins un hôpital qui a sauvé l’honneur de l’Occident en s’intéressant à l’ivermectine. En Floride, aux Etats-Unis, des médecins ont comparé après coup les patients traités par ivermectine et les autres, et ont trouvé une nette diminution de la mortalité[17].

L’exemple incroyable du Paraguay pour conclure

Et si vous aviez encore un doute, voyez plutôt ce qui s’est passé au Paraguay.

Une petite région autonome, Alto Parana, a décidé en septembre dernier de distribuer massivement de l’ivermectine.

Pour éviter d’être réprimandée par les autorités étatiques, cette région a prétexté vouloir lancer une grande lutte contre les parasites (voyez jusqu’où vont la censure et l’absurdité !).

Au total, 30 000 boîtes d’ivermectine ont été distribuées en quelques semaines, et au 15 octobre, l’épidémie avait globalement disparu !

Voyez plutôt les résultats de cette région (en bleu) comparés aux résultats des autres régions du Paraguay[18] :

 

Bref, l’ivermectine marche, au-delà de toute espérance.

Et maintenant, observez bien ce que vont faire l’OMS et les autorités occidentales.

Ma prédiction : RIEN DU TOUT, malgré l’accumulation de preuves scientifiques.

Comme ils n’ont rien fait pour promouvoir la très efficace vitamine D. Comme ils ont tout fait pour diaboliser le protocole du Pr Raoult.

Tout récemment, une association courageuse a saisi le Tribunal Administratif de Paris pour obliger Olivier Véran à demander une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) pour l’ivermectine contre la Covid-19[19]. En vain.

Je crains qu’on ne puisse rien attendre de nos autorités, corrompues intellectuellement ou financièrement.

Mais VOUS pouvez agir.

Alors transmettez ce message autour de vous.

Et si vous avez un proche vulnérable, malade de la Covid-19, dites-lui de demander de l’ivermectine à son médecin, en plus des autres nutriments naturels indispensables.

Cela pourrait lui sauver la vie.

Bonne santé,

Xavier Bazin

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Sources

[1] https://www.hsgac.senate.gov/imo/media/doc/Testimony-Kory-2020-12-08.pdf

[2] 50 000 UI de vitamine D en une prise, 1 à 2 grammes par jour de vitamine C répartis tout au long de la journée, 50 mg de zinc par jour pendant 10 jours, 1 gramme de quercétine (les autres doses ne changent pas).

Puis 0,25 mg aux 3ème et 7ème jour d’hospitalisation, c’est le dosage utilisé dans l’étude espagnole randomisée qui a obtenu des résultats extraordinaires : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960076020302764?via%3Dihub

[4] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/07/FLCCC_Alliance-MATHplus_Protocol_v5-2020-07-14-FRANCAIS.pdf

[5] https://covid19criticalcare.com/

[6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S015196382030627X?via%3Dihub

[7] http://pharmabaires.com/1739-resultados-positivos-del-protocolo-iver-car-en-la-profilaxis-de-los-agentes-de-salud.html

[8] https://www.researchsquare.com/article/rs-100956/v2

[9] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04422561

[10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.29.20222661v1.full

[11] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0924857920304684?via%3Dihub

[12] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/11/FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf

[13] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04523831

[14] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.26.20219345v1

[15] https://c19study.com/chamie.html

[16] https://www.researchsquare.com/article/rs-109670/v1

[17] https://journal.chestnet.org/article/S0012-3692(20)34898-4/fulltext

[18] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/11/FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf

[19] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2020/12/R%C3%A9sultat-r%C3%A9f%C3%A9r%C3%A9.pdf

 

 


En faisant une étude exhaustive des publications scientifiques notre association observe que 4 approches thérapeutiques de la COVIDsont validées

Vitamine D: 43 études, efficacité de 76% (p=0.00049)
Zinc: en association avec HCQ+ Azithromycine
Hydroxychloroquine (HCQ)+ Azithromycine : 208 études, efficacité au stade de début de 65% (p=0.0005)
Ivermectine: 41 études, efficacité de 87% (p=0.00052)
L’ivermectine on le voit a un nombre impressionnant (41) d’études!
Elle agit sur le spike de l’enveloppe. C’EST UN VACCIN CHIMIQUE MEDICAMENTEUX.
Et l’ivermectine existe sous forme à libération prolongée, c’est-à-dire qu’il n’est pas nécessaire de la prendre tous les jours

Et l’ivermectine existe sous forme à libération prolongée, c’est-à-dire qu’il n’est pas nécessaire de la prendre tous les jours


Réference incontestale de2020

Ivermectin Docks to the SARS-CoV-2 SpikeReceptor-binding Domain Attached to ACE2 par STEVEN LEHRER,
and PETER H. RHEINSTEIN,in vivo34:3023-3026,2020
 
 
 
C.121-Coronavirus : une honte médicale
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En riposte aux informations  officielles  sur les préventions et  traitements des infections au coronavirus, occultées ou discréditées nous avons décidé de mettre en ligne l'article de Xavier Bazin de la revue "Santé Corps Esprit "

 


Coronavirus : une honte médicale


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Il y a une chose que je n’avais pas vu venir, avec ce coronavirus.

C’est qu’il risque de mettre nos hôpitaux en déroute.

La raison est simple : beaucoup de malades ont besoin d’assistance respiratoire.

Oui : jusqu’à 10 % des malades de ce virus ont besoin d’un masque à oxygène.

Je rappelle que le coronavirus vous donne une infection respiratoire.

Et quand vous respirez mal, votre cœur souffre, car il n’est plus assez alimenté en oxygène.

C’est pourquoi ce coronavirus se montre réellement dangereux dans deux cas :

  • Si vous avez des problèmes respiratoires, car le virus peut les aggraver brutalement ;

 

  • Si vous avez des problèmes cardiaques, car votre cœur résistera moins à un manque d’oxygène.

Logiquement, les moins de 20 ans ne meurent pas du coronavirus : ils ont des poumons et un cœur en excellente santé.

Et bien sûr, les jeunes ont un excellent système immunitaire, qui leur permet d’éviter que l’infection ne fasse de réels dégâts.

Au contraire, ceux qui meurent du coronavirus sont presque toujours :

  • Des personnes de plus de 70-80 ans, dont le système immunitaire est affaibli ;

 

  • Et des personnes qui ont en plus des problèmes respiratoires et/ou cardiaques – avec une double peine pour les fumeurs, car la cigarette est aussi nocive pour le cœur ET les poumons.

La bonne nouvelle est que l’assistance respiratoire et les soins intensifs sauvent des vies.

Mais le problème est que cela demande un grand nombre de lits d’hôpitaux disponibles !

Or la plupart des hôpitaux sont souvent remplis à pleine capacité, en temps normal.

Si des milliers de personnes de plus doivent soudainement se rendre à l’hôpital, le système risque d’être débordé[1]… surtout si les personnels soignants attrapent le virus et sont contraints de rester chez eux.

C’est ce qui s’est passé à Wuhan, en Chine, malgré la construction d’un hôpital en quelques jours.

C’est ce qui est en train de se passer dans le Nord de l’Italie.

« En 42 ans de métier, il ne m'est jamais arrivé de devoir affronter quelque chose qui nous a contraints à occuper un nombre extrêmement élevé de lits en soins intensifs », a déclaré le professeur Massimo Galli, de l'hôpital Sacco à Milan[2].

Et c’est ce qui risque d’arriver en France, très rapidement.

Voilà pourquoi le coronavirus ne peut pas être traité comme une simple « grippe » :

  • Pas tellement parce qu’il serait beaucoup plus dangereux (son taux de mortalité reste faible) ;

 

  • Mais surtout parce qu’il cause de nombreuses pneumonies, qui peuvent submerger les capacités de nos hôpitaux.

Voilà pourquoi les autorités ont raison de prendre des mesures fortes, comme la fermeture d’écoles ou la mise en quarantaine obligatoire.

L’objectif n’est pas de supprimer l’épidémie, mais plutôt de l’étaler dans le temps, pour que les hôpitaux ne soient pas surchargés.

C’est ce que montre l’image ci-dessous :

  • L’idée est d’éviter le scénario « rouge » : un pic brutal d’infections, qui dépasse la capacité des hôpitaux (en pointillés) ;

 

  • et d’obtenir un scénario « bleu » : une épidémie étalée dans le temps, pour permettre aux hôpitaux de faire face :

 


 

Donc, de ce point de vue, ce que font les autorités est compréhensible.

Mais il y a quand même DEUX ÉNORMES PROBLÈMES avec la façon dont on combat ce virus en ce moment, en Occident.

Pour moi, l’épidémie du coronavirus est le révélateur de la face sombre de notre système médical.

Voici pourquoi :

Pour éviter les infections hivernales, ils ont TOUT misé sur le vaccin

Le premier « péché capital » de notre système de santé, c’est qu’il mise absolument tout sur les vaccins, face aux virus de l’hiver.

A chaque début de l’automne, on vous dit qu’il faut vous faire vacciner contre la grippe.

C’est le seul et unique message que les autorités vous communiquent.

Et c’est tout simplement irresponsable.

Pas seulement parce que ce vaccin est très peu efficace contre la grippe[3].

Mais surtout parce que, dans le meilleur des cas, le vaccin ne vous protège QUE de la grippe…

…et pas du tout des autres infections hivernales, qui peuvent être tout aussi dangereuses pour les personnes fragiles !

Résultat : nos autorités sont en panique face à n’importe quel nouveau virus !

Nous n’en serions pas là si nos autorités communiquaient depuis des années sur les gestes efficaces pour prévenir les infections, comme :

  • Une bonne alimentation (le sucre et les excès de table plombent vos défenses immunitaires) ;

 

  • La prise d’un multivitamines, pour ne pas manquer de zinc et des vitamines C, D et E : c’est capital pour renforcer vos défenses immunitaires ;

 

  • Des tisanes régulières de thym ou romarin, ainsi qu’une cure éventuelle de propolis, un anti-viral remarquable ;

 

  • Sans oublier les huiles essentielles, et d’autres méthode naturelles efficaces de prévention des infections virales.

Si la majorité des Français connaissaient ces simples gestes, nous aurions beaucoup moins d’infections hivernales…. et aussi beaucoup moins de victimes du coronavirus !

Il n’y aurait pas de panique, car chacun aurait en tête la formule de Béchamp : « le virus n’est rien, le terrain est tout »…

… et chacun prendrait soin de ses défenses immunitaires, de façon autonome et responsable.

Mais dans notre système de santé où on ne vous parle que de « vaccin »… eh bien c’est la panique généralisée dès qu’un nouveau virus apparaît.

Comme les autorités n’ont jamais parlé de prévention, les Français s’affolent et se croient désarmés (à tort !) face au coronavirus.

Et ce n’est pas tout :

On refuse des thérapies PROMETTEUSES pour des raisons de gros sous !!!

Face au coronavirus, le premier réflexe des autorités de santé est de tester des médicaments anti-viraux récents, hors de prix, et risqués.

De façon choquante, nos autorités refusent d’essayer des substances plus prometteuses…

…comme la chloroquine.

Je vous en ai parlé dans ma dernière lettre sur le « protocole naturel anti-coronavirus » : parmi les médicaments existants, la chloroquine est clairement la molécule chimique la plus intéressante contre le coronavirus.

Certes, comme tous les médicaments, elle a des effets indésirables, mais ce n’est généralement pas ce qui arrête nos autorités.

Non, la vraie raison du « dédain » des grands professeurs de médecine vis-à-vis de la chloroquine, c’est que c’est un vieux médicament, qui ne coûte rien…

…et ne rapporte rien aux grands labos pharmaceutiques.

Ce mépris du corps médical est encore plus grave s’agissant des remèdes naturels.

Au moment où je vous écris, plusieurs traitements naturels sont objectivement les plus prometteurs pour soigner les personnes gravement atteintes du coronavirus.

C’est le cas, en particulier, des injections de vitamine C à haute dose.

Les Chinois les utilisent contre le coronavirus, en ce moment même[4].

Et ils ont d’excellentes raisons pour le faire :

  • Les injections de vitamine C sont sans le moindre danger ;

 

  • De grands médecins les ont utilisées avec succès contre des infections virales comme des pneumonies[5] ;

 

  • D’après les études scientifiques, elles sont efficaces contre les infections respiratoires[6] et pourraient même sauver la vie de patients victimes de septicémie[7] [8].

Donc, dans un système médical normal, tous les patients admis en soins intensifs pour le coronavirus devraient recevoir immédiatement des injections de vitamine C.

Cela pourrait sauver des vies, accélérer les guérisons et libérer des lits… à peu de frais et sans le moindre risque pour les patients !

Et pourtant, nos autorités ne le font pas, parce qu’elles sont remplies de préjugés vis à vis des solutions naturelles.

Les Chinois, eux, sont plus ouverts d’esprit et moins inféodés à Big Pharma… alors ils testent, eux, les injections de vitamine C contre le coronavirus.

Et c’est la même chose pour un autre traitement naturel efficace et sans danger : la quercétine.

Ce micro-nutriment a montré son efficacité contre les virus Ebola et Zika… et contre des maladies des poumons[9].

Un des plus grands virologues de la planète, le Dr Michel Chrétien, croit en son efficacité probable contre le coronavirus[10].

Là encore, ce remède précieux devrait être donné, sans se poser de question, à tous les patients atteints de coronavirus.

Mais ce n’est pas le cas.

Seuls les Chinois ont lancé une vaste étude clinique pour confirmer son efficacité contre le coronavirus.

Chez nous… rien… et c’est une honte.

Et que dire des huiles essentielles ?

En prévention, c’est une des substances les plus intéressantes pour limiter la diffusion du virus dans les hôpitaux et auprès des personnels de santé.

Et pourtant : avez-vous déjà vu un médecin se mettre de l’huile essentiel de ravintsara sur les poignets, pour réduire son risque d’être infecté ?

Avez-vous déjà vu des diffuseurs d’huiles essentielles dans les hôpitaux, pour assainir l’air ?

Non, c’est rarissime.

Encore plus choquant : on n’essaie même pas les huiles essentielles pour traiter les malades du coronavirus !

Je vous rappelle ce qu’a déclaré Pierre Franchomme, un des plus grands spécialistes au monde des huiles essentielles :

« Les propriétés anti-virales de l’huile essentielle de laurier noble ont fait l’objet de recherches bien documentées.

C’est le cas d’une étude dirigée par Monica R. Loizzo, de la faculté de Pharmacie de Calabre. Elle a montré l’activité in vitro de l’huile essentielle de laurier noble sur le virus SARS-CoV responsable de l’épidémie de SRAS de 200[11] »

Si l’huile essentielle de Laurier Noble est efficace contre le SRAS, il y a de bonne chance qu’elle puisse l’être contre le coronavirus chinois !

Alors pourquoi ce traitement simple et sans danger n’est-il pas testé dans nos hôpitaux ?

Pourquoi ne vous en parle-t-on jamais dans les médias ?

Réponse : parce qu’il y a quelque chose de « pourri » dans notre système médical et médiatique.

Je suis désolé, c’est un mot fort, mais je n’en vois pas d’autre.

Je suis révolté de voir qu’on refuse, en ce moment même, de recourir à des solutions qui pourraient sauver des vies.

Et je ne vois pas d’autre explication possible que la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur notre système de santé.

Bonne santé,


 
C.120 Conférence internationale sur le VIH(IAS 2019)- Mexico 20-24 Juillet 2019. Rares bénéfices pou
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Comme les précédentes conférences, Mexico a réuni 5000 participants de140 pays avec une multitude de présentations d’intérêt très variable pour les patients. Il s’agit d’une immense foire commerciale contrôlée par Bigpharma et d’associations en attente d’avancées réelles dans les traitements et le vaccin notamment.

En réalité, beaucoup d’énergie pour  rien si ce n’est pour le bénéfice des firmes pharmaceutiques.

Ainsi, un forcing pour booster  les PreP , notamment avec un anneau vaginal à la dapivirine, et un implant ayant une durée de un an .Pour l’anneau testé sur les femmes africaines, rien de convaincant. Ainsi avec un anneau à remplacer tous les mois, on observe une réduction de la contamination de seulement 39% ! Pour l’implant sous cutané du laboratoire Merck, à base d’islatravir(INNTI), ayant une durée de vie de un an, les résultats sont plus convaincants. On se doit cependant rappeler avec force que la PreP ne correspond à aucune alternative justifiable au préservatif pour lequel les pouvoirs publics ne font pas la promotion qu’il mérite. Il s’agit d’une simple objectif commercial.

Une avancée pour les patients multiresistants avec un nouvel antiviral le Fostemsavir, inhibiteur d’attachement. Dans un essai , on observe à 46 semaines une charge virale indetectable chez 38% des patients. Il s’agit d’un petit pas.

Concernant les essais thérapeutiques, pas grand-chose de nouveau. On a l’impression que rien n’a été appris des précédentes conférences . On continue à prescrire de plus en plus , de plus en plus longtemps et avec le maximum d’effets indésirables pour nourrir l’ogre   Bigpharma.

Ainsi, on répète des essais déjà réalisés  comparant des bithérapies ( dolutégravir+ lamivudine ou islatravir+doravirine) à des trithérapies ou pire on redécouvre des travaux de J.Leibowitch de 2010, déjà redécouvert en 2016 à AIDS2016 à Durban !

Ainsi est confirmé que traiter 4jours/7 est aussi efficace que 7jours /7. Il est honteux que l’OMS et les systèmes de santé nationaux  exsangues et corrompus n’aient pas encore recommandé  ces traitements intermittents qui réduiraient de plus de40% le coût des traitements.

Concernant les essais vaccinaux, une présentation pour montrer qu’on continue à s’y intéresser alors que vaccin existe mais il est verrouillé de manière criminelle par les pouvoirs publics français( AP HM et CNRS0). Il s’agit du vaccin Tat-Oyi(voir sur le site :C104- Vaccin HIV thérapeutique Biosantech-Erwann Loret-Attaques injustifiables)

 
C.119-SCANDALE SANITAIRE LUBRIZOL-DISSIMULATION OU IMCOMPETENCE COUPABLE
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TAUX DE PCBs CANCERIGENES 2 MILLIONS DE FOIS LA NORMALE A LUBRIZOL

 

Mardi 15/10/2019

L’incendie de Lubrizol (site classé Seveso seuil haut, inséré en pleine agglomération Rouennaise) a dégagé un nuage noir de 3km de large et 20 km de long contenant du mercaptan (dérivé soufré) à odeur puante, couvrant toute la région Rouennaise et jusqu’aux Hauts de France 200 km plus loin au Nord-Est.

2 usines ont pris feu: Lubrizol (5253 tonnes), mais aussi Normandie Logistique (+ 4000 tonnes supplémentaires).

Les produits brûlés contenaient des additifs pour lubrifiants soufrés et phosphorés et des métaux, pour Lubrizol, et de l’asphalte (Total), de la gomme arabique, de la magnésie et de la bauxite pour Normandie Logistique.

Les prélèvements (lingettes) n’ont été faits que sur 3 sites pour la recherche de dioxine, sites tous situés à la périphérie de Rouen et analysés par INERIS. Les résultats (lingettes) analysés par le Bureau Veritas à Rouen ne sont pas disponibles. Seuls sont connus ceux de l’air ambiant.

 

Les résultats ont été interprétés, d’une seule voix, à l’unisson, comme « très rassurants », «  en dessous des seuils admis de toxicité  » par 3 ministres (Santé, Environnement et Alimentation), et, surtout, le lait autorisé à la commercialisation.

Ce lait va donc être mélangé aux autres laits et transformé en beurre, fromage, yaourt, crème et autres produits laitiers. La traçabilité d’un tel lait est impossible.

On sait que la dioxine est lipophile, c’est-à-dire qu’elle se concentre dans les graisses (celles du lait, beurre, crème, fromage, etc..).

Elle se concentre aussi dans le lait maternel des mères (4 fois plus que dans le lait de vache) qui allaitent leur bébé.

 

Pour ceux qui ne connaissent pas « la » dioxine, il faut savoir que

3 types de dioxines sont analysés simultanément:

1) les dioxines (TCDD)

2) les furanes (F)

3) les polychlorobiphenyles (PCBs)

La dose dangereuse, à ne pas dépasser, a été fixée par la FDA (Food and Drug Administration) Américaine à 7 femtogrammes/kg de poids pour la dioxine TCDD. Pour les PCBs (la 3ème « variété » de dioxine), la dose est de 12,4 femtogrammes dans l’air ambiant (Organisation Mondiale de la Santé, OMS 2005) .

Le femtogramme (fg) est un millionième de milliardième de gramme.

Le pictogramme (pg) est un millième de milliardième de gramme. Un pg= 1 000 fg.

Le nanogramme (ng) est un milliardième de gramme. Un ng= 1 000 000 fg.

 

Une fois ces chiffres officiels connus, on peut interpréter les résultats fournis par les prélèvements:

Sont-ils supérieurs au seuil de dangerosité en femtogrammes?

Le Bureau Veritas donne les chiffres suivants dans l’air ambiant:

pour le mélange de 7 PCBs (effet cocktail, ou synergique du mélange de 7 congénères de PCBs),

PCBs à 28 700 picogrammes (pg)= 28 700 000 femtogramme (fg)

si vous divisez par 12,4 ça vous donne un taux 28 700 000: 12,4 = 2 314 516 fois supérieur au seuil de dangerosité de l’OMS (2005). DEUX MILLIONS DE FOIS LA DOSE NORMALE.

Par contre, on n’a aucun des résultats sur les prélèvements lingettes à Rouen effectués par Veritas.

 

 

Le risque principal des PCBs est celui de cancers (pancréas, mélanome, sein, colon, lymphome non hodgkinien).

En 2016, sur la base d’indications suffisantes de cancérogénicité chez l’Homme et chez l’animal, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé les PCBs comme cancérogènes pour l’Homme (Groupe 1). Les PCBs conduisent au développement de mélanome malins. Une association positive a été observée pour la survenue du lymphome non Hodgkinien et le cancer du sein.

Les PCBs de type dioxine, avec un Facteur de Toxicité Equivalente (TEF) selon l’OMS (PCB-77, PCB-81, PCB-105, PCB-114, PCB-118, PCB-123, PCB-126, PCB-169, PCB-156, PCB-157, PCB-167, PCB-189), sont considérés comme cancérogènes pour l’homme (Groupe 1).

 

 

Bibliographie:

Seine-maritime.gouv.fr/Actualités/Mise-a-jour-lncendie-au-sein-de-l-entreprise-Lubrizol

Résultats analyses INERIS - Dioxines - format: PDF - 0.53 Mb - 10/10/2019

Résultats analyses Bureau Veritas - Dioxines - format: PDF - 6.42 Mb - 10/10/2019

 

TRAN Guy Mong Ky

retraité

Agence Régionale de Santé

ARS Auvergne Rhône-Alpes

 

correspondance: This e-mail address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it

31 Av du Bois 92290 Châtenay Malabry France

 
C.118bis-Focus on the 22nd International Conference on AIDS -AIDS 2018-Amsterdam (23-27July 2018)
There are no translations available.

 
 This world conference, a major trade show serving the interests of pharmaceutical lobbies, brought together 18,000 participants and gave rise to around 2,000 oral presentations and posters of very disparate interest. Unfortunately the share of clinical research has been systematically declining since its first meeting in favor of prevention, epidemiology, social, legal and human rights. The congress reiterated the commitment to achieve the 90-90-90 goal (90% of people diagnosed, 90% of diagnosed treated, 90% with undetectable viral load). Today 17million diagnosed (less than 50% ), 46% treated and 38% undetectable. The funding needed to reach the 90-90-90 target will reach more than $ 19 billion next year, but will then drop to $ 18 billion by 2020. The results presented in the major media have focused, in the absence of major results, on PrEP and on the absence of contamination in cases of undetectable viral load, results already presented previously. It is astonishing that on a plethora of works presented (more than 1000 studies) by thousands of researchers and colossal sums invested, none brings a beginning of answer to the essential wait of the patients, namely the eradication of the virus or an effective preventive or therapeutic vaccine. Overall, everything goes as if the sole objective of the research world driven by the pharmaceutical lobbies and their national and international political allies was to convince the HIV patient to take a triple therapy as soon as he is diagnosed with HIV, and to maintain it. for life, and for any seronegative individual with sexual activity, to make a pre-exposure prophylaxis (PrEP), namely a light antiviral treatment (dual therapy) for life! There is no room for contestation of early initiation of treatment, intermittent structured treatments, light treatments and complementary treatments. We are faced with a total lockdown of medical information for the sole benefit of pharmaceutical lobbies and their accomplices at the level of national and global health authorities (WHO and UNAIDS). Regarding PrEP, by taking Truvada, its adoption was significantly associated with the decline in diagnoses in the United States, although this prevention remains very marginal (77,000 people in the US in 2016 with a decrease of no more than 4.7% in new cases of seropositivity diagnosed in the states most practicing this prevention). In addition, taking Truvada on demand proved to be as effective as the daily intake during the first year of the French PrEP study. This is a costly prevention with side effects inherent to Truvada. It is essential to remember that PrEP is accompanied by an outbreak of other STDs (Syphilis, Gonorrhea, Chlamydia, Lymphogranuloma venerum, Human papillomavirus, Herpes simplex virus, Hepatitis C). It seems to us regrettable not to focus the prevention effort on the sole use of condoms, which is the safest, most economical and risk-free way. It seems to us that the media hype around PrEP is motivated solely by the desire of pharmaceutical lobbies to considerably increase its clientele (30million additional patients to be treated). Regarding the adverse effects of treatments Alan Go (Abstract / 2778) shows that HIV is associated with a significant increase in the risk of heart failure and stroke. In the study presented, it appears that people living with HIV had a significantly higher rate of heart failure or stroke than HIV-negative participants, although they had fewer cardiovascular risk factors. The researchers concluded that heart failure or stroke in people living with HIV did not seem related to the developmental pathways of arteriosclerosis, or plaque development in the arteries. Unfortunately, the authors have refused to conclude that the only reason for these results is other than the taking of certain antivirals for which studies already exist (Abacavir, ...) An attempt at curative treatment (Astract / 12977) by Sarah Fidler (randomized RIVER study) based on the Kick-and-Kill strategy, ie activation of reservoirs followed by antiretroviral treatment led to failure . This test drives open doors. A similar failure had already been achieved in Texas in 2005 with valproic acid. One can wonder about perseverance in failure!
For antiretroviral treatments, we find surprisingly a study establishing that a dual therapy with dolutegravir works well for a first anti-HIV treatment, whereas as early as 2005 a monotherapy with dolutegravir is preconnected! A clinical trial on a triple therapy (we can wonder about the reasons for the persistence of tritherapies prescriptions today in the era of mono or bitherapies and therapeutic simplifications!) Including doravirine, NNRTI, presented in 2015 to the IAS of Vancouver. This is a multicenter, randomized, double-blind study involving 766 people. Triple therapy (doravirine, tenofovir and lamivudine) appears as effective as (efavirenz, tenofovir, emtricitabine). One third of patients have moderate or severe side effects with discontinuation of the trial. The only interest of this trial could be the possibility of using doravirine in case of multiple resistances.
Surprising information in young adults and adolescents who have been infected in utero or after birth has been reported. These patients are 13 times more likely to develop cancer and 9 times more likely to die. The development of cancer is associated with the lack of viral suppression and low nadir CD4 cells, leading researchers to suggest early initiation of antiretroviral therapy to reduce risk.
An important study (PARTNER) on the risk of transmission of HIV by an HIV-positive person with an undetectable viral load has just confirmed that the risk is zero for both gay men and heterosexuals regardless of sexual practice.
Regarding the vaccine 9 works were presented, 2 only on humans with two preliminary clinical trials of phase 1 / 2a. No hope for benefits for patients in the medium or long term A macaque test (Abstract THAA0105) shows that injection of a single dose of broad-spectrum neutralizing antibody can protect against HIV for a period of 6 to 12 months. This is a temporary immunoprophylaxis. Another study on humanized mice with a neutralizing antibody (PGDM1400) base as a basis for the vaccine fails to establish a sufficient prophylactic or therapeutic effect. The clinical study (Abstracts TUAA0104 and TUAA0105) aims to evaluate a prophylactic vaccine consisting of viral vectors comprising a mosquito of HIV-1 Env, Gag and Pol transgenes and a soluble clade of gp140 trimeric protein envelope. . On 36 uninfected individuals, a strong and sustained immune response is observed up to the 78th week. It is difficult to demonstrate the prophylactic efficacy of this vaccine. Finally, two abstracts (TUAA0203 and TUAA0205) recall the potential of gene therapies.

One can only be surprised by the absence of major results on a vaccine that can give hope to patients. It should be mentioned, however, that Bigpharma has no reason to fund research on the vaccine let alone accept the arrival of a vaccine on the market that would see the collapse of its huge profits on antivirals.   However, we must remember the discovery of an effective and promising vaccine in 2016 based on the viral protein Tat Oyi (C104 - Biosantech-Erwann Loret Loret therapeutic Vaccine - Unjustifiable attacks on our site). From the moment of its presentation, this discovery was attacked without any scientific basis, in the press notably by J.F Delfraissy, President of the ANRS, and on the judicial plane by the CNRS, and the Public Assistance. These have succeeded by judicial way to block the continuation of the test! It is assassinations or at least endangering the lives of others. After 2 years lost in sordid legal proceedings, the President of the Committee of ethics of the Protection of Person (CPP), gave a favorable opinion to a follow-up of cohort after vaccination of Phase II, on 46 patients seropositive. This cohort follow-up is scheduled to start in September 2018, and should validate the preliminary results of at least two patients at the beginning of retroseroconversion, after vaccination with Tat Oyi, on which Dr. Loret, researcher at the CNRS communicated to BERLIN before scientists in January 2017. If, because of the small number of patients per dose injected, the main objective of the clinical trial was not statistically significant, it was nevertheless achieved with 30% of subjects having maintained in the same dose a viral load less than 80 copies for 2 months, without triple therapy. This very promising result is a concrete hope that the Tat Oyi associated with triple therapy can potentiate its effectiveness, and reduce the risk of treatment failure in the case of poor compliance with treatment.
New criteria that have emerged since the end of the trial in 2014 and the analysis of the results of the trial show other points of interest, which are just as important today as a controlled viral load when stopped. triple therapy. The clinical course of an HIV-positive patient to a reported AIDS would be closely related to CD4 cell count, CD4 / CD8 ratio, reflection of immune system status and pro-viral DNA, a control of cell size infected, unreachable by triple therapy. Vaccination with Tat Oyi showed in the phase II trial that it had a statistically significant effect on the immune system, increasing CD4 and CD4 / CD8 ratio. Tat Oyi would also act statistically significantly on pro-viral DNA, which is a control of the reservoir of the virus, showing that when one accumulates proviral DNA between M0 and M12, the vaccinated with 33μg X 3 have a smaller reservoir at M12 than the placebos. Knowing that an anti-retroviral treatment acts only very little on the size of the reservoir of infected cells hidden in the body, and on the permanent production of extra cellular Tat by these cells, the implementation of this cohort monitoring has received a favorable opinion to validate that treatment by Oyi State could render undetectable pro-viral DNA, a control of the HIV reservoir in the peripheral blood, only five months after the first injection and increase by 66% the CD4 / CCD8 ratio in patients with HIV infection (Retrovirology 2016). This cohort follow-up could, four years after the release of the trial, bring a functional cure if, at the disappearance of the anti-HIV antibodies (P24-GP120), the undetectability of the pro-viral DNA was associated, which would be a real turning point in the treatment of AIDS. The EvaTat trial seems to show that patients with clades B and C are good responders to the Tat Oyi vaccination, which corresponds to 95% of the global population of patients with HIV. The association of triple therapy with Tat Oyi could initially make a large number of patients eligible for the lightening of triple therapy, which corresponds to a strong demand from HIV-positive people, who suffer the heavy side effects of their treatment. treatment. For the southern countries for which the quality of the molecule is less good, the Tat Oyi would reduce the therapeutic failures by improving the observance of the treatments
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